Thomas Jackson

Tulle no.34_v1, île d'Ocracoke, Caroline du Nord

2021

Les installations flottantes présentées dans cette série de photographies s'inspirent des systèmes auto-organisés et "émergents" de la Nature, tels que les termitières, les criquets ...

Les installations flottantes présentées dans cette série de photographies s'inspirent des systèmes auto-organisés et "émergents" de la Nature, tels que les termitières, les criquets ...

EXPOSITION À VENIR - du 10 avril au 12 juin 2016. Toutes les photographies encadrées achetées pendant l'exposition seront disponibles après le 12 mai. Si la pièce d'exposition est vendue ou si le client commande un format d'impression différent, la photographie est produite à l'achat. Veuillez prévoir deux semaines pour la production. Le délai de livraison dépend du mode d'expédition. Le prix est soumis à la disponibilité. La Galerie se réserve le droit d'ajuster ce prix en fonction de l'édition actuelle de la photographie. À PROPOS DE Les 13 photographies grand format présentées dans cette nouvelle exposition sont de tendres paysages océaniques qui vont au-delà des représentations typiques de la mer. Photographiée quelques instants avant le crépuscule ou l'aube, dans le ressac, la ligne d'horizon évanescente de chaque image crée une sensation illusoire d'espace. Dans "First Beach, Newport. Juillet 2017", le noir bleuté de l'océan et du ciel sont indiscernables, leurs couleurs se fondant en un seul bruit sourd. "Les vagues brouillent l'horizon et produisent un mouvement sombre", explique McLaughlin. Les longues expositions des photographies trouvent un point de fuite entre la forme et le vide, comme des souvenirs fugaces. 41 degrés fait référence au cercle de latitude nord qui se trouve à 41,46 degrés au-dessus du plan équatorial. C'est la coordonnée des plages de Rhode Island où McLaughlin a pris les photos. Il a un lien personnel avec le lieu, ayant passé une partie de son enfance à Rhode Island. M. McLaughlin réside à temps partiel dans l'État depuis de nombreuses années. Ses visites à l'âge adulte lui ont permis d'échapper à l'agitation de son travail, qui l'amène à voyager à l'étranger pour des missions commerciales. En retournant dans de vieux repaires, McLaughlin crée des méditations sur le temps perdu et retrouvé. Les influences de McLaughlin pour cette série sont plus picturales que photographiques. Particulièrement inspiré par le travail de Richard Diebenkorn et de Pat Steir, McLaughlin crée une collection abstraite d'œuvres lyriques. Il s'agit d'un nouveau départ pour lui, qui est surtout connu pour les photographies qu'il prend sur la route à travers le monde. Comme les peintures de Diebenkorn sur l'Ocean Park, 41 degrés cherche à capturer un lieu où l'artiste revient constamment. Bien que les résultats de son processus varient, les photographies partagent toutes une patience nostalgique pour le sujet, chacune faisant écho à l'autre. Subtiles et opaques, les scènes de McLaughlin contemplent sans fin les profondeurs de la mer tandis qu'une nouvelle aube se lève au-dessus. Membre de la troisième génération de Brooklyn, Micheal McLaughlin a commencé à s'intéresser à la photographie à l'âge de 11 ans. Il a fréquenté le Nova Scotia College of Art & Design (BFA, 1983), et a étudié avec Alison Rossiter...

Né à San Francisco en 1966, Mark Stephens Kornbluth a grandi à Montréal, puis à Cleveland. Depuis la fin de ses études secondaires, Mark a vécu à Toronto (deux fois), à Los Angeles, ...