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M M (Marie Munch)
The Horse Drover, école autrichienne du XIXe siècle, huile sur toile

1849

À propos de cet article

Huile sur toile du milieu du XIXe siècle représentant des chevaux et leur conducteur. Le tableau est signé MM, daté 1849 et porte une signature sur le châssis Marie Munch. Le tableau est présenté dans un beau cadre doré d'époque. Il porte également les restes d'un sceau de cire rouge sur le châssis en bas à droite, ce qui suggère qu'il provient d'une importante collection familiale.
  • Créateur:
    M M (Marie Munch) (Autrichien)
  • Année de création:
    1849
  • Dimensions:
    Hauteur : 44,45 cm (17,5 po)Largeur : 49,53 cm (19,5 po)Profondeur : 5,08 cm (2 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
    Le tableau est en bon état général avec quelques craquelures et soulèvements de la peinture correspondant à l'âge. Le cadre présente quelques pertes et usures.
  • Adresse de la galerie:
    Cotignac, FR
  • Numéro de référence:
    Vendeur : LG1stDibs : LU143028333122
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La technique et la palette de couleurs sont également très similaires à l'œuvre vendue par Sotheby's en 2019, Paysage de Neige Avec Arbres et Rochers datant de 1865. (La note du catalogue de cette vente comprenait :) Il a découvert des terres vierges où personne n'avait encore posé le pied, des aspects et des formes de paysage dont on peut dire qu'ils étaient inconnus avant qu'il ne les peigne... Chaque fois qu'il a plongé dans le sein de la nature profonde, il était comme un homme qui a pénétré dans une ruche et en est ressorti couvert de miel". Le critique Jules-Antoine Castagnary sur Courbet : Redécouvert depuis plus de 120 ans, Paysage de neige avec arbres et rochers appartient à un petit groupe de paysages d'hiver de dimensions comparables représentant les mêmes bouleaux dans la région natale de l'artiste, la Franche Comté. Parmi les autres compositions notables, on peut citer un tableau antérieur de 1860 conservé au Cincinnati Art Museum, qui présente des cerfs et un affleurement rocheux à droite, ainsi qu'une œuvre d'environ 1865 conservée aux National Galleries of Scotland, à Édimbourg, dont la composition est proche de la présente œuvre. Ici, comme dans l'œuvre de Boi, Courbet explore le cadre du sous-bois à travers un paysage pur, dépourvu d'incident narratif ou de présence humaine. Sous une toute autre forme, le motif des deux hêtres penchés au centre de la composition apparaît dès 1858 dans Le Repas de chasse (musée Beeche, Cologne). Alors que la propre mythologie de Courbet suggère un artiste qui peignait rapidement avec une facture rugueuse et machiste, la surface bien préservée de la présente œuvre révèle à quel point le maniement de la peinture par Courbet pouvait être sophistiqué. Le sujet hivernal permet à Courbet d'accumuler couche après couche de peinture sur la terre et les restes de feuillage roussâtre grâce à une utilisation magistrale du couteau à palette. Comme l'a écrit Charlotte Eyerman, "la neige elle-même est la fascination centrale de Courbet dans ces tableaux : elle est éphémère, transmutable et intrinsèquement instable... En tant que groupe, les paysages de neige sont extrêmement tactiles et essentiellement matériels, et ils ont une qualité sculpturale, à la fois en termes de composition et de surface". Gustave Courbet, autoproclamé "l'homme le plus fier et le plus arrogant de France", a fait sensation au Salon de Paris de 1850-1851 en exposant un ensemble de tableaux situés dans son village natal d'Ornans, en Franche-Comté, dans l'est de la France. Ces œuvres, dont Les Casseurs de pierre (1849-50 ; aujourd'hui perdues) et Un enterrement à Ornans (1849-50 ; Musée d'Orsay, Paris) remettent en question les conventions en représentant des scènes de la vie quotidienne à grande échelle, jusqu'alors réservées à la peinture d'histoire, et dans un style résolument réaliste. Face au réalisme sans fard de l'imagerie de Courbet, les critiques se sont moqués de la laideur de ses personnages et les ont qualifiés de "paysans endimanchés". La carrière de Courbet a été ponctuée de scandales, souvent délibérément courtisés par l'artiste lui-même. Les Jeunes filles du village, dont l'action se déroule dans les faubourgs d'Ornans, suscite une nouvelle polémique au Salon de 1852. Les critiques ont été presque unanimes à reprocher à Courbet la "laideur" des trois jeunes femmes, pour lesquelles les sœurs de l'artiste ont servi de modèles, et l'échelle démesurément petite du bétail. 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Le sens du tableau inachevé de Courbet reste énigmatique : les personnages de gauche suggèrent les différents types sociaux qui apparaissent dans ses toiles, tandis qu'à droite, il représente ses amis et ses partisans. L'artiste s'est peint lui-même au centre de cet univers, peignant paradoxalement un paysage dans les limites de son atelier. Le catalogue de l'exposition qui l'accompagne comprend le "Manifeste réaliste" de Courbet, dans lequel il proclame sa fidélité à des sujets tirés de la vie moderne. Dans les années 1850, l'adhésion de Courbet à la modernité l'amène à dépasser les sujets d'Ornans qui ont fait sa réputation. Il a capturé la culture des cafés du Paris bohème, en peignant des portraits de ses habitants et des œuvres inspirées des chansons populaires des cafés. Passionné de chasse, Courbet connaît également un succès critique et populaire avec ses scènes de chasse, dont la première est exposée au Salon de 1857 aux côtés de son portrait de l'acteur Louis Gueymard. 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