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Charmion von Wiegand
Pillar of Zen n°124, peinture à la gouache unique signée Andre Zarre Gallery, 1959

1959

52 232,97 €
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À propos de cet article

Charmion von Wiegand Pilier du zen n°124, 1959 Gouache sur papier Signé à la main, titré et daté au recto. Unique en son genre Provenance : Andre Zarre Gallery (a) Gallery, avec étiquette au verso (Succession du célèbre galeriste Andre Zarre, ne Andre Sowulewski) Mesures : Encadré 26,5 pouces verticaux par 25,5 horizontaux par 2 pouces Œuvre d'art : 21 pouces à la verticale par 22 pouces à l'horizontale Moderne du milieu du siècle, géométrique, abstraction spirituelle, mystique La succession du célèbre artiste Charmion Von Wiegand est représentée exclusivement par la Michael Rosenfeld Gallery depuis 1998. Du 3 mars au 13 août 2023, Charmion Von Wiegand a fait l'objet d'une rétrospective acclamée au Kunstmuseum Basel, et elle a reçu une attention majeure dans le prix, y compris un article d'ArtNews de juin 2023 intitulé "Who Was Charmion von Wiegand and Why Is She Important ? Son travail a également fait l'objet d'une présentation individuelle par la Rosenfeld Gallery lors du New York Art Show qui s'est tenu au Park Avenue Armory, et qui a également été salué par la critique. Biographie des artistes - avec l'aimable autorisation de la Michael Rosenfeld Gallery : Connue pour ses peintures vibrantes et géométriques qui sont à l'origine d'un langage profondément personnel d'illumination spirituelle exprimé à travers un mode constructiviste d'abstraction, Charmion von Wiegand (1896-1983) est née à Chicago mais a passé une grande partie de son enfance à voyager. Fille d'un journaliste de Hearst, von Wiegand s'est finalement installée à New York en 1915 pour étudier au Barnards College et à l'université Columbia, où elle a suivi des cours à l'école de journalisme tout en nourrissant un intérêt croissant pour l'histoire de l'art. En 1925, von Wiegand réalise qu'elle veut être une artiste et s'installe dans un Studio à Greenwich Village, apprenant elle-même à peindre tout en poursuivant une carrière de journaliste. En 1929, elle obtient un poste à Moscou en tant que correspondante étrangère pour Hearst, la seule femme au bureau à l'époque. En 1932, von Wiegand retourne à New York et épouse l'émigré russe Joseph Freeman, cofondateur et éditeur de la revue de gauche New Masses. Von Wiegand commence à écrire des critiques d'art pour New Masses ainsi que pour d'autres publications, notamment New Theatre, ARTnews et Arts Magazine. Lorsque les Abstract American Artists (AAA) ont organisé leur exposition inaugurale, von Wiegand en a fait le compte rendu. Champion précoce de l'art abstrait, von Wiegand s'est lié d'amitié avec le fondateur de l'AAA, Carl Holty. En 1941, Holty lui fait rencontrer Piet Mondrian, qui aura un impact profond sur son art. Fascinée par la philosophie artistique de Mondrian, von Wiegand a joué un rôle clé dans la présentation de son œuvre au public américain, en traduisant en anglais de nombreux écrits de l'artiste néerlandais et en participant à la composition de son article influent "Toward the True Vision of Reality" (1941). Grâce à son amitié avec Mondrian, von Wiegand a ravivé son intérêt pour la théosophie (une religion établie à la fin du XIXe siècle qui combine des aspects de l'hindouisme, du bouddhisme, de l'occultisme et de l'ésotérisme) et s'est lancée dans une étude approfondie du néoplasticisme. Dans ses œuvres, elle intègre la grille emblématique de Mondrian, mais rejette les contraintes du néoplasticisme pur et embrasse un large éventail d'influences, dont le surréalisme et l'expressionnisme allemand. En 1942, von Wiegand devient membre de l'AAA, expose régulièrement avec le groupe et en devient le président de 1951 à 1953. À la fin des années 1940, le sculpteur et membre de l'AAA Ibram Lassaw lui a offert une traduction de The Secret of the Golden Flower : A Chinese Book of Life, qui a incité von Wiegand à se plonger dans l'étude de l'art bouddhiste. Elle commence à incorporer des motifs bouddhistes tels que des stupas et des mandalas dans ses peintures, et sa pratique spirituelle s'intensifie régulièrement tout au long des années 1950. En 1953, son mari lui offre un exemplaire du livre taoïste I Ching des changements, un guide permettant de déduire un sens à partir de nombres aléatoires disposés en hexagramme - une forme que l'artiste intègre volontiers dans sa peinture. L'étude de la théosophie par Von &New s'est également intensifiée au cours de ces années, grâce à son accès accru aux sources primaires de la religion, composées par les fondateurs de la religion et leurs successeurs, à la bibliothèque de la Société théosophique de New York. Sa quête du sacré et de la transcendance l'a finalement conduite au bouddhisme tibétain et, en 1967, elle a rencontré Khyongla Rato Rinpoche, un moine Gelugpa récemment arrivé à New York, qui l'a guidée jusqu'à sa mort dans son étude spirituelle de la tradition du bouddhisme mahayana. Ses voyages dans les années 1960 et 1970 l'ont conduite au Tibet et en Inde, où elle a eu une audience avec le Dalaï Lama, qui vivait en exil à Dharamsala. De nombreuses œuvres de ces décennies intègrent des symboles et des schémas tirés des tableaux de couleurs prismatiques théosophiques, de l'astrologie chinoise et du yoga tantrique. En 1978, elle a fait l'objet d'un documentaire de la chaîne PBS intitulé The Circle of Charmion von Wiegand, dont la musique a été composée par Philip Glass. En 1980, von Wiegand a été élue à l'Académie américaine des arts et des lettres et en 1982, le Bass Museum of Art de Miami Beach (FL) a organisé sa première rétrospective. Elle est décédée l'année suivante à New York, léguant ses biens à Khyongla Rato et au Tibet Center of New York. En 1998, la Michael Rosenfeld Gallery est devenue l'unique représentant de sa succession et a présenté son travail dans quatre expositions individuelles et plusieurs expositions de groupe. Ses œuvres ont été récemment exposées dans le cadre des expositions suivantes : The Third Mind : American Artists Contemplate Asia (Solomon R. Guggenheim Museum, New York, NY, 2009) et Constructive Spirit : Abstract Art in South and North America (Musée de Newark, NJ, 2010). En mars 2023, le Kunstmuseum Basel (Suisse) a ouvert la première rétrospective muséale complète de l'œuvre de von Wiegand en Europe. L'œuvre de Von Wiegand est représentée dans de nombreuses collections de musées, dont l'Addison Gallery of American Art, Phillips Academy (Andover, MA) ; Albright-Knox Art Gallery (Buffalo, NY) ; Arithmeum, Université de Bonn (Allemagne) ; Birmingham Museum of Art (Alabama) ; Blanton Museum of Art, The University of Texas at Austin ; Brooklyn Museum (NY) ; Carnegie Museum of Art (Pittsburgh, PA) ; The Cleveland Museum of Art (OH) ; Indianapolis Museum of Art (IN) ; Fondazione Marguerite Arp (Locarno, Suisse) ; Museum of Fine Arts, Boston (Massachusetts) ; The Metropolitan Museum of Art (New York, NY) ; The Museum of Modern Art (New York, NY) ; Newark Museum of Art (New Jersey) ; Seattle Art Museum (WA) ; Smithsonian American Art Museum (Washington, DC) ; Walker Art Center (Minneapolis, MN) ; Weatherspoon Art Museum, The University of North Carolina at Greensboro ; Wellin Museum of Art at Hamilton College (Clinton, NY) ; Whitney Museum of American Art (New York, NY) ; et Yale University Gallery (New Haven, CT). En savoir plus sur le galeriste Andre Zarre Un hommage dans le New Criterion : Envoi 11 août 2020 Andre Zarre, 1942-2020 par Dana Gordon Sur le défunt pionnier des galeries new-yorkaises. L'art ne doit jamais être expliqué de manière agressive ; l'art doit être ressenti. -Andre Zarre, 1977 Souvent, dans la Mecque culturelle new-yorkaise éclairée par les étoiles, une figure importante de longue date s'efface dans la pénombre et meurt sans qu'on s'en aperçoive. Tel a été le destin d'Andre Zarre, marchand d'art contemporain, décédé il y a quelques semaines. Andy, comme il voulait que ses amis l'appellent, a ouvert sa galerie éponyme en 1974, juste à côté de Madison Gallery, sur la Soixante-neuvième rue. Il l'installe bientôt dans l'omphalos du monde de l'art de l'époque, le 41 East Fifty-seventh Street, le Fuller Building. Au fil des ans, il a déménagé à SOHO, puis à Chelsea, au gré des modes et des prix de l'immobilier qui ont poussé le souk de l'art à s'installer ici et là. Pour comprendre son importance, il suffit de jeter un coup d'œil à la liste des artistes qui ont eu des expositions personnelles à la Andre Zarre Gallery. Il s'agit de noms tels que Sonia Delaunay, Nassos Daphnis, Sari Dienes et Perle Fine, qui font partie de la première génération. Parmi la génération suivante, on peut citer Pat Lipsky, Jay Milder, Thornton Willis et Kes Zapkus.1 Et cette liste n'inclut pas les nombreuses personnes connues et inconnues qui ont participé à ses spectacles de groupe animés. Zarre avait un véritable "œil" et s'est fait le champion de l'art abstrait dès la création de sa galerie, même au milieu des tempêtes de l'art conceptuel et politique, qu'il n'aimait pas. Il a également présenté un grand nombre d'œuvres d'art figuratif. Ses galeries étaient toujours spacieuses et sans prétention, orientées simplement pour montrer l'art. Selon Dee Shapiro, qui a exposé à plusieurs reprises avec la Gallery Gallery Gallery, "il avait une mémoire photographique, connaissait beaucoup de choses sur l'art et s'intéressait toujours à la vie de l'artiste". Les informations biographiques fiables sur Zarre sont rares, mais il a déclaré qu'il était né en Pologne en 1942 et que ses parents étaient un diplomate et une mondaine. Il a quitté son pays pour les États-Unis à l'âge de quinze ans. Pendant les décennies où il a été marchand d'art à New York, Zarre n'a pas semblé accumuler de richesses, bien qu'il ait acquis une collection et vécu sur Park Avenue. "Il n'était pas personnellement agressif de cette manière. Les gens devaient venir à lui", a déclaré Dee Shapiro. Il était honnête dans ses relations financières avec les artistes, ce qui n'est pas le cas de tous les marchands d'art. Pendant longtemps, alors qu'il dirigeait la galerie, il avait un second emploi en tant que superviseur dans un bureau d'une compagnie aérienne et il ne gardait que peu ou pas de personnel supplémentaire dans la galerie. Il a soutenu un frère resté en Pologne. Parmi les artistes, Zarre avait la réputation d'être assez acariâtre. Après mon exposition dans sa galerie en 1997, j'ai refusé d'y entrer pendant dix-sept ans. Je l'ai ensuite croisé à Chelsea et il m'a proposé un autre spectacle, une opportunité que j'ai acceptée avec plaisir, mais il est resté tout aussi désagréable. Il a exposé les œuvres de nombreuses femmes, probablement plus que n'importe quelle autre galerie, à l'exception de celles qui se consacrent exclusivement aux femmes. Les collectionneurs, les conservateurs et les écrivains l'ont trouvé plutôt sympathique. Selon Peter Reginato, Zarre était un "type étrange, mais je l'aimais bien". Je pense que c'était un marchand qui était plus intéressé par l'art que par l'argent, mais d'une manière ou d'une autre, il a duré plus de quarante ans." Zarre n'est pas connu pour avoir conservé des archives complètes ou existantes de la longue histoire de sa galerie, bien qu'elles puissent apparaître avec le temps. En parcourant l'Internet, on peut dresser une liste partielle de plus de quatre-vingts artistes qui ont eu des expositions personnelles à la (a) Gallery d'Andre Zarre :Nancy Azara, Ellen Banks, Mary Barnes, Tony Bechara, Juan Bernal, Stephanie Bernheim, Randy Bloom, Elena Borstein, Michael Boyd, Fritz Bultman, Ed Buonagurio, Yoan Capote, Sonia Delaunay, Nassos Daphnis, Cathy Diamond, Sari Dienes, Joseph Dolinsky, Beata Drozd, Ronnie Elliot, William Fares, Perle Fine, Lynne Frehm, Ben Georgia, Mikel Glass, Dana Gordon, Juanita Guccione, Fred Gutzeit, Don Hazlitt, Amy Hill, Clinton Hill, Monroe Hodder, Budd Hopkins, Arlan Huang, Richard Hunt, Rhia Hurt, Buffie Johnson, Alexander Kaletski, Robert Kaupelis, Constance Kheel, Joseph Konzal, Harry Koursaros, Jerzy Kosinski, Nina Kuo, Ellen Lanyon, Tadeusz Lapinski, Raeford Liles, Pat Lipsky, Jerry Lubensky, Despo Magoni, Michael Malpass, Demetrius Manouselis, Ron Mehlman, Susan Michod, Jay Milder, Loren Munk, Robert Murray, Douglas Ohlson, Rafal Olbinsky, Chuck Olson, Irene Rice Pereira, Billy Quinn, David Rankin, Peter Reginato, Monique Rollins, Jan Sawka, Barbara Schwartz, Dee Shapiro, Louise P. Sloane, Dee Solin, Marjorie Strider, Joan Thorne, Richard Timperio, Stephen T. Vessels, Lilian Voorhees, Joy Walker, Charmion Von Wiegand, Thornton Willis, Kit White, Scott Wixon, Nicholas Wolfson, Jean Xceron, Sue Yang, Kes Zapkus, Susan Zises.
  • Créateur:
    Charmion von Wiegand (1896-1983, Américain)
  • Année de création:
    1959
  • Dimensions:
    Hauteur : 67,31 cm (26,5 po)Largeur : 64,77 cm (25,5 po)Profondeur : 5,08 cm (2 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
    L'œuvre est en excellent état ; elle est placée dans le cadre original de la Andre Zarre Gallery, avec l'étiquette d'origine.
  • Adresse de la galerie:
    New York, NY
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU1745215269732

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