Peintures Charles Chaplin
Français
Charles Joshua Chaplin est né en France d'un père anglais. Il fut l'un des élèves de Michel Martin Drolling à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts en 1845. Le style de Chaplin s'inspire de la peinture rococo et des travaux de Jean-Baptiste-Siméon Chardin et de Jean-Etienne Liotard. Son travail est apprécié par l'impératrice Eugénie et il reçoit plusieurs commandes de l'Opéra et du palais des Tuileries. Artiste officiel du Second Empire, il est classé dans la catégorie "Art Pompier". Chaplin a exposé ses œuvres au Salon de 1845 à 1868.
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Artiste: Charles Chaplin
Portraits de femmes de la période Napoléon III
Par Charles Chaplin
Charles CHAPLIN
(Les Andelys 1825 - Paris, 1891)
Portraits de femmes
Paire d'huiles sur toiles rectangulaires
H. 60 cm ; L. 50 cm
Signé
Élève de Michel Martin Martine à l'École des ...
Catégorie
années 1850 École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Toile, Huile
Articles apparentés
Peinture à l'huile d'époque Empire Antiques Portrait d'une jeune femme à la mode
Portrait d'une jeune femme
École française, début des années 1800
huile sur toile, non encadrée
toile : 26 x 21 pouces
Provenance : collection privée, France
Condit : quelques fissu...
Catégorie
Début du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile, Toile
Portrait à l'huile d'une dame et de son chien, encadré, milieu du 19e siècle, style provincial français
Portrait d'une dame avec son chien
École française, milieu du 19e siècle
huile sur toile, encadrée
encadré : 36 x 28 pouces
toile : 29 x 20 pouces
Provenance : collection privée, Fra...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile, Toile
1850 Grand portrait français du milieu du 19e siècle d'un jeune homme signé Huile
Le gentleman français
de Paul Goubil (français, milieu du XIXe siècle)
signé et daté de 1855
huile sur toile, encadrée
encadré : 30.5 x 25 pouces
toile : 29 x 24 pouces
Provenance : ...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile, Toile
Portrait d'enfant aux yeux bleus
Par Charles Zacharie Landelle
Charles Zacharie LANDELLE
(Laval, 1821 - Chennevières/Marne, 1908)
Portrait d'enfant aux yeux bleus
Huile sur toile
Monogrammé et daté en bas à gauche
40 x 33 cm
184...
Fils d'emp...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
Portrait d'un actrice avec des fleurs de l'école française du 18e siècle
École française du XVIIIe siècle
Portrait d'une actrice
Huile sur toile
30 x 23 pouces
36 x 30 pouces, encadré
Catégorie
XVIIIe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
Portrait d'une beauté rousse huile sur toile de René Avigdor 19ème siècle
Portrait d'une beauté rousse huile sur toile de René Avigdor 19ème siècle
René Avigdor est né à Nice et a fait toute sa carrière en France.
Il s'est spécialisé dans les portraits,...
Catégorie
années 1890 École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Feuille d'or
H 31,89 po l 29,53 po P 4,73 po
Belle Epoque - Peinture à l'huile du 19ème siècle - Portrait d'une fleuriste française
Jeune beauté tenant une rose rouge" par Étienne Adolphe Piot (1831-1910). Le tableau est signé par l'artiste et est accroché dans un cadre en feuilles de métal doré de qualité supéri...
Catégorie
Fin du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
Portrait du colonel Charles-Louis-Prosper marquis de Chérisey (1786-1837)
D'après Louis-Stanislas MARIN-LAVIGNE (Paris, 1797 - Paris, 1860)
Portrait du colonel Charles-Louis-Prosper marquis de Chérisey (1786-1837)
en uniforme de commandant du 38e régiment...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
H 21,86 po l 18,12 po
BEAUTÉ DU PRINTEMPS - Angelo Granati - Oirtrair d'huile sur toile
Par Angelo Granati
SPRING BEAUTY - Huile sur toile d'Angelo Granati, Italie 2011
Feuille d'or, soie plissée et miroir cadre en bois ext. mis. cm. 164x106.
Il s'agit de sa réinterprétation de la peinture "Spring Beauty" du grand maître Corcos Vittorio Matteo...
Catégorie
années 2010 École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Toile, Huile
Portrait complet d'un enfant avec son chien
Benjamin Théophile CHARON-LÉMERILLON
(Paris, 1807 - Bouzareah (Alger), 1873)
Portrait complet d'un enfant avec son chien
Huile sur toile
Signé et daté en bas à droite
36 x 28 cm
18...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854)
François Jean SABLET
(Morges, 1745 - Nantes, 1819)
Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854)
Inspecteur divisionnaire honoraire des ponts et chaussées.
Huile sur toile
Monogrammé et daté en bas à droite
30x25cm
1819
Peintre de portraits, Jean François Sablet, originaire de Morges, né le 23 novembre 1745, est le fils aîné de Jacob Sablet (1720-1798), bourgeois de cette ville, peintre en bâtiment, doreur, marchand d'art, et de Suzanne Dupuis (1722-1775), établie à Lausanne dès 1754.
En 1767, le 8 juin, il se prépare à partir pour "se perfectionner dans l'art de la peinture" avec un viatique du Conseil de Morges et une bourse de Berne. À Paris, il est l'élève de Joseph-Marie Vien à l'Académie royale (1768-73). En 1772, il est rejoint par son jeune frère Jacques qui, en 1776, part à Rome pour y poursuivre une brillante carrière. François, lui, reste à Paris, y passe presque inaperçu, n'ayant ni concouru, ni reçu de prix, ni même exposé. En 1774, il signe et date le Portrait du comte d'Artois, en tant que colonel général des Suisses et des Grisons. En 1777, il épouse Marie Madeleine Borel, fille d'un marchand de bois, et s'installe près des Quinze-Vingt à la Bastille, comme portraitiste. Il est entré dans la loge maçonnique de l'Amitié céleste et a donc bénéficié d'une certaine notoriété. Il a exécuté le portrait de Charles-Henri, comte d'Estaing, gravé par Charles-Etienne Gaucher (1779). En 1781, L. Perrot reproduit deux de ses œuvres du cabinet de Madame de Saint-Maurice, Enfance à la campagne et Visite à la nourrice, pour la société philanthropique fondée notamment par Louis d'Affry, capitaine des Gardes suisses. . Outre le fait que ces sujets dénotent un idéal de bienveillance sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau, ils témoignent de relations avec le milieu suisse. Enfin, le format et la qualité de deux grands portraits en pied, la Vestale versant de l'encens (1781) et l'Offrande à Hymen (1783), reflètent sa faveur dans la société à la veille de la Révolution et, bien que dans l'ombre, il est capable de se constituer des rentes viagères. De cette première étape sont datés deux carnets de croquis à la craie noire et à la craie rouge de personnages, de scènes d'intérieur, d'évocations théâtrales, dont la Vierge vestale versant de l'encens. Il a également signé une série d'illustrations de lavis portant sur la mythologie et d'autres sujets tirés d'Ovide. En 1789, le climat politique s'assombrit soudainement, les amateurs partent, entraînant les artistes avec eux. François Sablet prend la route de la Suisse et, en janvier 1792, rejoint à Rome son frère, peintre de genre en costumes italiens et de portraits dans la nature appelés "sujets de conversation", modèles dont François va s'inspirer. François passe l'été à Genzano, dans la campagne romaine, où il se consacre également au paysage et aux costumes populaires. Beat d'Hennezel, leur compatriote, évoque les soirées chez les Sablets avec leurs amis artistes, occupés à dessiner des portraits tout en échangeant des remarques enflammées sur la situation politique. Cependant, les événements de Paris ont eu des répercussions à Rome. En janvier 1793, le représentant français est assassiné, les Français et autres francophones sont en danger et doivent quitter les États pontificaux. Les artistes retournent à Florence, mais tous ne peuvent pas y rester et continuent en France ; les Sablet se dirigent vers Lausanne. De retour à Paris, il est reçu le 1er octobre 1793 à la Commune des Arts et le 28 mai suivant, il soumet son croquis des charrettes de foin traînées par les sans-culottes de la Commune de Chaussière, faute de chevaux pour le concours de l'an II. Il a fourni trois portraits au graveur Pierre-Michel Alix pour sa Galerie des Grands Hommes : Viala, Guillaume Tell et Lycurgue. Ce n'est qu'en 1795 qu'il expose pour la première fois deux portraits au Salon, puis ne signe plus aucune œuvre jusqu'en 1799. Pendant toute cette période, il vit à Vernonet en Normandie avec l'acteur Simon Chenard et semble prendre ses distances avec Paris contrairement à son frère qui, logé au Louvre, expose ses œuvres avec succès. En 1799, il présente au Salon deux paysages, deux intérieurs et deux portraits. En 1802, les frères Piranèse, protégés par Lucien Bonaparte, créent une Académie des Beaux-Arts au Collège de Navarre, où François Sablet se distingue dans la chalcographie : Vue du cloître de la Chartreuse dans les thermes de Dioclétien, Illumination du Pont des Tuilerie et Illumination de la Concorde et six Vues des jardins de la Villa Borghèse. En 1804, il expose au Salon deux paysages, dont La Voie Appienne au bas de la Riccia et deux portraits.
Un décret du 30 mars 1805 installe cependant l'École polytechnique au Collège de Navarre, obligeant la chalcographie piranésienne à déménager tout en accordant une compensation aux artistes. François Sablet décide alors de s'installer à Nantes où il a de nombreux amis. C'est, outre les frères Cacault avec leur riche collection à Clisson, l'architecte Mathurin Crucy, compagnon d'études, le sculpteur François-Frédéric Lemot qui y crée une nouvelle "Arcadie", tous très proches et à l'origine du développement du port et de la ville de Nantes. François Sablet y poursuit sa carrière de portraitiste avec beaucoup de succès. Il a une vitrine, tout le monde défile dans son studio, il y a une file d'attente. Suit une étonnante production de petits portraits "à la Boilly", très naturels, parfois incisifs, comme son Autoportrait, dédié au musée d'art de Nantes. François Cacault meurt en 1805 et Sablet est chargé de l'inventaire de la collection pour le musée.
Son œuvre ne se limite cependant pas aux petits portraits : pour Crucy, il peint le salon, où apparaissent l'architecte et sa femme, et divers paysages, notamment le Portrait de la famille de la Roche, que l'on n'hésite pas à attribuer à Jacques Sablet. Et c'est bien là le problème si difficile à élucider, car non seulement François est surnommé à tort "le Romain" ou "le Jeune", mais il peint à la manière de Jacques. Il exécutait des paysages des environs ou des souvenirs d'Italie, mais son activité principale était la décoration de la Bourse. Son architecte Mathurin Crucy a fixé le programme : six grandes grisailles évoquant la visite de Napoléon à Nantes en août 1808. François Sablet se met au travail en juillet 1810 et la Bourse est inaugurée le 15 août 1812. Quant aux grisailles, elles sont recouvertes à la Restauration, puis retirées et vendues. Il ne reste que les dessins préparatoires et 123 portraits légués à la Société archéologique de Nantes en 1862. En avril 1817, François expose au Salon une grande vue du port de Nantes qu'il peut contempler depuis son domicile. L'année suivante, il signe et date une Sainte Famille, l'œuvre ultime du peintre. Ainsi, peu à peu, se dessinent l'art et la personnalité de François Sablet, essentiellement peintre de portraits et de paysages, suivant tous les styles, traversant avec souplesse les aléas de l'histoire, de belles effigies au pied de l'Ancien régime à la suite de Vien et de petites scènes champêtres, à la mode, comme L'escarpolette puis converti à Nantes avec de petits portraits illustrant la bourgeoisie locale, sachant toujours répondre aux différents patronages avec un égal bonheur, se montrant à la hauteur d'une grande commande municipale comme la décoration de la Bourse, ou encore retrouvant le style du XVIIe siècle italien pour un tableau d'église.
Musées : Nantes, Brest, Melbourne, New York (Met.), Fribourg, Lausanne..
Bibliographie : SIKART - Anne van de Sandt - 1998 et 2018
Jean Claude Frédéric Alexis Pellegrini, né le 22 juillet 1787 à Chambéry (Mont-Blanc) et mort le 27 mars 1854, est un inspecteur divisionnaire honoraire des Ponts et Chaussées. Il réalise les travaux d'amélioration de la navigabilité du Lot et étudie le projet d'un canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Il a participé à la construction du pont Vittorio Emanuele I sur le Pô à Turin et du pont sur la Garonne à Moissac
Il est le fils de Bernard Pellegrini, originaire de Castelrotto dans la commune de Croglio, au Tessin (Suisse), et de Marguerite Berthet. Il est le frère de Charles Henri Pellegrini.
Il entre à l'école polytechnique le 20 novembre 1806 et en sort le 1er septembre 1808. Il entre dans la fonction publique et poursuit ses études à l'École des Ponts et Chaussées. Pendant ses études, il fait des stages dans le département de l'Ain, en 1809, et dans le département du Pô, à Turin, en 1810, où il participe aux travaux du grand pont de pierre sur le Pô, à Turin. Bien qu'il n'ait fréquenté l'école des Ponts et Chaussées que pendant deux ans au lieu de trois, il est nommé ingénieur en herbe et reste attaché à la construction du pont sur le Pô. Il est nommé ingénieur civil de 2e classe le 1er septembre 1811. En 1812 et 1813, il est chargé des travaux hydrauliques sur la Stura. Il est responsable des travaux de la citadelle de Turin. Sa fonction d'officier du génie militaire a cessé après la reddition de la citadelle. Mis ensuite à la disposition du ministère de l'Intérieur le 4 mai 1814, il est mis à la disposition du roi de Sardaigne pour poursuivre les travaux du pont sur le Pô jusqu'en octobre 1814. Il est ensuite nommé ingénieur des ponts et chaussées dans le département de la Lozère où il entreprend les démarches nécessaires à la construction du pont sur le Tarn à Florac. Il est nommé chef de service d'un arrondissement du département du Gers, entre le 1er décembre 1814 et le 1er octobre 1821. Il a travaillé à la construction d'un pont de pierre à trois travées sur la Baïse à Condom. Il a restauré le réseau routier du Gers en utilisant un procédé identique à celui mis au point par MacAdam. Le 1er octobre 1821, il est nommé chef de service de l'arrondissement de Moissac dans le département du Tarn-et-Garonne où il est chargé de la construction du pont de Moissac. Il est nommé ingénieur civil de 1ère classe le 1er juin 1824. Le 15 juillet 1825, il est chargé d'achever le projet de canal entre Toulouse et Montauban. Il a donné les projets de toutes les œuvres d'art à construire avec leurs estimations. Le 6 février 1826, il est chargé des études pour le projet de canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Le 17 juillet 1827, il est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées par intérim pour le département du Tarn-et-Garonne jusqu'à la fin du mois d'octobre 1828. Le 28 octobre 1828, il est nommé ingénieur en chef du département du Lot. Il est nommé chef mécanicien de 2e classe le 25 octobre 1829. Il est nommé ingénieur en chef de 1ère classe des ponts et chaussées le 28 août 1835, ingénieur en chef directeur le 3 juin 1839. Après 1830, l'industrialisation du bassin Aubin-Decazeville rend nécessaire la navigabilité du Lot, seule voie d'eau permettant le transport du charbon et des produits métallurgiques. Le 27 novembre 1832, le directeur général des ponts et chaussées lui confie l'étude du projet d'amélioration de la navigation du Lot entre Livinhac-le-Haut et la limite du département de Lot-et-Garonne. Ces travaux commenceront à partir de 1838 et dureront jusqu'en 1848. Les travaux spectaculaires se feront en amont de Cahors avec une série de canaux de dérivation souterrains comme celui de Capdenac et des digues rétrécies. Pellegrini a restauré les écluses construites sous le règne de Louis XIV dans la basse vallée du Lot...
Catégorie
Début du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile
The death of General Négrier on Place de la Bastille, Paris - France
Par Nicolas Edward Gabé
Nicolas Edward GABE
(Paris, 1814 - Paris, 1865)
La mort du général Négrier sur la place de la Bastille le 25 juin 1848
Huile sur toile
Signé et daté en bas à droite
82 x 101 cm
184...
Catégorie
Milieu du XIXe siècle École française Peintures Charles Chaplin
Matériaux
Huile