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Roger Bezombes
Lithographie moderniste française de Mourlot Vintage Air France Poster Roger Bezombes

1980

580,38 €

À propos de cet article

Affiche de voyage française vintage, Air France Roger Bezombes (1913-1994) Français Bezombes était peintre, sculpteur, médailleur et designer. Il a étudié à Paris, à l'École des Beaux-Arts, et a été très influencé par son amitié avec Maurice Denis. Fortement influencé par le surréalisme, HENRY a principalement travaillé comme peintre, adoptant les couleurs saturées du fauvisme d'Henri Matisse dans des paysages et des études de figures souvent basés sur l'observation de cultures "exotiques", notamment méditerranéennes et nord-africaines. Contraint, car très jeune orphelin, à toutes sortes de professions qui lui fournissent les moyens matériels de se consacrer à la peinture - il participe en 1930 à l'installation de l'exposition du Bauhaus au Grand Palais-, Roger Bezombes est élève de l'École nationale des beaux-arts de Paris. (Ecole des Beaux-Arts) Formé à l'art de la fresque par Paul Baudoüin, René Barotte restitue néanmoins que la préférence du jeune homme va à la pratique de "l'école buissonnière" qu'il utilise pour réaliser des copies au Musée du Louvre. C'est l'époque où les tableaux de Paul Gauguin, Vincent Van Gogh et Henri Matisse lui sont révélés par Maurice Denis dont il restera proche jusqu'à sa mort accidentelle, le peignant sur son lit funéraire le 14 novembre 1943. Il a exécuté des dessins surréalistes pour des tapisseries d'Aubusson et de Gobelin, des affiches (récompensées par le Grand Prix de l'Affiche Française en 1984), des costumes et des décors pour des ballets au Metropolitan Opera House de New York, des reliefs et des peintures murales. En 1965, il se lance dans la fabrication de médailles, exprimant dans ses nombreuses œuvres métalliques pour la Monnaie de Paris cette obsession pour les objets trouvés que l'on retrouve également dans sa sculpture à grande échelle et dans ses affiches. Il a conçu des affiches pour Air France et pour les chemins de fer français. Roger Bezombes se rend pour la première fois en Afrique en 1936 grâce à une bourse de voyage et reçoit la même année le deuxième grand prix de Rome. En 1937, il voyage au Maroc où il se lie d'amitié avec Albert Camus. L'année 1938 lui offre à la fois sa première exposition personnelle à la galerie Charpentier à Paris avec des peintures et gouaches sur le thème du Maroc et l'attribution du grand prix national des arts, lui valant un grand voyage qui, de Dakar à Alger, le conduit à travers le Tchad, Tamanrasset et le Hoggar. Roger Bezombes devient professeur à l'Académie Julian en 1950. Pour lui, 1951 est l'année d'un voyage en Grèce et l'année où il commence à s'intéresser à la tapisserie. Roger Bezombes s'est rendu en Israël en 1953, en Tunisie et en Egypte en 1954. Il a été nommé peintre officiel de la marine en 1955. Pierre Mazars analyse qu'"après une période où l'on remarque l'influence de Van Gogh et de Georges Braque, notamment dans ses paysages de Provence, il en vient à une écriture plus schématique, les taches de couleur et les épaisseurs de matière prenant plus d'importance que le sujet. Il a même réalisé des œuvres composites, mi-aquarelles, mi-papiers collés, dans lesquelles il incorporait des morceaux de journaux". Il a été élu titulaire de l'Académie des sciences d'outre-mer en 1978. "L'éventail des formes de talent de Bezombes est remarquable", écrit Lynne Thornton, "allant des peintures, des peintures murales, des affiches de voyage, des cartons de tapisserie, des illustrations de livres, des décorations monumentales en céramique, des décors de ballet et de théâtre, des sculptures totem, des objets de sculpture, des bijoux et des médaillons". Il fait partie de l'école modulaire parisienne du milieu du siècle, dont font partie Léon Zack et Bernard Lorjou, Paul Augustin Aizpiri, Gabriel Godard, Michel Michele, Hans Erni, Bengt Lindstrom, Alfred Manessier, André Hambourg, Raymond Legueult et Jean Rigaud. Sélection d'expositions individuelles : 1938 : Galerie Charpentier, Paris 1950, 53, 55, 57 : Galerie Andre Weil, Paris 1953:Wildenstein Gallery, Londres 1954 : Institut français, Cologne 1956 : Galerie Matarasso, Nice 1957 : Horn Gallery, Luxembourg ; Guild de la Gravure, Paris 1958 : Musée Denys-Puech, Rodez 1962 : Musée de l'Athénée, Genève ; Château Grimaldi, Cagnes-sur-Mer 1966 : Galerie des Ponchettes, Nice 1967 : Galerie Martel, Montréal 1968 : Romanet-Vercel Gallery, New York ; Musée Reattu, Arles ; Centre Le Corbusier, Firminy 1969 : Galerie Philippe Ducastel, Avignon ; Musée des beaux-arts d'Orléans 1970 : "Roger Bezombes : Muraux, Masques, Médailles", Palais de l'Isle, Annecy ; Musée des beaux-arts de Reims 1971 : Musée des beaux-arts de Nîmes ; Musée des beaux-arts de Besancon 1972 : Musée de la Monnaie, Paris ; Galerie Presence de l'art, Cannes 1975 : Musée du Bastion Saint-André, Andre ; Musée des Ursulines de Macon 1979 : Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson 1981 : "Roger Bezombes - Vie du monde, seize affiches pour Air France", Centre Georges-Pompidou, Paris 1984 : Centre culturel du Marais, Paris 1987 : "Roger Bezombes - rétrospective", Tokyo, Osaka 1993 : "Chaussures Insolites : Roger Bezombes," Musée international de la chaussure 2008 : "Rétrospective Roger Bezombes", Musée Reattu, Arles 2015/'16 : "Roger Bezombes : Life Around the World ", (a) Gallery Gallery, New York Expositions collectives sélectionnées : 1937 : Salon d'automne, Salon des indépendants et Salon des Tuileries, Paris 1943 : "Artistes français contemporains", Madrid, Espagne 1949 : "Vingt ans d'art sacré", Rio de Janiero, Brésil ; Salon de l'imagerie, Paris ; Salon des artistes décorateurs, Musée des Arts Décoratifs, Paris 1950 : "La tapisserie française", Tunis, Copenhague 1951 : "Salon des peintres, témoins de leur temps", Palais Galliera, Paris ; 1ère Biennale de Sao Paolo 1951-1952 : Galerie Drouant-David, Paris 1956-1965 : Salon Comparaisons, Paris 1958 : Pavillon français de l'Exposition Universelle, Bruxelles 1961 : Salon Grands et Jeunes d'aujourd'hui, Hôtel Martinez, Cannes 1967 : Exposition universelle de Montréal ; Exposition internationale de la Monnaie, Musée de la Monnaie, Paris. 1974 : Festival des arts, Adélaïde, Australie ; 5e Biennale des arts graphiques, Varsovie 1975 : "The Bestiary of Coins, Seals, and Medals", Musée de la Monnaie, Paris ; Biennale de la tapisserie, Dublin 1981 : "L'humour et la médaille", Musée de la Monnaie 1987-1988 : "Paris - Prague", Hôtel de la Monnaie, Paris et Galerie nationale, Prague 2017 : "L'Orient rêvé par l'Occident", Musée d'art et de culture de Marrakech
  • Créateur:
    Roger Bezombes (1913 - 1994, Français)
  • Année de création:
    1980
  • Dimensions:
    Hauteur : 100,33 cm (39,5 po)Largeur : 59,69 cm (23,5 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
    Usure mineure. Jamais encadré. Veuillez voir les photos.
  • Adresse de la galerie:
    Surfside, FL
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU38216588862

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Par Roger Bezombes
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(Ecole des Beaux-Arts) Formé à l'art de la fresque par Paul Baudoüin, René Barotte restitue néanmoins que la préférence du jeune homme va à la pratique de "l'école buissonnière" qu'il utilise pour réaliser des copies au Musée du Louvre. C'est l'époque où les tableaux de Paul Gauguin, Vincent Van Gogh et Henri Matisse lui sont révélés par Maurice Denis dont il restera proche jusqu'à sa mort accidentelle, le peignant sur son lit funéraire le 14 novembre 1943. Il a exécuté des dessins surréalistes pour des tapisseries d'Aubusson et de Gobelin, des affiches (récompensées par le Grand Prix de l'Affiche Française en 1984), des costumes et des décors pour des ballets au Metropolitan Opera House de New York, des reliefs et des peintures murales. 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Pour lui, 1951 est l'année d'un voyage en Grèce et l'année où il commence à s'intéresser à la tapisserie. Roger Bezombes s'est rendu en Israël en 1953, en Tunisie et en Egypte en 1954. Il a été nommé peintre officiel de la marine en 1955. Pierre Mazars analyse qu'"après une période où l'on remarque l'influence de Van Gogh et de Georges Braque, notamment dans ses paysages de Provence, il en vient à une écriture plus schématique, les taches de couleur et les épaisseurs de matière prenant plus d'importance que le sujet. Il a même réalisé des œuvres composites, mi-aquarelles, mi-papiers collés, dans lesquelles il incorporait des morceaux de journaux". Il a été élu titulaire de l'Académie des sciences d'outre-mer en 1978. "L'éventail des formes de talent de Bezombes est remarquable", écrit Lynne Thornton, "allant des peintures, des peintures murales, des affiches de voyage, des cartons de tapisserie, des illustrations de livres, des décorations monumentales en céramique, des décors de ballet et de théâtre, des sculptures totem, des objets de sculpture, des bijoux et des médaillons". Il fait partie de l'école modulaire parisienne du milieu du siècle, dont font partie Léon Zack et Bernard Lorjou, Paul Augustin Aizpiri, Gabriel Godard, Michel Michele, Hans Erni, Bengt Lindstrom, Alfred Manessier, André Hambourg, Raymond Legueult et Jean Rigaud. Sélection d'expositions individuelles : 1938 : Galerie Charpentier, Paris 1950, 53, 55, 57 : Galerie Andre Weil, Paris 1953:Wildenstein Gallery, Londres 1954 : Institut français, Cologne 1956 : Galerie Matarasso, Nice 1957 : Horn Gallery, Luxembourg ; Guild de la Gravure, Paris 1958 : Musée Denys-Puech, Rodez 1962 : Musée de l'Athénée, Genève ; Château Grimaldi, Cagnes-sur-Mer 1966 : Galerie des Ponchettes, Nice 1967 : Galerie Martel, Montréal 1968 : Romanet-Vercel Gallery, New York ; Musée Reattu, Arles ; Centre Le Corbusier, Firminy 1969 : Galerie Philippe Ducastel, Avignon ; Musée des beaux-arts d'Orléans 1970 : "Roger Bezombes : Muraux, Masques, Médailles", Palais de l'Isle, Annecy ; Musée des beaux-arts de Reims 1971 : Musée des beaux-arts de Nîmes ; Musée des beaux-arts de Besancon 1972 : Musée de la Monnaie, Paris ; Galerie Presence de l'art, Cannes 1975 : Musée du Bastion Saint-André, Andre ; Musée des Ursulines de Macon 1979 : Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson 1981 : "Roger Bezombes - Vie du monde, seize affiches pour Air France", Centre Georges-Pompidou, Paris 1984 : Centre culturel du Marais, Paris 1987 : "Roger Bezombes - rétrospective", Tokyo, Osaka 1993 : "Chaussures Insolites : Roger Bezombes," Musée international de la chaussure 2008 : "Rétrospective Roger Bezombes", Musée Reattu, Arles 2015/'16 : "Roger Bezombes : Life Around the World ", (a) Gallery Gallery, New York Expositions collectives sélectionnées : 1937 : Salon d'automne, Salon des indépendants et Salon des Tuileries, Paris 1943 : "Artistes français contemporains", Madrid, Espagne 1949 : "Vingt ans d'art sacré", Rio de Janiero, Brésil ; Salon de l'imagerie, Paris ; Salon des artistes décorateurs, Musée des Arts Décoratifs, Paris 1950 : "La tapisserie française", Tunis, Copenhague 1951 : "Salon des peintres, témoins de leur temps", Palais Galliera, Paris ; 1ère Biennale de Sao Paolo 1951-1952 : Galerie Drouant-David, Paris 1956-1965 : Salon Comparaisons, Paris 1958 : Pavillon français de l'Exposition Universelle, Bruxelles 1961 : Salon Grands et Jeunes d'aujourd'hui, Hôtel Martinez...
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En 1965, il se lance dans la fabrication de médailles, exprimant dans ses nombreuses œuvres métalliques pour la Monnaie de Paris cette obsession pour les objets trouvés que l'on retrouve également dans sa sculpture à grande échelle et dans ses affiches. Il a conçu des affiches pour Air France et pour les chemins de fer français. Roger Bezombes se rend pour la première fois en Afrique en 1936 grâce à une bourse de voyage et reçoit la même année le deuxième grand prix de Rome. En 1937, il voyage au Maroc où il se lie d'amitié avec Albert Camus. L'année 1938 lui offre à la fois sa première exposition personnelle à la galerie Charpentier à Paris avec des peintures et gouaches sur le thème du Maroc et l'attribution du grand prix national des arts, lui valant un grand voyage qui, de Dakar à Alger, le conduit à travers le Tchad, Tamanrasset et le Hoggar. Roger Bezombes devient professeur à l'Académie Julian en 1950. Pour lui, 1951 est l'année d'un voyage en Grèce et l'année où il commence à s'intéresser à la tapisserie. Roger Bezombes s'est rendu en Israël en 1953, en Tunisie et en Egypte en 1954. Il a été nommé peintre officiel de la marine en 1955. Pierre Mazars analyse qu'"après une période où l'on remarque l'influence de Van Gogh et de Georges Braque, notamment dans ses paysages de Provence, il en vient à une écriture plus schématique, les taches de couleur et les épaisseurs de matière prenant plus d'importance que le sujet. Il a même réalisé des œuvres composites, mi-aquarelles, mi-papiers collés, dans lesquelles il incorporait des morceaux de journaux". Il a été élu titulaire de l'Académie des sciences d'outre-mer en 1978. 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L'incision s'infectera, les antibiotiques n'existant pas encore, et son père mourra à l'hôpital après 9 mois de souffrance. Myriam et sa mère quittent la Palestine pour vivre à Paris pendant trois ans. Le français est la première langue scolaire de Myriam. En 1939, fuyant toujours le nazisme, elle retourne en Palestine, quittant la France par le dernier bateau de Marseille. Elle a déménagé à Tel Aviv avec sa mère, sa tante et sa grand-mère maternelle. En 1940, elle commence à fréquenter l'Académie des Beaux-Arts de Tel Aviv et prend son nom d'artiste, Bat-Yosef, qui signifie fille de Joseph en hébreu, en hommage à son père. En 1946, Myriam a obtenu un diplôme d'institutrice de jardin d'enfants mais voulait devenir artiste. Sa mère l'a inscrite dans une école du soir pour préparer un diplôme de professeur d'art. À 19 ans, elle effectue deux ans de service militaire en Israël. En 1952, avec une pension de 50 dollars par mois que sa mère lui alloue, elle part étudier aux Beaux-Arts de Paris. Pour survivre, elle a plusieurs activités tout en étudiant. En 1955, elle a sa première exposition personnelle, au Club Israélien de l'avenue Wagram à Paris. De nombreux artistes, tels que Yaacov Agam, Yehuda Neiman, etc. Avigdor Arikha, Raffi Kaiser, Dani Karavan et les sculpteurs Achiam et Shlomo Selinger ont assisté à l'inauguration. En 1956, elle s'inscrit à l'école des Beaux-Arts de Florence. C'est là qu'elle rencontre le peintre Errô. Ils partagent un studio glacial en hiver. Myriam déménage à Milan avec des amis. Elle organise une exposition commune avec Erro, une pièce chacun, à la galerie Montenapoleone. Ses œuvres sont admirées par le sculpteur Marino Marini et les peintres Renato Birolli et Enrico Prampolini. Myriam et Erro exposent à Rome, Milan, Florence et rencontrent de nombreuses personnalités : Alain Jouffroy et sa femme, la peintre Manina, Roberto Matta et sa femme Malitte, artiste textile qui fut l'un des fondateurs du Centre Pompidou. De retour à Paris, Myriam et Erro se marient, ce qui permet à Myriam d'éviter d'être appelée dans l'armée israélienne pendant la guerre du canal de Suez. En 1957, Myriam et son mari sont allés en Islande. Myriam travaille dans une usine de chocolat. Ayant assez d'argent, elle recommence à produire de l'art. Elle a exposé dans la première galerie d'art de Reykjavik. Elle rencontre l'artiste Sigridur Bjornsdottir, mariée au peintre suisse Dieter Roth. En 1958, Myriam et son mari partent pour Israël. Ils exposent en Allemagne, puis en Israël. De retour à Paris, le couple se lie d'amitié avec des artistes du mouvement surréaliste, tels que Victor Brauner, Hans Bellmer, le sculpteur Philippe Hiquily, Liliane Lijn, future épouse de Takis et la photographe Nathalie Waag. Erro et Myriam ont une fille le 15 mars 1960, prénommée Tura, d'après le peintre Cosmè Tura, mais aussi proche de l'islandaise Thora ou de l'hébraïque Torah. La trajectoire complexe de Bat-Yosef tout au long du XXe siècle est liée tant à l'histoire transnationale de ce qui fut un temps appelé l'École de Paris qu'à un certain héritage du surréalisme. Son travail reprend la même idée de résolution des antinomies qui définissait également l'esprit du surréalisme, et est enrichi de ses lectures de la Kabbale et de son ancrage spirituel dans le taoïsme. Cependant, s'il existe des raisons d'associer sa démarche au processus du ready-made, il est important de considérer l'intrication immédiate de ces œuvres avec sa pratique de la performance, au cours de laquelle le corps lui-même est également peint - une réponse féministe aux Anthropométries d'Yves Klein (1960) et un écho aux happenings que Jean-Jacques Lebel organisait à l'époque à Paris. En 1963, Erró dit à Myriam que si elle veut être peintre, elle ne peut pas être sa femme. Myriam choisit d'être peintre et le couple divorce en 1964. Depuis cette époque, Myriam Bat-Yosef a exposé dans de nombreux pays : Europe, États-Unis, Japon, etc.etc. Bien que longtemps restée dans l'ombre, l'œuvre de Myriam Bat-Yosef a été saluée par de nombreux artistes et personnalités : Anaïs Nin, Nancy Huston, André Pieyre de Mandiargues, José Pierre, René de Solier , Jacques Lacarrière, Alain Bosquet, Pierre Restany, Sarane Alexandrian et le surréaliste André Breton qui, après une visite de son Studio, confia avoir été intrigué par sa dimension fantasmagorique. Elle a été incluse dans le livre Pop Art and Beyond : Gender, Race, and Class in the Global Sixties de Mona Hadler et Kalliopi Minioudaki. Extrait "Citoyenne du monde, artiste de l'ère pop Sarah Wilson ; Pourquoi connaissons-nous si peu Myriam Bat-Yosef, la plus importante artiste féminine israélienne de l'ère pop ? Les questions d'identité et de sexualité sont constamment présentes dans son travail. Elle a exposé au niveau international, de Reykjavik à Tokyo ; elle a eu deux expositions dans la célèbre galerie Dada/surréaliste d'Arturo Schwarz à Milan ; elle a participé à des événements artistiques féministes à Los Angeles. Surtout, en 1971, elle conçoit Total Art, un Gesamtkunstwerk Pop à l'intérieur et à l'extérieur du Musée d'Israël, à Jérusalem. Peintre, performeuse et artiste d'installation, elle était aussi une amante, une épouse et une mère. D'origine juive lituanienne, elle était proche de la famille du philosophe Emmanuel Levinas. Émigrée à Paris, elle répudiera le passeport national et participera à l'éphémère mouvement des "citoyens du monde" de Garry Davis. Elle s'inscrit dans la lignée des femmes artistes surréalistes : Valentine Hugo, Leonor Fini, Dorothea Tanning, Leonora Carrington, Unica Zürn, Jane Graverol, Toyen, Alice Rahon et Frida Kahlo. La trajectoire complexe de Bat-Yosef tout au long du XXe siècle est liée tant à l'histoire transnationale de ce qui fut un temps appelé l'École de Paris qu'à un certain héritage du surréalisme. Si l'artiste n'a jamais participé formellement aux activités du groupe d'André Breton, qui assignait aux femmes un rôle essentiellement passif en leur déniant toute capacité d'action et toute inscription dans le canon1, on retrouve dans son travail la même idée de résolution des antinomies qui définissait aussi l'esprit du surréalisme2, et elle est enrichie par ses lectures de la Kabbale et son ancrage spirituel dans le taoïsme. Telle est l'opposition supposée entre l'art et la vie, que Bat-Yosef s'est efforcé de rendre obsolète dès 1964 en recouvrant de peinture des objets du quotidien, dont des exemples tardifs (1984-1993) sont visibles dans l'exposition. Cependant, s'il y a des raisons d'associer sa démarche au processus du ready-made3, il est important de considérer l'intrication immédiate de ces œuvres avec sa pratique de la performance, au cours de laquelle le corps lui-même est également peint - une réponse féministe aux Anthropométries d'Yves Klein (1960) et un écho aux happenings que Jean-Jacques Lebel organisait à l'époque à Paris, et qui ne sont pas particulièrement remarqués pour leur émancipation du corps féminin4. La transition d'un sujet à l'autre est exprimée par l'utilisation d'un téléviseur montrant des images d'une performance à côté d'un autre de ses objets peints, La Tour des prières (1977). À côté de l'objet se trouve une photographie qui documente son activation par l'action, dont la présence suscite une question supplémentaire sur son statut, tandis que son existence en tant qu'image dans ses œuvres sur papier nous informe de son importance dans l'ensemble des représentations propres à l'artiste. 1987 - 1989 Parsons School of Design, Paris 1986 - 1989 Institut français de la mode, Paris 1989 - 1990 WICE (Institut de formation continue), Paris 1986 - Sur demande, dans son atelier, et ailleurs. Principales expositions personnelles Depuis 1958, Myriam Bat-Yosef a organisé plus de 100 expositions personnelles dans le monde entier, dont les principales : 1958 Musée de Tel Aviv 1963 Musée national de Reykjavik, Islande 1964 Galerie Lucien Durand, Paris, France. Schwarz Gallery, Milan, Italie. 1965 Sydow Gallery, Francfort, Allemagne, présenté par Alain Jouffroy. 1967 Aoki Gallery, Tokyo, Japon. 1969 Musée de Tel Aviv, Israël. Passepartout Gallery, Copenhague, Danemark. Latina Gallery, Stockholm, Suède. Présenté par Pierre Restany. Schwarz Gallery, Milan, Italie. Présenté par Franco Passoni 1970 Galerie Gmurzynska, Cologne, Allemagne, présentée par Pierre Restany. 1971 Musée d'Israël, Jérusalem, Israël. Musée Noraena Hus, Reykjavik 1995 Musée d'Akureyri, Islande. 2005 Claude Samuel Gallery 2009 Claire Corcia Gallery, Paris Principales expositions collectives 1955, Salon de la jeune peinture, Paris 1964, Triennale de Tokyo, Japon. 1965 Mai Salon, Paris. Biennale de Paris Musée d'art moderne de Rhode Island, États-Unis 1967, Collage 67, Munich, Allemagne 1968, Foire de mai, Paris. 1972, Biennale Grafik. Vienne (Autriche) 1976, Exposition mondiale du surréalisme, Chicago. Organisé par Franklin Rosemont...
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