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GUELA TSOULADZE
"Untitled 6" Peinture 102" x 102" pouces par GUELA TSOULADZE

2021

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À propos de cet article

"Untitled 6" Peinture 102" x 102" inch by GUELA TSOULADZE Peinture à l'huile sur toile cirée. SUR L'ARTISTE : Nomade de naissance, Guela Tsouladzé est née le 8 novembre 1959 à Tbilissi, en Géorgie, d'une mère française et d'un père géorgien. Son père était l'un des premiers psychanalystes géorgiens ; mais travailler avec le conscient et le subconscient de l'homo sovieticus était une occupation contestée, critiquée par l'idéologie soviétique. Il fallait donc une bonne dose d'audace ; c'est dans ce contexte d'insoumission et de liberté, que Guela répète inlassablement qu'il sera artiste, sans avoir jamais rien peint. Le père lui commande ainsi sa première œuvre : un point noir au plafond de son cabinet, que ses patients fixent pendant les séances. La porte d'entrée de l'hypnose, et la future signature de l'artiste. C'est peut-être de là que vient le sens inné de l'audace et de l'évasion de Guela, deux thèmes qui se reflètent encore aujourd'hui dans ses œuvres. Guela grandit dans un univers artistique surréaliste, entre la France et la Géorgie, inspiré notamment par Pirosmani, les frères Zdanevitch et Salvador Dali, qu'il rencontre peu avant sa mort en 1981 à Portiligat Cadaques, et entouré du cinéaste Paradjanov, ami de la famille Tsouladze. Il commence ses études aux Beaux-Arts de Tbilissi en 1977, mais l'horizon ultime est Paris. Il rejoint les Arts Décoratifs de 1980 à 1983, puis les Beaux-Arts de 1983 à 1985. Il devient l'assistant de Christian Boltanski, qu'il suit d'exposition en exposition. En France, les années 80 sont des années colorées, sauvages comme un tableau fauve. L'art sort des musées et donne naissance à la figuration libre, mouvement insaisissable, qui se dessine lentement dans la léthargie des Beaux-Arts. La culture pop, dans sa spontanéité et son absence de contrôle, s'empare de tout et brise tous les codes, les groupes et les frontières. L'art est libre de toute contrainte et de toute analyse. Guela est là au bon moment, au bon endroit, avec les bonnes personnes. La Sainte Trinité, comme il aime à le répéter. Ces années folles sont un terrain de jeu extatique pour ses instincts artistiques. Guela peint sur tout : papiers, toiles ou journaux. Ses grands formats sont à l'échelle de sa silhouette ; il quitte les Beaux-Arts et rejoint les premiers squats du dix-neuvième arrondissement de Paris, notamment l'atelier du quai de Seine, qu'il partage avec Rémy Blanchard et Vincent Scali. Ce sont les années de Ben, des frères Di Rosa, de Robert Combas et de François Boisrond. L'art pour tous et la fête pour tous. Guela suit ses intuitions à Ibiza et à Barcelone de 1987 à 1993, où il travaille à la Casa Caritad, qui deviendra plus tard le musée d'art moderne de la ville. Ce plaisir coloré et collectif contraste avec les sombres angoisses de notre époque. Contrairement à la dystopie répandue, c'est alors l'utopie qui règne ! New York en est l'épicentre, façonné par Basquiat et Keith Haring. Guela y vit de 1993 à 1998, dont plusieurs années au légendaire Chelsea Hotel, dont il couvre les murs et le mobilier de calligraphies géorgiennes. C'est là que sont nées ses figures simplistes, noires et affectueuses, qui deviendront plus tard sa marque de fabrique et l'un des symboles de Batumi. C'est précisément à la fin des années 90 que son désir de construire des ponts entre son pays natal et la France s'est approfondi. L'Union soviétique est morte dans un élan de liberté, et les Géorgiens sortent lentement d'une guerre fratricide, alimentée par la Russie. La Géorgie a besoin d'amour, c'est pourquoi Guela remplace les croix du drapeau par des cœurs, à la suite de la révolution des roses de 2003. Depuis, convaincue que l'art est la réponse au stress qui sévit toujours en Géorgie, Guela multiplie les projets d'expositions, de partenariats, de festivals et de centres d'art. Il fait venir plusieurs artistes français à la résidence Garikula, dont Jean Dupuy et Ben, devenant ainsi coauteur des premières sculptures monumentales Fluxsus au monde. À Batumi, il crée en 2013 le Batumi Grafikart Festival, le premier festival de Street Art en Géorgie. Plus récemment, en 2018, il organise le centenaire de 41 °, le premier groupe d'artistes géorgiens d'avant-garde en hommage à Artistics. L'art ne connaît pas de limites, tout comme l'amour et la liberté. Ils sont le dernier rempart contre l'obscurantisme et la violence, qu'elle soit politique et interne, ou externe, aux frontières sans cesse contestées de la Géorgie. C'est ce message, si simple et pourtant inaudible pour certains, que l'artiste répète dans ses œuvres, en écho à l'utopie colorée des années 80 à Paris et à New York. Guela cultive un sentiment d'unité, de fête et de lumière qui se répand dans ses peintures et sculptures colossales. Avec ce mystérieux point noir qui le guide, l'artiste recherche la magie de la spontanéité, un doux mélange de chance et d'intuition qui touche aux frontières de la réalité, du mysticisme et de la spiritualité.
  • Créateur:
    GUELA TSOULADZE (1959, Géorgien)
  • Année de création:
    2021
  • Dimensions:
    Hauteur : 259,08 cm (102 po)Largeur : 259,08 cm (102 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
  • Adresse de la galerie:
    Culver City, CA
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU1085112004802

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