Passer au contenu principal
Vous voulez plus d'images ou de vidéos ?
Demander au vendeur plus d'images ou de vidéos

Henri SERRUR
Femme populaire de Venise, Italie

1850

À propos de cet article

Henri Auguste Cesar SERRUR (Lambersart, 1794 - Lille, 1876) Femme du peuple de Venise Huile sur toile Signé, localisé et daté 65 x 60 cm Venise 1850 Expositions : - Salon de Paris de 1850 sous le numéro 2806 - Salon de La Rochelle de 1853 sous le numéro 205 Henri Serrur est né le 8 février 1794 dans le nord de la France à HENRY. Enfant studieux, il réalise à dix-huit ans une copie d'après le Van Dyck du musée de Lille qui attire l'attention des amateurs d'art du Nord et notamment du maire de Lille de l'époque, le comte de Brigode. qui lui obtient une pension du conseil municipal pour lui permettre de se rendre à Paris et d'y compléter sa formation. Entré dans le Studio du Baron Brilliante, ses débuts sont brillants ; il remporte plusieurs prix de composition et celui de la tête d'expression. En 1817, l'artiste fut reçu dans la loge et concourut pour le prix de Rome, obtenu si brillamment par M. Léon Cogniet. Il expose également régulièrement au Salon de 1819 à 1850. Il est également récompensé à plusieurs reprises, dont une médaille de 3e classe en 1836 et une médaille de 2e classe en 1837. Peintre néoclassique, Henri Serrur s'est spécialisé dans les scènes historiques et a réalisé plusieurs portraits, dont celui du roi Charles X. Réputé fin connaisseur des écoles vénitiennes, il est envoyé en 1846 dans la cité des Doges par le gouvernement français pour réaliser diverses copies de tableaux célèbres, dont celui de l'Assomption du Titien. Cet exemplaire a alors été unanimement salué comme étant lui-même un chef-d'œuvre. C'est très probablement au cours de ce voyage vénitien que l'artiste réalisa une esquisse de notre tableau qui prit une forme définitive quelques années plus tard dans un élégant portrait ethnographique qu'il présenta au Salon de Paris en 1850. L'artiste meurt à Lille le 31 mars 1876 des suites d'une longue et douloureuse maladie. Musées : Lille, Douai, Avignon, Paris (Palais de Lux.), Rennes, Versailles, Valenciennes...
  • Créateur:
    Henri SERRUR (1794 - 1876, Français)
  • Année de création:
    1850
  • Dimensions:
    Hauteur : 65 cm (25,6 po)Largeur : 60 cm (23,63 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
  • Adresse de la galerie:
    PARIS, FR
  • Numéro de référence:
    Vendeur : LEGUAY1stDibs : LU1954211211182
Plus d'articles de ce vendeurTout afficher
  • Portrait d'enfant aux yeux bleus
    Par Charles Zacharie Landelle
    Charles Zacharie LANDELLE (Laval, 1821 - Chennevières/Marne, 1908) Portrait d'enfant aux yeux bleus Huile sur toile Monogrammé et daté en bas à gauche 40 x 33 cm 184... Fils d'emp...
    Catégorie

    Milieu du XIXe siècle, École française, Peintures - Portrait

    Matériaux

    Huile

  • Mignon regrettant sa patrie - Mignon en quête du paradis
    Aris SCHEFFER (1795-1858), atelier de Mignon regrette son pays d'origine Mignon aspirant au paradis Deux huiles sur toile dans le même cadre 44 x 22 cm chacun Mignon est un person...
    Catégorie

    Milieu du XIXe siècle, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Huile

  • Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854)
    François Jean SABLET (Morges, 1745 - Nantes, 1819) Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854) Inspecteur divisionnaire honoraire des ponts et chaussées. Huile sur toile Monogrammé et daté en bas à droite 30x25cm 1819 Peintre de portraits, Jean François Sablet, originaire de Morges, né le 23 novembre 1745, est le fils aîné de Jacob Sablet (1720-1798), bourgeois de cette ville, peintre en bâtiment, doreur, marchand d'art, et de Suzanne Dupuis (1722-1775), établie à Lausanne dès 1754. En 1767, le 8 juin, il se prépare à partir pour "se perfectionner dans l'art de la peinture" avec un viatique du Conseil de Morges et une bourse de Berne. À Paris, il est l'élève de Joseph-Marie Vien à l'Académie royale (1768-73). En 1772, il est rejoint par son jeune frère Jacques qui, en 1776, part à Rome pour y poursuivre une brillante carrière. François, lui, reste à Paris, y passe presque inaperçu, n'ayant ni concouru, ni reçu de prix, ni même exposé. En 1774, il signe et date le Portrait du comte d'Artois, en tant que colonel général des Suisses et des Grisons. En 1777, il épouse Marie Madeleine Borel, fille d'un marchand de bois, et s'installe près des Quinze-Vingt à la Bastille, comme portraitiste. Il est entré dans la loge maçonnique de l'Amitié céleste et a donc bénéficié d'une certaine notoriété. Il a exécuté le portrait de Charles-Henri, comte d'Estaing, gravé par Charles-Etienne Gaucher (1779). En 1781, L. Perrot reproduit deux de ses œuvres du cabinet de Madame de Saint-Maurice, Enfance à la campagne et Visite à la nourrice, pour la société philanthropique fondée notamment par Louis d'Affry, capitaine des Gardes suisses. . Outre le fait que ces sujets dénotent un idéal de bienveillance sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau, ils témoignent de relations avec le milieu suisse. Enfin, le format et la qualité de deux grands portraits en pied, la Vestale versant de l'encens (1781) et l'Offrande à Hymen (1783), reflètent sa faveur dans la société à la veille de la Révolution et, bien que dans l'ombre, il est capable de se constituer des rentes viagères. De cette première étape sont datés deux carnets de croquis à la craie noire et à la craie rouge de personnages, de scènes d'intérieur, d'évocations théâtrales, dont la Vierge vestale versant de l'encens. Il a également signé une série d'illustrations de lavis portant sur la mythologie et d'autres sujets tirés d'Ovide. En 1789, le climat politique s'assombrit soudainement, les amateurs partent, entraînant les artistes avec eux. François Sablet prend la route de la Suisse et, en janvier 1792, rejoint à Rome son frère, peintre de genre en costumes italiens et de portraits dans la nature appelés "sujets de conversation", modèles dont François va s'inspirer. François passe l'été à Genzano, dans la campagne romaine, où il se consacre également au paysage et aux costumes populaires. Beat d'Hennezel, leur compatriote, évoque les soirées chez les Sablets avec leurs amis artistes, occupés à dessiner des portraits tout en échangeant des remarques enflammées sur la situation politique. Cependant, les événements de Paris ont eu des répercussions à Rome. En janvier 1793, le représentant français est assassiné, les Français et autres francophones sont en danger et doivent quitter les États pontificaux. Les artistes retournent à Florence, mais tous ne peuvent pas y rester et continuent en France ; les Sablet se dirigent vers Lausanne. De retour à Paris, il est reçu le 1er octobre 1793 à la Commune des Arts et le 28 mai suivant, il soumet son croquis des charrettes de foin traînées par les sans-culottes de la Commune de Chaussière, faute de chevaux pour le concours de l'an II. Il a fourni trois portraits au graveur Pierre-Michel Alix pour sa Galerie des Grands Hommes : Viala, Guillaume Tell et Lycurgue. Ce n'est qu'en 1795 qu'il expose pour la première fois deux portraits au Salon, puis ne signe plus aucune œuvre jusqu'en 1799. Pendant toute cette période, il vit à Vernonet en Normandie avec l'acteur Simon Chenard et semble prendre ses distances avec Paris contrairement à son frère qui, logé au Louvre, expose ses œuvres avec succès. En 1799, il présente au Salon deux paysages, deux intérieurs et deux portraits. En 1802, les frères Piranèse, protégés par Lucien Bonaparte, créent une Académie des Beaux-Arts au Collège de Navarre, où François Sablet se distingue dans la chalcographie : Vue du cloître de la Chartreuse dans les thermes de Dioclétien, Illumination du Pont des Tuilerie et Illumination de la Concorde et six Vues des jardins de la Villa Borghèse. En 1804, il expose au Salon deux paysages, dont La Voie Appienne au bas de la Riccia et deux portraits. Un décret du 30 mars 1805 installe cependant l'École polytechnique au Collège de Navarre, obligeant la chalcographie piranésienne à déménager tout en accordant une compensation aux artistes. François Sablet décide alors de s'installer à Nantes où il a de nombreux amis. C'est, outre les frères Cacault avec leur riche collection à Clisson, l'architecte Mathurin Crucy, compagnon d'études, le sculpteur François-Frédéric Lemot qui y crée une nouvelle "Arcadie", tous très proches et à l'origine du développement du port et de la ville de Nantes. François Sablet y poursuit sa carrière de portraitiste avec beaucoup de succès. Il a une vitrine, tout le monde défile dans son studio, il y a une file d'attente. Suit une étonnante production de petits portraits "à la Boilly", très naturels, parfois incisifs, comme son Autoportrait, dédié au musée d'art de Nantes. François Cacault meurt en 1805 et Sablet est chargé de l'inventaire de la collection pour le musée. Son œuvre ne se limite cependant pas aux petits portraits : pour Crucy, il peint le salon, où apparaissent l'architecte et sa femme, et divers paysages, notamment le Portrait de la famille de la Roche, que l'on n'hésite pas à attribuer à Jacques Sablet. Et c'est bien là le problème si difficile à élucider, car non seulement François est surnommé à tort "le Romain" ou "le Jeune", mais il peint à la manière de Jacques. Il exécutait des paysages des environs ou des souvenirs d'Italie, mais son activité principale était la décoration de la Bourse. Son architecte Mathurin Crucy a fixé le programme : six grandes grisailles évoquant la visite de Napoléon à Nantes en août 1808. François Sablet se met au travail en juillet 1810 et la Bourse est inaugurée le 15 août 1812. Quant aux grisailles, elles sont recouvertes à la Restauration, puis retirées et vendues. Il ne reste que les dessins préparatoires et 123 portraits légués à la Société archéologique de Nantes en 1862. En avril 1817, François expose au Salon une grande vue du port de Nantes qu'il peut contempler depuis son domicile. L'année suivante, il signe et date une Sainte Famille, l'œuvre ultime du peintre. Ainsi, peu à peu, se dessinent l'art et la personnalité de François Sablet, essentiellement peintre de portraits et de paysages, suivant tous les styles, traversant avec souplesse les aléas de l'histoire, de belles effigies au pied de l'Ancien régime à la suite de Vien et de petites scènes champêtres, à la mode, comme L'escarpolette puis converti à Nantes avec de petits portraits illustrant la bourgeoisie locale, sachant toujours répondre aux différents patronages avec un égal bonheur, se montrant à la hauteur d'une grande commande municipale comme la décoration de la Bourse, ou encore retrouvant le style du XVIIe siècle italien pour un tableau d'église. Musées : Nantes, Brest, Melbourne, New York (Met.), Fribourg, Lausanne.. Bibliographie : SIKART - Anne van de Sandt - 1998 et 2018 Jean Claude Frédéric Alexis Pellegrini, né le 22 juillet 1787 à Chambéry (Mont-Blanc) et mort le 27 mars 1854, est un inspecteur divisionnaire honoraire des Ponts et Chaussées. Il réalise les travaux d'amélioration de la navigabilité du Lot et étudie le projet d'un canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Il a participé à la construction du pont Vittorio Emanuele I sur le Pô à Turin et du pont sur la Garonne à Moissac Il est le fils de Bernard Pellegrini, originaire de Castelrotto dans la commune de Croglio, au Tessin (Suisse), et de Marguerite Berthet. Il est le frère de Charles Henri Pellegrini. Il entre à l'école polytechnique le 20 novembre 1806 et en sort le 1er septembre 1808. Il entre dans la fonction publique et poursuit ses études à l'École des Ponts et Chaussées. Pendant ses études, il fait des stages dans le département de l'Ain, en 1809, et dans le département du Pô, à Turin, en 1810, où il participe aux travaux du grand pont de pierre sur le Pô, à Turin. Bien qu'il n'ait fréquenté l'école des Ponts et Chaussées que pendant deux ans au lieu de trois, il est nommé ingénieur en herbe et reste attaché à la construction du pont sur le Pô. Il est nommé ingénieur civil de 2e classe le 1er septembre 1811. En 1812 et 1813, il est chargé des travaux hydrauliques sur la Stura. Il est responsable des travaux de la citadelle de Turin. Sa fonction d'officier du génie militaire a cessé après la reddition de la citadelle. Mis ensuite à la disposition du ministère de l'Intérieur le 4 mai 1814, il est mis à la disposition du roi de Sardaigne pour poursuivre les travaux du pont sur le Pô jusqu'en octobre 1814. Il est ensuite nommé ingénieur des ponts et chaussées dans le département de la Lozère où il entreprend les démarches nécessaires à la construction du pont sur le Tarn à Florac. Il est nommé chef de service d'un arrondissement du département du Gers, entre le 1er décembre 1814 et le 1er octobre 1821. Il a travaillé à la construction d'un pont de pierre à trois travées sur la Baïse à Condom. Il a restauré le réseau routier du Gers en utilisant un procédé identique à celui mis au point par MacAdam. Le 1er octobre 1821, il est nommé chef de service de l'arrondissement de Moissac dans le département du Tarn-et-Garonne où il est chargé de la construction du pont de Moissac. Il est nommé ingénieur civil de 1ère classe le 1er juin 1824. Le 15 juillet 1825, il est chargé d'achever le projet de canal entre Toulouse et Montauban. Il a donné les projets de toutes les œuvres d'art à construire avec leurs estimations. Le 6 février 1826, il est chargé des études pour le projet de canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Le 17 juillet 1827, il est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées par intérim pour le département du Tarn-et-Garonne jusqu'à la fin du mois d'octobre 1828. Le 28 octobre 1828, il est nommé ingénieur en chef du département du Lot. Il est nommé chef mécanicien de 2e classe le 25 octobre 1829. Il est nommé ingénieur en chef de 1ère classe des ponts et chaussées le 28 août 1835, ingénieur en chef directeur le 3 juin 1839. Après 1830, l'industrialisation du bassin Aubin-Decazeville rend nécessaire la navigabilité du Lot, seule voie d'eau permettant le transport du charbon et des produits métallurgiques. Le 27 novembre 1832, le directeur général des ponts et chaussées lui confie l'étude du projet d'amélioration de la navigation du Lot entre Livinhac-le-Haut et la limite du département de Lot-et-Garonne. Ces travaux commenceront à partir de 1838 et dureront jusqu'en 1848. Les travaux spectaculaires se feront en amont de Cahors avec une série de canaux de dérivation souterrains comme celui de Capdenac et des digues rétrécies. Pellegrini a restauré les écluses construites sous le règne de Louis XIV dans la basse vallée du Lot...
    Catégorie

    Début du XIXe siècle, École française, Peintures - Portrait

    Matériaux

    Huile

  • Portrait d'une jeune femme en robe de cramoisi
    Louis-Léopold BOILLY (La Bassée 1761 - Paris 1845) Portrait d'une jeune femme en robe cramoisie Huile sur toile H. 22 cm ; L. 17 cm Louis-Léopold Boilly, né à La Bassée, dans le n...
    Catégorie

    Début du XIXe siècle, École française, Peintures - Portrait

    Matériaux

    Huile

  • Étude d'une bergère bretonne
    Par Theodore Valerio
    Théodore VALERIO (Herserange, 1819 - Vichy, 1879) Étude d'une bergère bretonne Huile sur toile montée sur carton Porte le cachet de vente en bas 31 x 22 cm Provenance : Vente de l...
    Catégorie

    Fin du XIXe siècle, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Huile

  • Étude pour « La couronnement de Tasso »
    Alexandre Toussaint MENJAUD (Paris, 1768 - Paris, 1832) Étude pour Le couronnement de Tasso Huile sur papier montée sur toile 37.5 x 29.5 cm Vers 1819 Œuvre connexe : Peinture exp...
    Catégorie

    Début du XIXe siècle, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Huile

Suggestions
  • Judith et Holoferne
    Jacques Stella (Lyon, 1596 - Paris, 1657) Judith et Holofernes Huile sur ardoise H. 23.5 cm ; L. 24 cm Fils de François Stella, peintre d'origine flamande installé à Rome en 1576, p...
    Catégorie

    années 1620, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Ardoise

  • Portrait présumé de la Princesse de Conti, Marie-Anne de Bourbon
    Par Nicolas de Largillière
    Nicolas de LARGILLIERRE (Paris 1656 - 1746) Portrait de femme, présumé être Marie-Anne de Bourbon, princesse de Conti (1666-1739) Huile sur toile ovale H. 80 cm ; L. 61 cm (107 x 91 ...
    Catégorie

    années 1730, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Toile, Huile

  • L'Annonciation
    Jacques Stella (Lyon, 1596 - Paris, 1657) L'Annonciation Huile sur albâtre (une seule cassure ancienne parfaitement restaurée) H. 25 cm ; L. 30 cm Fils de François Stella, peintre d...
    Catégorie

    années 1620, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Albâtre

  • Portrait d'un homme en armure
    Attribué à Jacques Dumont alias DUMONT LE ROMAIN (Paris 1701 - 1781) Portrait présumé de Louis-Joseph de Formanoir (?-1732) Huile sur toile H. 91.5 c...
    Catégorie

    années 1750, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Toile, Huile

  • Sketch d'un portrait dansant
    École française vers 1840 Sketch d'un portrait dansant Huile sur toile montée sur carton H. 21 cm ; L. 20.5 cm
    Catégorie

    années 1830, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Toile, Huile

  • Roi de France Louis-Philippe - D'après le baron Gérard
    D'après le baron Gérard, vers 1835 Portrait du roi Louis-Philippe Huile sur toile H. 79 cm ; L. 65 cm Collectional : Collection privée, Périgord, par filiation depuis le XIXe siècle...
    Catégorie

    années 1830, École française, Peintures - Figuratif

    Matériaux

    Toile, Huile

Récemment consulté

Tout afficher