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André Devambez
Portrait d'une femme au bistro avec un verre à absinthe et une cigarette

1837

À propos de cet article

André DEVAMBEZ (Paris, 1867 - Paris, 1944) Portrait d'une femme dans un bistrot Huile sur panneau d'acajou H. 22 cm ; L. 16 cm Signé en bas à droite Vers 1905/1910 Provenance : Galerie de la Scala (68, rue La Boétie, Paris 8e), puis par filiation. Exposition : le tableau figurera (prêt) dans l'exposition consacrée à André Dedic par le musée des Beaux-Arts de Rennes (période février-mai 2022) et le musée du Petit-Palais à Paris (période septembre-décembre 2022). Fils du célèbre graveur et éditeur Édouard Devambez, le jeune André manifeste très tôt un goût et des aptitudes pour le dessin. Élève de Benjamin Constant et de Jules Lefebvre à l'Académie Julian, il poursuit son apprentissage aux Beaux-Arts de Paris et remporte le Grand Prix de Rome en 1890, mais il a déjà participé à son premier Salon des Artistes Français en 1889. De retour à Paris en 1896 après sa formation romaine, il collabore d'abord à des revues (L'Illustration ou Le Rire par exemple) avec des dessins humoristiques et satiriques, et il illustre également des menus, des programmes, ou crée des affiches. Mais rapidement, il se fera connaître par ses peintures. A côté de ses grands tableaux de Salon ou de ses compositions pour la décoration, il développe une production intensive de tableaux de genre, souvent empreints de tendresse et d'humour : scènes de plage (à Yport) ou vie urbaine grouillante de petits personnages (quais de métro, spectacles aériens, jardins publics, files d'attente d'omnibus, fêtes foraines...), petits portraits de buveurs, de philosophes, saynètes avec des artisans, duellistes, bretteurs ou autres brigands. Lors de sa première exposition privée en 1913 à la galerie Georges Petit, il a déjà acquis une notoriété populaire et une reconnaissance publique (légion d'honneur en 1911, participation régulière au Salon). Il est particulièrement apprécié pour ses points de vue en plongée et ses effets de foule. La guerre, où il est gravement blessé, l'incite à peindre sur ce thème, mais n'interrompt pas son succès d'artiste inclassable, aux multiples registres d'expression. Un article du mensuel illustré Larousse qui lui est consacré en 1930 parle du "réalisme de ses figures, aux antipodes de l'académisme conventionnel... exécution irréprochable et précieuse... héritier des belles traditions des maîtres hollandais et flamands...". Notre tableau à la forte présence appartient à la série de ce que Devambez appelait ses Incompris (en référence à son tableau du Salon de 1904, Les Incompris, aujourd'hui conservé au musée de Quimper) et qu'il affectionnait particulièrement : types de buveurs, poètes ou artistes noyant leur détresse ou cherchant l'inspiration dans l'alcool, philosophes égarés... seuls ou en groupe, inspirés par les gens des bistrots, dans lesquels la consommation d'alcool, en particulier d'absinthe, était si forte. L'historien de l'art Gustave Soulier écrit à ce propos : " C'est une sorte de nouveau Daumier que l'on trouve chez M. Devambez ". Entre humour et tragédie, ces types sont souvent affublés de chapeaux grotesques, trop grands, trop petits, cabossés, ou de forme incroyable comme celui de notre buveur. Celui-ci présente un visage marqué, avec un vieillissement prématuré peut-être dû à l'abus d'alcool et de tabac. Qu'elle soit simple femme émancipée (il existe un tableau de Devambez intitulé La féministe, serait-ce le nôtre ?) fumant sa cigarette et buvant son verre seule, ou vieille prostituée espérant pouvoir encore attirer un hypothétique client, le café semble pour elle un lieu d'asile plus qu'un lieu d'échanges et de débats. Notre œuvre, par son sujet et sa construction, peut être rapprochée du tableau (27 x 21 cm) conservé au musée du Petit-Palais à Paris, intitulé Au Café, et représentant un buveur d'absinthe avec une cigarette, supposé être le chansonnier Marcel Legay.
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En 1774, il signe et date le Portrait du comte d'Artois, en tant que colonel général des Suisses et des Grisons. En 1777, il épouse Marie Madeleine Borel, fille d'un marchand de bois, et s'installe près des Quinze-Vingt à la Bastille, comme portraitiste. Il est entré dans la loge maçonnique de l'Amitié céleste et a donc bénéficié d'une certaine notoriété. Il a exécuté le portrait de Charles-Henri, comte d'Estaing, gravé par Charles-Etienne Gaucher (1779). En 1781, L. Perrot reproduit deux de ses œuvres du cabinet de Madame de Saint-Maurice, Enfance à la campagne et Visite à la nourrice, pour la société philanthropique fondée notamment par Louis d'Affry, capitaine des Gardes suisses. . Outre le fait que ces sujets dénotent un idéal de bienveillance sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau, ils témoignent de relations avec le milieu suisse. 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François passe l'été à Genzano, dans la campagne romaine, où il se consacre également au paysage et aux costumes populaires. Beat d'Hennezel, leur compatriote, évoque les soirées chez les Sablets avec leurs amis artistes, occupés à dessiner des portraits tout en échangeant des remarques enflammées sur la situation politique. Cependant, les événements de Paris ont eu des répercussions à Rome. En janvier 1793, le représentant français est assassiné, les Français et autres francophones sont en danger et doivent quitter les États pontificaux. Les artistes retournent à Florence, mais tous ne peuvent pas y rester et continuent en France ; les Sablet se dirigent vers Lausanne. De retour à Paris, il est reçu le 1er octobre 1793 à la Commune des Arts et le 28 mai suivant, il soumet son croquis des charrettes de foin traînées par les sans-culottes de la Commune de Chaussière, faute de chevaux pour le concours de l'an II. Il a fourni trois portraits au graveur Pierre-Michel Alix pour sa Galerie des Grands Hommes : Viala, Guillaume Tell et Lycurgue. Ce n'est qu'en 1795 qu'il expose pour la première fois deux portraits au Salon, puis ne signe plus aucune œuvre jusqu'en 1799. Pendant toute cette période, il vit à Vernonet en Normandie avec l'acteur Simon Chenard et semble prendre ses distances avec Paris contrairement à son frère qui, logé au Louvre, expose ses œuvres avec succès. En 1799, il présente au Salon deux paysages, deux intérieurs et deux portraits. En 1802, les frères Piranèse, protégés par Lucien Bonaparte, créent une Académie des Beaux-Arts au Collège de Navarre, où François Sablet se distingue dans la chalcographie : Vue du cloître de la Chartreuse dans les thermes de Dioclétien, Illumination du Pont des Tuilerie et Illumination de la Concorde et six Vues des jardins de la Villa Borghèse. En 1804, il expose au Salon deux paysages, dont La Voie Appienne au bas de la Riccia et deux portraits. Un décret du 30 mars 1805 installe cependant l'École polytechnique au Collège de Navarre, obligeant la chalcographie piranésienne à déménager tout en accordant une compensation aux artistes. François Sablet décide alors de s'installer à Nantes où il a de nombreux amis. C'est, outre les frères Cacault avec leur riche collection à Clisson, l'architecte Mathurin Crucy, compagnon d'études, le sculpteur François-Frédéric Lemot qui y crée une nouvelle "Arcadie", tous très proches et à l'origine du développement du port et de la ville de Nantes. François Sablet y poursuit sa carrière de portraitiste avec beaucoup de succès. Il a une vitrine, tout le monde défile dans son studio, il y a une file d'attente. Suit une étonnante production de petits portraits "à la Boilly", très naturels, parfois incisifs, comme son Autoportrait, dédié au musée d'art de Nantes. François Cacault meurt en 1805 et Sablet est chargé de l'inventaire de la collection pour le musée. Son œuvre ne se limite cependant pas aux petits portraits : pour Crucy, il peint le salon, où apparaissent l'architecte et sa femme, et divers paysages, notamment le Portrait de la famille de la Roche, que l'on n'hésite pas à attribuer à Jacques Sablet. Et c'est bien là le problème si difficile à élucider, car non seulement François est surnommé à tort "le Romain" ou "le Jeune", mais il peint à la manière de Jacques. Il exécutait des paysages des environs ou des souvenirs d'Italie, mais son activité principale était la décoration de la Bourse. Son architecte Mathurin Crucy a fixé le programme : six grandes grisailles évoquant la visite de Napoléon à Nantes en août 1808. François Sablet se met au travail en juillet 1810 et la Bourse est inaugurée le 15 août 1812. Quant aux grisailles, elles sont recouvertes à la Restauration, puis retirées et vendues. Il ne reste que les dessins préparatoires et 123 portraits légués à la Société archéologique de Nantes en 1862. En avril 1817, François expose au Salon une grande vue du port de Nantes qu'il peut contempler depuis son domicile. L'année suivante, il signe et date une Sainte Famille, l'œuvre ultime du peintre. Ainsi, peu à peu, se dessinent l'art et la personnalité de François Sablet, essentiellement peintre de portraits et de paysages, suivant tous les styles, traversant avec souplesse les aléas de l'histoire, de belles effigies au pied de l'Ancien régime à la suite de Vien et de petites scènes champêtres, à la mode, comme L'escarpolette puis converti à Nantes avec de petits portraits illustrant la bourgeoisie locale, sachant toujours répondre aux différents patronages avec un égal bonheur, se montrant à la hauteur d'une grande commande municipale comme la décoration de la Bourse, ou encore retrouvant le style du XVIIe siècle italien pour un tableau d'église. Musées : Nantes, Brest, Melbourne, New York (Met.), Fribourg, Lausanne.. Bibliographie : SIKART - Anne van de Sandt - 1998 et 2018 Jean Claude Frédéric Alexis Pellegrini, né le 22 juillet 1787 à Chambéry (Mont-Blanc) et mort le 27 mars 1854, est un inspecteur divisionnaire honoraire des Ponts et Chaussées. Il réalise les travaux d'amélioration de la navigabilité du Lot et étudie le projet d'un canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Il a participé à la construction du pont Vittorio Emanuele I sur le Pô à Turin et du pont sur la Garonne à Moissac Il est le fils de Bernard Pellegrini, originaire de Castelrotto dans la commune de Croglio, au Tessin (Suisse), et de Marguerite Berthet. Il est le frère de Charles Henri Pellegrini. Il entre à l'école polytechnique le 20 novembre 1806 et en sort le 1er septembre 1808. Il entre dans la fonction publique et poursuit ses études à l'École des Ponts et Chaussées. Pendant ses études, il fait des stages dans le département de l'Ain, en 1809, et dans le département du Pô, à Turin, en 1810, où il participe aux travaux du grand pont de pierre sur le Pô, à Turin. Bien qu'il n'ait fréquenté l'école des Ponts et Chaussées que pendant deux ans au lieu de trois, il est nommé ingénieur en herbe et reste attaché à la construction du pont sur le Pô. Il est nommé ingénieur civil de 2e classe le 1er septembre 1811. En 1812 et 1813, il est chargé des travaux hydrauliques sur la Stura. Il est responsable des travaux de la citadelle de Turin. Sa fonction d'officier du génie militaire a cessé après la reddition de la citadelle. Mis ensuite à la disposition du ministère de l'Intérieur le 4 mai 1814, il est mis à la disposition du roi de Sardaigne pour poursuivre les travaux du pont sur le Pô jusqu'en octobre 1814. Il est ensuite nommé ingénieur des ponts et chaussées dans le département de la Lozère où il entreprend les démarches nécessaires à la construction du pont sur le Tarn à Florac. Il est nommé chef de service d'un arrondissement du département du Gers, entre le 1er décembre 1814 et le 1er octobre 1821. Il a travaillé à la construction d'un pont de pierre à trois travées sur la Baïse à Condom. Il a restauré le réseau routier du Gers en utilisant un procédé identique à celui mis au point par MacAdam. Le 1er octobre 1821, il est nommé chef de service de l'arrondissement de Moissac dans le département du Tarn-et-Garonne où il est chargé de la construction du pont de Moissac. Il est nommé ingénieur civil de 1ère classe le 1er juin 1824. Le 15 juillet 1825, il est chargé d'achever le projet de canal entre Toulouse et Montauban. Il a donné les projets de toutes les œuvres d'art à construire avec leurs estimations. Le 6 février 1826, il est chargé des études pour le projet de canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Le 17 juillet 1827, il est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées par intérim pour le département du Tarn-et-Garonne jusqu'à la fin du mois d'octobre 1828. Le 28 octobre 1828, il est nommé ingénieur en chef du département du Lot. Il est nommé chef mécanicien de 2e classe le 25 octobre 1829. Il est nommé ingénieur en chef de 1ère classe des ponts et chaussées le 28 août 1835, ingénieur en chef directeur le 3 juin 1839. Après 1830, l'industrialisation du bassin Aubin-Decazeville rend nécessaire la navigabilité du Lot, seule voie d'eau permettant le transport du charbon et des produits métallurgiques. Le 27 novembre 1832, le directeur général des ponts et chaussées lui confie l'étude du projet d'amélioration de la navigation du Lot entre Livinhac-le-Haut et la limite du département de Lot-et-Garonne. Ces travaux commenceront à partir de 1838 et dureront jusqu'en 1848. Les travaux spectaculaires se feront en amont de Cahors avec une série de canaux de dérivation souterrains comme celui de Capdenac et des digues rétrécies. Pellegrini a restauré les écluses construites sous le règne de Louis XIV dans la basse vallée du Lot...
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