Passer au contenu principal
Vous voulez plus d'images ou de vidéos ?
Demander au vendeur plus d'images ou de vidéos
1 sur 5

Stefanie Schneider
Quand nous étions amis II (Banlieue) - Contemporain, Polaroid

2004

550 €
Expédition
Recherche du devis...
La promesse 1stDibs :
Garantie d'authenticité,
Garantie de remboursement,
Annulation sous 24 heures

À propos de cet article

Quand nous étions amis (Suburbia) - 2004 28x37cm, Edition de 10, C.C.C. numérique basé sur le Polaroïd. Étiquette de signature avec certificat, non monté. Le projet "Suburbia" a été tourné sur le plateau du premier long métrage de Marc Forster, "Everything put Together", avec Radha Mitchell, Michelle Hicks, Megan Mullally, Catherine Lloyd Burns, Matt Malloy et d'autres. Stefanie Schneider a obtenu un MFA en design de communication à la Folkwang Schule Essen, en Allemagne. Son travail a été exposé au Musée de la photographie, Braunschweig, au Musée für Kommunikation, Berlin, à l'Institut für Neue Medien, Francfort, au Nassauischer Kunstverein, Wiesbaden, au Kunstverein Bielefeld, au Museum für Moderne Kunst Passau, aux Rencontres d'Arles, à la Foto -Triennale Esslingen, à la Biennale de Bombay Beach 2018. Le paysage émotionnel de Stefanie Schneider : Un exposé sur sa vision Comprendre le travail de Stefanie Schneider, c'est entrer dans un monde où le temps n'est ni linéaire ni prévisible. C'est un paysage émotionnel, qui ne se limite pas aux moments fugaces que nous appelons "présent", mais qui est plutôt une intersection entre la mémoire, l'atmosphère et la vulnérabilité humaine à l'état brut. Elle ne se contente pas de photographier les gens, elle capture leur essence, leurs fantômes, leurs chuchotements fugaces. La nature éphémère de son support Polaroïd reflète la fragilité de la condition humaine. Ses œuvres redonnent vie à la mémoire elle-même, en utilisant la décomposition des films comme métaphore de l'érosion insidieuse de nos expériences par le temps. Ce ne sont pas les moments immaculés que nous chérissons que Schneider recherche, mais les moments qui suivent, ceux où les bords s'effilochent, où la lumière se plie différemment, où quelque chose d'inattendu émerge du statique. Dans The Last Picture Show, son projet de film qui n'a jamais vu le jour comme il le méritait, elle a rendu visible ce qui n'avait pas été dit, en rassemblant des histoires d'individus, de lieux et d'époques en une collection tangible de moments humains. C'était un voyage, un lent déploiement des espaces interstitiels entre ce que l'on voit et ce que l'on ressent. L'art de Stefanie Schneider n'est donc pas la beauté pour la beauté, mais la recherche de la version brute, honnête et non aseptisée de nos histoires. Il s'agit d'une exploration de ce qui reste lorsque tout le reste est éliminé, qu'il s'agisse de personnes, de lieux ou même de nos propres souvenirs éphémères. Ses œuvres n'ornent pas les murs pour impressionner - elles pénètrent, elles laissent une empreinte, tant sur le spectateur que sur le support lui-même. La mutation chimique de la mémoire : Une déclaration personnelle Le travail de Schneider témoigne d'une exploration beaucoup plus profonde de la lutte de l'humanité contre l'imperfection. Dans un monde obsédé par la perfection, Schneider trouve que l'imprévisibilité du film expiré, la façon dont la lumière se répand sur les mutations chimiques du temps, est son outil le plus honnête. Chaque image qu'elle crée est une réaction, un moment de chaos où elle a fait confiance à l'invisible, au processus de vieillissement du film. Ces réactions chimiques reflètent la manière même dont nous nous souvenons ou non ; elles évoquent la nature fracturée de la mémoire et la qualité insaisissable de l'identité. Ses photographies nous emmènent sur un terrain incertain, où les couleurs se transforment, les textures se déchaînent et la lumière révèle des fragments de sens que nous ne pouvons pas facilement saisir. Elle n'est pas une photographe, mais une conteuse de choses oubliées, de choses invisibles. Ses sujets - qu'il s'agisse d'un désert ou d'un être humain pris dans une rêverie silencieuse - sont des portails vers une vérité plus profonde, une vérité qu'il n'est pas facile de transmettre par des mots, mais seulement à travers la lentille non filtrée et sans complaisance du temps lui-même. D'une certaine manière, l'œuvre de Schneider reflète les contradictions de la vie : la beauté dans le chaos, la clarté dans l'ambiguïté, la paix dans le désarroi. Ce ne sont pas les scènes immaculées que nous attendons d'un monde de l'art moderne et poli ; ce sont les imperfections qui chuchotent le plus fort, les fractures qui nous font nous sentir le plus vivants. Elle utilise le film Polaroid, autrefois symbole de la satisfaction instantanée, mais au lieu de préserver des moments parfaits, elle s'en sert pour exprimer quelque chose de beaucoup plus profond : le beau et inexplicable désordre qu'est vraiment la vie. L'honnêteté dans le cadre : Accepter la vulnérabilité Stefanie Schneider ne cherche pas à obtenir l'approbation de son public. Elle cherche à créer des moments authentiques de connexion qui résonnent avec l'âme. Regarder l'une de ses œuvres, c'est assister à un moment de vérité sans fard, un moment fugace où tout est laissé à nu, à l'état brut, imparfait et humain. C'est la vulnérabilité d'être pris au milieu des transitions de la vie, l'incertitude d'être humain, l'acceptation du fait que nous ne pouvons pas tout préserver - mais nous essayons. Chaque image témoigne de l'impermanence, de l'éphémère et de la beauté imparfaite. Schneider ne manipule pas le monde pour qu'il corresponde à sa vision ; elle le rencontre dans son état naturel, acceptant sa nature irremplaçable et fragile. Son travail est une méditation sur ce que le temps fait à chacun d'entre nous - comment nous nous décomposons, comment nous changeons et comment nous finissons par disparaître. Mais même dans cette fragilité, il y a de la beauté. Parce que dans la dégradation, il y a une vérité qui attend d'être déterrée. Faire l'expérience du travail de Stefanie Schneider, c'est se rappeler que nous ne pouvons pas contrôler le temps, mais que nous pouvons en témoigner. Elle capture non pas ce qui est permanent, mais ce qui reste longtemps après le moment passé - l'arrière-goût de la mémoire, cette chose fugace et magique qui danse juste hors de portée. La réalité invisible : Une lettre d'amour à l'imperfection Dans un monde obsédé par la clarté, le travail de Schneider est un appel à embrasser les bords flous. C'est une invitation à ressentir le désordre et à voir la beauté dans l'imprévisible. Elle ne fait pas de l'art pour la célébrité, la reconnaissance ou le statut - elle le fait pour parler à quelque chose de plus profond en chacun de nous. Quelque chose de brut. Quelque chose de réel. Quelque chose que nous ne pouvons pas expliquer facilement. L'art de Stefanie Schneider ne vise pas la perfection. Il s'agit de la vérité qui n'émerge que lorsque nous lâchons prise, lorsque nous cessons d'essayer de contrôler et que nous laissons l'instant être - imparfait, éphémère et beau.
  • Créateur:
    Stefanie Schneider (1968, Allemand)
  • Année de création:
    2004
  • Dimensions:
    Hauteur : 28 cm (11,03 po)Largeur : 37 cm (14,57 po)Profondeur : 1 mm (0,04 po)
  • Autres éditions et dimensions:
    20x24cm, Edition of 10Prix : 380 €
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
  • Adresse de la galerie:
    Morongo Valley, CA
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU652316305792

Plus d'articles de ce vendeur

Tout afficher
Still Good Friends (Suburbia) - Contemporain, Polaroid, Photographie, Portrait
Par Stefanie Schneider
Still Good Friends (Suburbia) - 2004 20x24cm, Édition de 10 exemplaires plus 2 épreuves d'artiste. C-print archivistique basé sur le Polaroid. Étiquette de signature avec certif...
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Portait

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Quand nous étions amis (Banlieue) - Contemporain, Polaroid
Par Stefanie Schneider
Quand nous étions amis (Suburbia) - 2004, 28x37cm, Edition de 10, C.C.C. numérique basé sur le Polaroïd. Label de signature avec certificat, non monté. Le projet "Suburbia" a été...
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Figuratif

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Jean (Suburbia) - Contemporain, Polaroid, Analogique, Couleur, Photographie, Portrait
Par Stefanie Schneider
Jean (Suburbia) 2004, 20x24cm, Edition de 1/10, c-print numérique basé sur un Polaroid, non monté, signé au verso avec certificat, non monté. Ce projet "Suburbia" a été tourné sur l...
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Portait

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Jean 3 (Banlieue) - Contemporain, Polaroïd, Analogique, Couleur, Photographie, Portrait
Par Stefanie Schneider
Jean III (Banlieue) 2004, 20x24cm, Edition de 1/10, C-Print numérique basé sur un Polaroid, Étiquette de signature avec certificat. N° d'inventaire de l'Artistics : 1688.01. Non mo...
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Portait

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Exercise II (Suburbia) - Contemporain, Polaroid, Photographie, Portrait
Par Stefanie Schneider
Exercice II (Banlieue) - 2004 20x24cm, Edition de 10, c-print numérique basé sur un Polaroid, Label de signature et certificat. Inventaire de l'artiste n° 1714. Non monté, Ce p...
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Portait

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Judith (Banlieue) Contemporary, Polaroid, Analog, Color, Photography
Par Stefanie Schneider
Judith (Banlieue) - 2004 50x60cm, Edition de 10, C.C.C. d'archivage basé sur un Polaroïd, Signé au verso avec le certificat, Numéro d'inventaire de l'artiste : 1698. Non monté....
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographies - Nus

Matériaux

Papier d'archives, Papier photo, C-Print, Couleur, Polaroïd

Suggestions

Tracey Baran, photographie vintage des années 90, scène de jardin décontractée
Tracey Baran, photographie vintage des années 90, scène de jardin décontractée Sans titre, 1998 Signé, daté et numéroté à l'encre, au verso Tirage chromogène 11 x 14 pouces TBA1000
Catégorie

années 1990, Contemporain, Photographies

Matériaux

C-Print

Ensemble de photographies polaroïdiques Miquel Arnal
Par Miquel Arnal
Ensemble de photographies polaroid de Miquel Arnal. En état d'origine, avec une usure mineure conforme à l'âge et à l'utilisation, préservant une belle patine. Matériau : Papi...
Catégorie

années 1990, Espagnol, Postmoderne, Photographies

Matériaux

Papier

Ensemble de photographies polaroïdiques Miquel Arnal
706 € Prix de vente / ensemble
25 % de remise
Poor Babies - Collage de photos figuratives suburbanes sur Mylar
Matthew Conradt "Pauvres bébés" Technique mixte sur mylar 36" x 47", 2010 Cet article n'est pas encadré Dans cette pièce, Conradt s'attache à l'anonymat des personnages, dissimulant...
Catégorie

XXIe siècle et contemporain, Contemporain, Technique mixte

Matériaux

Technique mixte, Mylar

Sabina Guzzanti - Photo vintage, années 1980
Sabina Guzzanti est une photographie vintage en noir et blanc réalisée dans les années 1980. Bonnes conditions. 
Catégorie

années 1980, Contemporain, Photographies - Figuratif

Matériaux

Papier photo

Sabina Guzzanti - Photo vintage, années 1980
67 € Prix de vente
25 % de remise
Spectacle de rue en banlieue
Stuart Hawkins (américain, né en 1969), Suburban Street View, Chromogenic Print in Colors, 2001, édition signée, datée et numérotée "1/6" au verso, montée sur panneau et non encadrée...
Catégorie

XXIe siècle et contemporain, Contemporain, Photographies - Paysage

Matériaux

Papier, Panneau, C-Print

Sans titre, de la série High School
Jona Franks Sans titre, de la série High School, 2004 Tirage chromogène Dimensions encadrées : 24 3/4 x 21 3/4 pouces (62.9 x 55.2 cm)
Catégorie

Début des années 2000, Contemporain, Photographie couleur

Matériaux

C-Print