Passer au contenu principal
Vous voulez plus d'images ou de vidéos ?
Demander au vendeur plus d'images ou de vidéos
1 sur 19

Tableau monumental de la "Duchesse du Maire" dans un cadre en bois doré Florentine

8 662,21 €
Expédition
Recherche du devis...
La promesse 1stDibs :
Garantie d'authenticité,
Garantie de remboursement,
Annulation sous 24 heures

À propos de cet article

Il s'agit d'une peinture à l'huile exceptionnelle dans un fantastique cadre Florentine sculpté et doré. Le tableau, qui présente des chérubins et des détails incroyables, est en bon état. Le tableau est une peinture du 20e siècle représentant Anne Louise Bénédicte de Bourbon. Elle était la fille du prince de Bavière. Le tableau et le cadre sont en bon état et ne présentent aucun problème. Le tableau mesure 71,5 de haut x 47,25 de large x 2,75 de profondeur. Anne Louise Bénédicte de Bourbon (8 novembre 1676 - 23 janvier 1753) est la fille d'Henri Jules de Bourbon, prince de Condé, et d'Anne Henriette de Bavière. En tant que membre de la maison régnante de Bourbon, elle était princesse du sang. Forcée d'épouser le duc du Maine, fils légitimé de Louis XIV et de Madame de Montespan, elle s'adonne à la politique et aux arts, et tient un salon populaire à l'hôtel du Maine ainsi qu'au château de Sceaux.Louise Bénédicte naît le 8 novembre 1676 à l'hôtel de Condé[a] à Paris. Elle est le huitième enfant du duc et de la duchesse d'Enghien[1] et porte le nom de Bénédicte en l'honneur de sa tante maternelle, la duchesse de Brunswick-Lüneburg. Elle est élevée à l'Hôtel de Condit avec ses nombreuses sœurs et doit supporter des conditions proches de l'esclavage sous la folie de son père[citation nécessaire]. Sa mère, pieuse et douce, est souvent battue par son père, tout comme leur personnel et sa sœur Marie Anne, Mademoiselle de Montmorency. Lorsqu'on s'adresse à elle, Louise Bénédicte est connue sous le nom de Mademosielle d'Enghien. En tant que princesse de sang, elle possédait le style de l'Altesse Sereine. À l'âge de neuf ans, son père reçoit le titre de comte de Charolais, ce qui permet à Louise Bénédicte d'être connue à la cour sous le nom de Mademoiselle de Charolais. Cette appellation passera plus tard à sa nièce Louise Anne. Elle était très franche et pleine d'esprit, et avait un tempérament terrible. Comme elle était très petite et faisait très attention à son apparence, elle fut surnommée poupée du Sang à la cour de France, littéralement "poupée du sang", un jeu de mots sur le titre honorifique de princesse du sang. Ce surnom aurait été inventé par sa belle-sœur, la duchesse de Bourbon[2], et elle était proche de sa sœur Marie-Anne, dont elle arrangea plus tard le mariage avec le duc de Vendôme (1654-1712). Bien qu'elle soit née avec un bras boiteux, elle était généralement considérée comme la plus séduisante des filles Condé. Malgré cela, Madame la duchesse d'Orléans, belle-sœur de Louis XIV, la traite de " petit crapaud "[3] Quelque temps après son mariage, la duchesse d'Orléans déclare également que " Madame du Maine n'est pas plus grande qu'un enfant de dix ans, et qu'elle n'est pas bien faite "[4]. Pour paraître à peu près bien, il lui faut garder la bouche fermée, car lorsqu'elle l'ouvre, elle l'ouvre très largement et montre ses dents irrégulières. Elle n'est pas très corpulente, utilise une grande quantité de peinture, a des yeux fins, une peau blanche et des cheveux clairs. Si elle était bien disposée, elle pourrait passer, mais sa méchanceté est insupportable"[4] [source auto-publiée ?] Elle était très petite comme sa sœur aînée Anne-Marie, Mademoiselle de Condé. Louise Bénédicte et sa sœur aînée Marie Thérèse de Bourbon, connue sous le nom de Mademoiselle de Bourbon jusqu'à son mariage avec le Grand Conti en 1688, étaient considérées comme les plus séduisantes des filles nées des Condés[citation nécessaire]. Mademoiselle d'Enghien reçoit l'éducation typique donnée aux filles de la noblesse en France et apprend la lecture, l'écriture, la danse, le chant et d'autres matières considérées comme nécessaires pour une jeune aristocrate. Elle passe la plupart de son temps en compagnie de sa mère et de ses deux sœurs aînées[citation nécessaire]. Mariage Dans un premier temps, on lui propose d'épouser Louis de Bourbon, comte de Vermandois, fils de Louis XIV et de Louise de La Vallière. Cependant, le comte meurt en exil en 1683. Louis XIV organise plusieurs mariages dans des maisons princières de France pour ses enfants légitimés par Louise de La Vallière. Avant son mariage, elle assiste au mariage de Philippe d'Orléans avec Mademoiselle de Blois, future duchesse d'Orléans. Le propre frère de Louise Bénédicte, Louis de Bourbon, avait même été contraint d'épouser Mademoiselle de Nantes, fille aînée légitimée de Louis XIV et de Madame de Montespan[citation nécessaire]. En 1692[5], Louise Bénédicte, âgée de 15 ans, épouse Louis Auguste de Bourbon, Légitimé de France, duc du Maine, âgé de 22 ans[6] ; la cérémonie de mariage a lieu le 19 mai 1692 dans la chapelle du château de Versailles. Madame de Montespan n'est pas invitée, mais tous les frères et sœurs de Maine sont présents, ainsi que les princes et princesses du sang. Le marié et son épouse étant tous deux handicapés physiques, les membres de la cour ont plaisanté en disant : "Regardez l'union d'une femme manchote et d'un homme boiteux ! Quel beau couple !".[b]. Louise Bénédicte l'année de son mariage Le mariage n'était pas heureux. Le couple ne s'aime pas ; Louise Bénédicte trouve son mari faible et déteste son manque d'ambition, tandis qu'il ne supporte pas son tempérament terrible et ses tentatives délibérées de le mettre dans l'embarras à la cour. Louise Bénédicte aurait eu plusieurs liaisons connues du Maine[citation nécessaire] et aurait dit à son mari : "Regarde-toi - un bâtard boiteux ! - et tu veux me diriger ? Je suis une princesse royale de pure race, Monsieur, sans aucune tache sur mon berceau ! Que seriez-vous sans les bâtons qui font rire tout le monde ? L'un pour soutenir ton corps, et l'autre, moi, pour maintenir ton rang ! Et ce Leggy veut régner sur mes pas !" (Comme Maine boitait, sa femme l'appelait " Gambillard ", ce qui signifiait boiteux)[c] Louise Bénédicte a donné naissance à trois enfants au cours des cinq premières années de son mariage, mais ils sont tous morts dans la petite enfance. Pour échapper à la morne cour de Madame de Maintenon, épouse secrète de Louis XIV depuis octobre 1683, l'enthousiaste duchesse du Maine crée une petite cour au château de Sceaux, où elle reçoit brillamment et se plonge dans les intrigues politiques[7] Le château, ancienne résidence de Jean-Baptiste Colbert et de sa famille, est acheté en 1700 par son mari pour la somme de 900 000 livres. Louise Bénédicte dépense 80 000 livres supplémentaires pour l'ameublement et la décoration. Après d'importants travaux de rénovation, elle y a élu domicile en décembre 1700. C'est là qu'elle commence à être appelée la Reine des Abeilles. En 1703, pour se distraire, Louise Bénédicte crée un ordre chevaleresque personnel, l'ordre de l'Abeille à miel. Elle a donné l'ordre à trente-neuf personnes. Chaque membre avait une robe brodée de fils d'argent, une perruque en forme de ruche et une médaille ornée d'un profil de Louise Bénédicte et gravée des lettres I.L.A.. D. SC. D.P.D.L.O.D.L.M.A.M, c'est-à-dire Louise, baronne de Sceaux, dictatrice perpétuelle de l'ordre de la Mouche à miel[8]. Louise Bénédicte attire à sa petite cour une foule de personnalités littéraires de l'époque, dont le jeune Voltaire, le baron de Montesquieu, le cardinal de Bernis, le comte de Caylus, Charles-Jean-François Hénault et Jean-Baptiste Rousseau. Le château de Sceaux à l'époque de Louise Bénédicte En 1710, elle contribue à l'organisation du mariage de sa sœur, Marie Anne, Mademoiselle de Monmorency, avec le célèbre général Louis Joseph de Bourbon, duc de Vendôme. Pour des raisons mercantiles, Louise Bénédicte souhaite un mariage sans enfant. À la mort d'un Vendôme sans enfant, Louise Bénédicte espère qu'elle ou ses enfants hériteront de l'immense domaine du duc, qu'il a acquis en tant que petit-fils de la riche héritière Françoise de Lorrain. À trente-deux ans, Marie-Marie n'est plus en âge de procréer et Vendôme, homosexuel notoire, a trente ans de plus que sa future épouse[citation nécessaire] Mais Louise Bénédicte n'a rien obtenu. À la mort du duc, Marie-Marie est créée duchesse d'Étampes de plein droit et hérite de l'hôtel de Vendôme à Paris, où elle meurt en 1718 d'alcoolisme[citation nécessaire]. Les deux Maines s'occupaient de leurs sept enfants. Malheureusement, la plupart des enfants sont morts jeunes ; seuls trois ont atteint l'âge adulte. Leur seule fille survivante, qui restera proche de sa mère jusqu'à sa mort, est baptisée à Versailles le 9 avril 1714. Mademoiselle du Maine reçoit le nom de sa tante paternelle Louise Françoise de Bourbon, connue à la cour sous le nom de Madame la Duchesse. Madame la Duchesse avait grandi avec le Maine sous la tutelle de Madame de Maintenon[citation nécessaire]. L'invité d'honneur du baptême de Mademoiselle du Maine est le petit dauphin, le futur Louis XV, chaperonné par l'autre sœur du Maine, la nouvelle duchesse d'Orléans. Le cardinal de Rohan baptise Mademoiselle du Maine. Grâce à l'aide de Madame de Maintenon, qui a toujours aimé le Maine, Louis XIV fait du Maine un prince du sang, ce qui le place dans la ligne de succession au trône. Dans son testament, Louis XIV désigne également le Maine comme régent de France pour son arrière-petit-fils âgé de cinq ans, le futur Louis XV[citation nécessaire]. Régence de Philippe d'Orléans Philippe d'Orléans montrant du doigt l'enfant Louis XV dont il assure la régence jusqu'en 1723, Louise Bénédicte est emprisonnée par Orléans à la suite de son implication dans la conspiration de Cellamare en 1719. À la mort du roi, en 1715, le Parlement de Paris annule le testament de Louis XIV et nomme le beau-frère de Maine, Philippe d'Orléans, duc d'Orléans, régent de l'enfant-roi. Contrariée par cette situation et par le rôle joué par le duc d'Orléans dans la réduction du statut des enfants légitimés de Louis XIV du rang de Princes du Sang (dont Louise Bénédicte jouissait depuis sa naissance) à celui de simples pairs de France, Louise Bénédicte incite son mari à participer à la conspiration de Cellamare dans l'espoir de transférer la régence au roi Philippe V d'Espagne, l'oncle de Louis XV[7].[Le complot porte le nom d'Antonio del Giudice, duc de Giovinazzo, prince de Cellamare, ambassadeur d'Espagne en France. Afin d'obtenir davantage de soutien pour un nouveau régent, Louise Bénédicte entame une correspondance avec Giulio Alberoni, le Premier ministre espagnol. Le duc de Richelieu et Melchior de Polignac comptent parmi ses co-conspirateurs. Le complot est cependant découvert et les deux Maine sont arrêtés et contraints d'abandonner leur résidence de Sceaux[7] En 1719, le duc est emprisonné à la forteresse de Doullens et la duchesse à Dijon. Leurs deux fils sont confiés à leur gouverneur à Gien, et leur fille est emmenée d'un couvent à Maubuisson à un autre couvent à Chaillot à Paris, dans le quartier de l'actuel Trocadéro. Elle reste à Chaillot jusqu'en 1720, date à laquelle ses parents sont libérés de leurs emprisonnements respectifs. Après sa libération, Louise Bénédicte mena une vie plus paisible à Sceaux, toujours entourée cependant de sa petite cour d'esprits et de poètes[7] Le 27 décembre 1718, avant leur exil, elle et son mari avaient acheté à sa sœur Marie Thérèse de Bourbon une maison inachevée à Paris, rue de Bourbon (aujourd'hui rue de Lille). Il avait été conçu à l'origine par l'architecte Robert de Cotte, mais ils avaient engagé un nouvel architecte, Armand-Claude Mollet, pour l'agrandir et le redessiner. Il est achevé avant leur retour d'exil et prend le nom d'Hôtel du Maine (détruit en 1838)[9]. Au moment de son emprisonnement, elle tentait d'arranger le mariage de son fils aîné, Louis Auguste de Bourbon, héritier de la fortune du Maine, avec sa cousine Charlotte Aglaé, Mademoiselle de Valois. La rivalité entre les Maines et le père de Charlotte Aglaé, le duc d'Orléans, était bien connue, et l'on espérait que le mariage panserait les vieilles blessures. Le mariage n'a cependant pas lieu, la jeune MADEMOISELLE refusant son cousin, au grand dam de la fière Louise Bénédicte. Madame du Maine ne fut pas heureuse d'apprendre que Charlotte Aglaé avait envisagé la main d'un autre cousin, Charles de Bourbon, fils de Monsieur le Duc, frère de Louise Bénédicte, et de Madame la Duchesse, sœur du Maine[citation nécessaire]. Veuvage Après leur libération en 1720, les Maines semblent s'être réconciliés et avoir mené une vie plus compatible au lieu d'être hostiles l'un à l'autre. En mai 1736, le duc meurt à l'âge de soixante-six ans[10] Louis XV permet à Louise Bénédicte de conserver ses appartements à Versailles à côté de ceux de sa fille. Ces appartements donnent sur l'Orangérie. Ses deux fils disposaient également d'appartements à la cour, mais tous deux préféraient rester à la campagne pour chasser. Madame du Maine a essayé plus d'une fois d'arranger un mariage avantageux pour sa fille. La première était avec un certain Monsieur de Guise, mais ce mariage ne s'est jamais concrétisé. Plus tard, elle tente de convaincre le veuf Jacques Ier, prince de Monaco, qui séjourne souvent à Versailles, de convoler en justes noces. Malgré l'attrait d'une dot importante, les deux hommes considèrent Mademoiselle du Maine comme très peu séduisante. Célibataire, elle meurt en 1743. Elle est enterrée à l'église de Sceaux. Au moment de sa mort, sa bibliothèque comptait quelque 3 000 ouvrages. L'Hôtel du Maine, actuel Hôtel Biron où Louise Bénédicte a vécu en tant que veuve En 1736, Louise Bénédicte reçoit le château médiéval de Montrond, qu'elle laisse démanteler pour ses pierres, l'ardoise et le plomb de sa toiture[11] ; en 1737, elle loue à la veuve d'Abraham Peyrenc de Moras l'hôtel Peyrenc-de-Moras (aujourd'hui musée Rodin) à Paris. Elle y mourut en janvier 1753[12], à l'âge de soixante-seize ans, après avoir survécu à tous ses frères et sœurs. Elle est inhumée à l'église Saint Jean-Baptiste de Sceaux. Son fils aîné, Louis Auguste, meurt moins de deux ans après elle, blessé lors d'un duel à Fontainebleau. Son plus jeune fils survivant, Louis Charles, ne s'est jamais marié et est mort sans enfant en 1775. Il laisse sa fortune à son cousin germain, le déjà riche Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre.
  • Dimensions:
    Hauteur : 181,61 cm (71,5 po)Largeur : 121,29 cm (47,75 po)Profondeur : 1 910,08 cm (752 po)
  • Style:
    Néo-classique (Dans le style de)
  • Matériaux et techniques:
  • Lieu d'origine:
  • Période:
  • Date de fabrication:
    1930
  • État:
    Usure conforme à l'âge et à l'utilisation. Le tableau et le cadre sont en bon état et aucun problème n'est à signaler en ce qui concerne l'état.
  • Adresse du vendeur:
    Swedesboro, NJ
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU2091344476382

Plus d'articles de ce vendeur

Tout afficher
C.I.C. Peinture allégorique "Brûler les lettres d'amour".
Pour les clients qui ont besoin d'une livraison professionnelle assurée, nous sommes fiers de nous être associés à une société de livraison professionnelle à l'échelle nationale qui ...
Catégorie

Antiquités, années 1880, italien, Néo-Renaissance, Peintures

Matériaux

Toile, Noyer

C.I.C. Peinture allégorique "Brûler les lettres d'amour".
5 196 € Prix de vente
20 % de remise
Superbe peinture scénique italienne de la Renaissance « Galerie avec une vue de la Rome ancienne »
Il s'agit d'une œuvre d'art magnifique et incroyablement complexe qui, selon nous, est une peinture postérieure reproduisant Vanini, l'artiste original. Nous avons utilisé une boucle...
Catégorie

années 1990, Inconnu, Néo-classique, Peintures

Matériaux

Toile

Monumental Miroir Trumeau Louis XV peint à l'huile circa 1900
Pour les clients qui ont besoin d'une livraison professionnelle assurée, nous sommes fiers de nous être associés à une société de livraison professionnelle à l'échelle nationale qui ...
Catégorie

Antiquités, Début des années 1900, Français, Louis XV, Miroirs trumeaux

Matériaux

Noyer

Monumental miroir Trumeau peint à la française avec scène de cour
Accents peints et dorés. Peinture sur le dessus. Miroir en bas. 67 7/8" h x 47" la x 2 1/8" p. Condit Perte de peinture. Il manque un morceau de garniture sur le dessus. Fentes dans ...
Catégorie

Vintage, années 1920, Français, Louis XV, Miroirs trumeaux

Matériaux

Noyer

Belle statue signée Heinz Pinggera « Shakespeare at the Queen's Court »
Par Heinz Pinggera
Il s'agit d'une œuvre étonnante, signée et ornée d'une plaque en laiton sur le cadre, réalisée par Heinz Pinggera, auteur de somptueuses peintures réalistes de la noblesse. Celle-ci ...
Catégorie

Vintage, années 1920, italien, Rococo, Peintures

Matériaux

Toile, Fruitiers

Superbe huile sur panneau sculptée en bois doré Louis XV représentant une scène de cour peinte
Il s'agit d'un magnifique miroir trumeau français avec une scène peinte de séduction entre deux amoureux parés de leurs plus beaux atours et d'une ombrelle. Le miroir est magnifiquem...
Catégorie

Vintage, années 1920, Français, Louis XV, Miroirs trumeaux

Matériaux

Miroir, Noyer

Suggestions

Grande peinture de portrait ancien du 18ème siècle par Thomas Beach dans un cadre en bois doré
***Tarifs de livraison réduits - Voir ci-dessous ou cliquez sur "Demandez au Sellers" pour obtenir un devis***. Grande peinture ancienne du XVIIIe siècle signée par Thomas Beach (an...
Catégorie

Antiquités, XVIIIe siècle, Peintures

Matériaux

Toile, Bois doré

Peinture à l'huile sur toile et bois doré de Robert The Tournières, 18e siècle
Magnifique huile sur toile et bois doré du XVIIIe siècle représentant une mère et son fils par Robert Le Vrac de Tournières. Le tableau est encadré dans un cadre en bois doré richeme...
Catégorie

Antiquités, XVIIIe siècle, Français, Peintures

Matériaux

Toile, Bois doré, Peinture

Peinture à l'huile double face du 18e siècle dans un magnifique cadre doré
ROCAILLE ANTIQUES Cette exquise peinture à l'huile du XVIIIe siècle représente probablement un portrait de Maria Anna Adelheid de Hohenlohe -Bartenstien. (1701-1758) du 18e siècle...
Catégorie

Antiquités, XVIIIe siècle, Français, Rococo, Peintures

Matériaux

Toile, Bois, Peinture

Huile sur toile franco-allemande du XIXe siècle « Portrait d'une femme » dans un cadre en bois doré
Une belle huile sur toile franco-allemande du 19e siècle "Portrait d'une dame" représentant une jeune beauté du 18e siècle posant avec un regard de profil et des cheveux bouclés, non...
Catégorie

Antiquités, XIXe siècle, Français, Louis XV, Peintures

Matériaux

Gesso, Toile, Bois

Peinture à l'huile sur toile italienne du XIXe siècle dans son cadre d'origine en bois doré
Superbe huile sur toile italienne du XIXe siècle dans son cadre d'origine en bois doré. Cette peinture merveilleusement exécutée représente une magnifique campagne italienne au couch...
Catégorie

Antiquités, XIXe siècle, italien, Peintures

Matériaux

Toile, Bois doré

Portrait de femme du XVIIIe siècle, huile sur toile dans un cadre en bois doré
Portrait anglais en huile sur toile datant de la fin des années 1700, peint dans le manoir de Joshua Reynolds. Nous pensons que le cadre en bois doré pourrait être l'original car il ...
Catégorie

Antiquités, années 1790, Anglais, Rococo, Peintures

Matériaux

Toile, Bois