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Pot à épi de faîtage polychrome Mata Ortiz de Mauro Quezada, 1989

À propos de cet article

Pot à effigie polychrome Mauro Quezada Terre cuite à basse température, lovée à la main 1989 Pueblo Quezada, Mata Ortiz, Chihuahua, Mexique Mesures : 4.75 pouces de hauteur x 5,5 pouces de diamètre Mauro Quezada est le neveu de Juan Quezada et un maître potier reconnu de Mata Ortiz. Un rare exemple de pot à effigie des premiers travaux de ce maître potier, en très bon état. Ce pot Mauro Quezada est resté dans ma collection privée depuis 1989 et n'a jamais été proposé sur le marché auparavant.
  • Créateur:
    Mauro Quezada
  • Dimensions:
    Hauteur : 12,07 cm (4,75 po)Diamètre : 13,97 cm (5,5 po)
  • Style:
    Artisanat (Dans le style de)
  • Matériaux et techniques:
  • Lieu d'origine:
  • Période:
  • Date de fabrication:
    1989
  • État:
    Usure conforme à l'âge et à l'utilisation.
  • Adresse du vendeur:
    Los Angeles, CA
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU5902226213402

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Ses sculptures sont paradoxales, puissantes et sensuelles, et provoquent un certain malaise. Elles sont belles, charnelles, touchables, tout en étant en dehors de l'idée standard de la beauté. L'ambiguïté de l'attirance et du rejet est au cœur de cette évolution. Les pièces des années 80 et 90 s'imposent par leur taille, leur stature et leur symétrie, qui leur confèrent un équilibre. Ils suscitent la surprise, la curiosité et jouent sur des contrastes à la fois doux et agressifs. Ils font référence au corps, aux muscles, au torse, sans présenter une réalité exacte. Ils sont à double face, séduisants et énigmatiques. Les formes de Wayne s'inspirent des coquillages, des bivalves, parfois présentés comme flottant dans l'espace. Mais la référence du monde marin au mystérieux corps féminin n'a qu'une interprétation et seules l'histoire et l'émotion conditionnent la réaction du spectateur : il accepte ou refuse de voir, d'être séduit. Il est touché ou il s'enfuit. 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Wayne Fischer a perfectionné sa technique dans les années 1970 et y est resté fidèle. Il ajoute des fibres à l'argile à porcelaine choisie pour sa blancheur afin de créer et d'accentuer le volume autour de l'espace vide, en assemblant des dalles ou des pièces jetées. Ensuite, il fabrique une autre pièce qui prend sa place à l'intérieur ; les deux pièces sont formées sans aucune marque de main avant ou après leur assemblage. Ces sculptures sont dites à double paroi. Les colorants sont appliqués à l'aérographe, puis vaporisés d'une couche de glacis transparent. La pièce est colorée à la manière d'un peintre maîtrisant la lumière. Les parties plus sombres accentuent l'ombre et la profondeur, les parties plus pâles s'avancent et se concentrent sur la lumière. Après une cuisson à 1250o Celsius, chaque pièce est sablée pour enlever la brillance mais laisser la transparence, un doux crépitement et une illusion optique de profondeur. Cette description ne tient pas compte de la complexité et de la maîtrise nécessaire de ce processus difficile et explique peut-être pourquoi cette technique fastidieuse n'a pas été reprise par d'autres céramistes. Elle exige une connaissance unique que Wayne Fischer revendique avec détermination. "Il faut sentir le matériau pour créer des pièces puissantes", explique-t-il. Une parfaite connaissance des matériaux est nécessaire pour exprimer ce que l'on souhaite, mais il est tout aussi important d'avoir quelque chose à dire avec cette technique. Wayne est avant tout un artiste. Dès son réveil, quoi qu'il fasse, Wayne est un artiste au point d'être parfois déconnecté de la réalité. Il ne fait aucune concession dans son processus, ni dans le temps qu'il consacre au travail. Il n'a pas cherché un emploi bien rémunéré, il n'a pas abandonné son art malgré les souffrances et les sacrifices, ou les tensions provoquées par son attitude intransigeante. 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