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Germain PAGET
Portrait d'une jeune fille

c. 1850

À propos de cet article

Germain PAGET (Morbier, 1817 - Morbier, 1884) Portrait d'une jeune fille Huile sur toile Signé en bas à droite 65 x 54cm Germain Paget est né à Morbier le 18 mai 1817, deuxième d'une famille de sept enfants. Son père, Pierre Claude, dirigeait une scierie au moulin Paget et un atelier d'horlogerie dans le village où il a développé l'emboutissage pour les couronnes et les pendules. Germain entre au collège royal de Dole. Il suit également des cours à l'école municipale de dessin, dirigée par Jean Séraphin Désiré Besson (1795-1864). Besson, formé à Paris par Dejoux et Pradier, est un excellent maître, enseignant le dessin industriel et artistique, le modelage, la peinture décorative et de paysage. Germain Paget, recommandé par Besson, part à Paris en 1839 pour poursuivre sa formation à l'école des Beaux-Arts et dans l'atelier du peintre Adolphe Brune (originaire de Souvans, près de Dole) qui reçoit tous les élèves envoyés par Besson. La formation artistique, telle qu'elle est imposée par David, repose essentiellement sur la maîtrise du dessin : dessin d'anatomie, dessin d'après l'antique, étude de la perspective. Germain Paget est alors étudiant à Paris. Il fréquente les ateliers de deux Francs-Comtois, Adolphe Brune et Jean Gigoux, puis de Thomas Couture. Il vit au 41, rue Monsieur-le-Prince, réalise des portraits pour les membres de sa famille, mais aussi pour ses relations jurassiennes, afin de faire face aux nombreux frais que nécessite sa formation. L'élève doit payer le "patron" de l'atelier, qui vient deux fois par semaine pour corriger le travail, il achète ses fournitures et paie également les modèles qui viennent poser. Honoré Chapuis, né à Arlay la même année que lui, est un ami fidèle pour Germain qui suit la même voie artistique pour devenir professeur de dessin à l'école des Beaux-Arts de Besançon en 1851. Germain Paget prépare le concours d'entrée à l'École des Beaux-Arts de Paris vers 1838. Les épreuves du concours comprenaient l'exécution d'un dessin d'anatomie et d'un croquis en perspective. Si ces deux épreuves éliminatoires sont réussies, le candidat réalise alors un dessin d'après nature ou d'après l'antique. La formation était basée sur une bonne maîtrise du dessin et de la composition, la couleur étant un élément secondaire parmi les critères retenus par l'Académie. Le Salon, qui se tenait chaque année au Louvre (puis aux Tuileries, enfin au Grand Palais), était la grande affaire des artistes, dont les tableaux admis par le jury étaient abondamment commentés dans la presse parisienne et régionale. Encouragé par son maître, Auguste Brune, Germain Paget participe régulièrement à partir de 1841 à des œuvres religieuses, comme un Saint Paul (œuvre non localisée). En présentant en 1844 Saint François Xavier baptisant et guérissant les malades indiens, œuvre commandée par l'abbé Grenier de Morez pour l'église Notre-Dame, il est remarqué par le ministère qui lui commande dans les années suivantes plusieurs copies de grands maîtres, comme La Cène de Philippe de Champaigne (déposée à l'église de Morez). L'impératrice Eugénie, qui épouse Napoléon III en 1853, remet au goût du jour le siècle de Marie-Antoinette, en encourageant les artistes qui remettent au goût du jour l'art de Fragonard, Watteau et Boucher. Germain Paget a composé de nombreuses scènes de genre dans ce style. Dans un cadre bucolique et plein de fraîcheur, il aime représenter des enfants en maraude dans la campagne, ou des personnages féminins évoluant à l'ombre. Ces compositions sont bien connues des collectionneurs. Germain Paget revient régulièrement se ressourcer à Morbier où il compose avec bonheur des portraits de notables locaux comme le docteur Regad, maire de Morez, (coll. part.), ou des membres de sa famille. En 1860, l'Exposition universelle de Besançon ouvre une ère de dynamisme régional pour les artistes comtois. De plus, le père de Germain approche les soixante-dix ans. Aussi, il prépare son retour en agrandissant son studio d'artiste à Morbier, où il continuera à peindre. Il expose ses toiles à Besançon, Lons-le-Saunier, Dijon et Lyon et reçoit dans son petit cercle ses amis artistes de Paris et d'ailleurs. Il n'expose plus à Paris après 1865. L'Adoration des bergers, composée en 1868 et offerte à l'église de Morbier, est la dernière composition religieuse de Germain qui se consacre plus volontiers aux scènes de genre, portraits et paysages qu'il exposera jusqu'à sa mort, en 1884. Parallèlement à son activité artistique, Germain se consacre désormais, avec son frère Désiré, à la fabrication de pendules estampillées et dépose deux brevets en 1869 et 1870 pour des éléments mobiles décoratifs sur une pendule. Il imagine les motifs les plus variés : soleil, fleurs, cornes d'abondance, scènes rurales peintes ou dorées. Germain meurt célibataire à Morbier le 8 décembre 1884 et lègue son studio d'artiste à son neveu Léon, qu'il forme au dessin et à l'estampage. Bibliographie : Marie-Paule Renaud, Germain et Luc Paget, peintre et graveur 1817-1921, 2008 Musées : Dole, Morez
  • Créateur:
    Germain PAGET (1817 - 1884, Français)
  • Année de création:
    c. 1850
  • Dimensions:
    Hauteur : 65 cm (25,6 po)Largeur : 54 cm (21,26 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
  • Adresse de la galerie:
    PARIS, FR
  • Numéro de référence:
    Vendeur : T651 10 231stDibs : LU1954213750332
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En 1774, il signe et date le Portrait du comte d'Artois, en tant que colonel général des Suisses et des Grisons. En 1777, il épouse Marie Madeleine Borel, fille d'un marchand de bois, et s'installe près des Quinze-Vingt à la Bastille, comme portraitiste. Il est entré dans la loge maçonnique de l'Amitié céleste et a donc bénéficié d'une certaine notoriété. Il a exécuté le portrait de Charles-Henri, comte d'Estaing, gravé par Charles-Etienne Gaucher (1779). En 1781, L. Perrot reproduit deux de ses œuvres du cabinet de Madame de Saint-Maurice, Enfance à la campagne et Visite à la nourrice, pour la société philanthropique fondée notamment par Louis d'Affry, capitaine des Gardes suisses. . Outre le fait que ces sujets dénotent un idéal de bienveillance sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau, ils témoignent de relations avec le milieu suisse. Enfin, le format et la qualité de deux grands portraits en pied, la Vestale versant de l'encens (1781) et l'Offrande à Hymen (1783), reflètent sa faveur dans la société à la veille de la Révolution et, bien que dans l'ombre, il est capable de se constituer des rentes viagères. De cette première étape sont datés deux carnets de croquis à la craie noire et à la craie rouge de personnages, de scènes d'intérieur, d'évocations théâtrales, dont la Vierge vestale versant de l'encens. Il a également signé une série d'illustrations de lavis portant sur la mythologie et d'autres sujets tirés d'Ovide. En 1789, le climat politique s'assombrit soudainement, les amateurs partent, entraînant les artistes avec eux. François Sablet prend la route de la Suisse et, en janvier 1792, rejoint à Rome son frère, peintre de genre en costumes italiens et de portraits dans la nature appelés "sujets de conversation", modèles dont François va s'inspirer. François passe l'été à Genzano, dans la campagne romaine, où il se consacre également au paysage et aux costumes populaires. Beat d'Hennezel, leur compatriote, évoque les soirées chez les Sablets avec leurs amis artistes, occupés à dessiner des portraits tout en échangeant des remarques enflammées sur la situation politique. Cependant, les événements de Paris ont eu des répercussions à Rome. En janvier 1793, le représentant français est assassiné, les Français et autres francophones sont en danger et doivent quitter les États pontificaux. Les artistes retournent à Florence, mais tous ne peuvent pas y rester et continuent en France ; les Sablet se dirigent vers Lausanne. De retour à Paris, il est reçu le 1er octobre 1793 à la Commune des Arts et le 28 mai suivant, il soumet son croquis des charrettes de foin traînées par les sans-culottes de la Commune de Chaussière, faute de chevaux pour le concours de l'an II. Il a fourni trois portraits au graveur Pierre-Michel Alix pour sa Galerie des Grands Hommes : Viala, Guillaume Tell et Lycurgue. Ce n'est qu'en 1795 qu'il expose pour la première fois deux portraits au Salon, puis ne signe plus aucune œuvre jusqu'en 1799. Pendant toute cette période, il vit à Vernonet en Normandie avec l'acteur Simon Chenard et semble prendre ses distances avec Paris contrairement à son frère qui, logé au Louvre, expose ses œuvres avec succès. En 1799, il présente au Salon deux paysages, deux intérieurs et deux portraits. En 1802, les frères Piranèse, protégés par Lucien Bonaparte, créent une Académie des Beaux-Arts au Collège de Navarre, où François Sablet se distingue dans la chalcographie : Vue du cloître de la Chartreuse dans les thermes de Dioclétien, Illumination du Pont des Tuilerie et Illumination de la Concorde et six Vues des jardins de la Villa Borghèse. En 1804, il expose au Salon deux paysages, dont La Voie Appienne au bas de la Riccia et deux portraits. Un décret du 30 mars 1805 installe cependant l'École polytechnique au Collège de Navarre, obligeant la chalcographie piranésienne à déménager tout en accordant une compensation aux artistes. François Sablet décide alors de s'installer à Nantes où il a de nombreux amis. C'est, outre les frères Cacault avec leur riche collection à Clisson, l'architecte Mathurin Crucy, compagnon d'études, le sculpteur François-Frédéric Lemot qui y crée une nouvelle "Arcadie", tous très proches et à l'origine du développement du port et de la ville de Nantes. François Sablet y poursuit sa carrière de portraitiste avec beaucoup de succès. Il a une vitrine, tout le monde défile dans son studio, il y a une file d'attente. Suit une étonnante production de petits portraits "à la Boilly", très naturels, parfois incisifs, comme son Autoportrait, dédié au musée d'art de Nantes. François Cacault meurt en 1805 et Sablet est chargé de l'inventaire de la collection pour le musée. Son œuvre ne se limite cependant pas aux petits portraits : pour Crucy, il peint le salon, où apparaissent l'architecte et sa femme, et divers paysages, notamment le Portrait de la famille de la Roche, que l'on n'hésite pas à attribuer à Jacques Sablet. Et c'est bien là le problème si difficile à élucider, car non seulement François est surnommé à tort "le Romain" ou "le Jeune", mais il peint à la manière de Jacques. Il exécutait des paysages des environs ou des souvenirs d'Italie, mais son activité principale était la décoration de la Bourse. Son architecte Mathurin Crucy a fixé le programme : six grandes grisailles évoquant la visite de Napoléon à Nantes en août 1808. François Sablet se met au travail en juillet 1810 et la Bourse est inaugurée le 15 août 1812. Quant aux grisailles, elles sont recouvertes à la Restauration, puis retirées et vendues. Il ne reste que les dessins préparatoires et 123 portraits légués à la Société archéologique de Nantes en 1862. En avril 1817, François expose au Salon une grande vue du port de Nantes qu'il peut contempler depuis son domicile. L'année suivante, il signe et date une Sainte Famille, l'œuvre ultime du peintre. Ainsi, peu à peu, se dessinent l'art et la personnalité de François Sablet, essentiellement peintre de portraits et de paysages, suivant tous les styles, traversant avec souplesse les aléas de l'histoire, de belles effigies au pied de l'Ancien régime à la suite de Vien et de petites scènes champêtres, à la mode, comme L'escarpolette puis converti à Nantes avec de petits portraits illustrant la bourgeoisie locale, sachant toujours répondre aux différents patronages avec un égal bonheur, se montrant à la hauteur d'une grande commande municipale comme la décoration de la Bourse, ou encore retrouvant le style du XVIIe siècle italien pour un tableau d'église. Musées : Nantes, Brest, Melbourne, New York (Met.), Fribourg, Lausanne.. Bibliographie : SIKART - Anne van de Sandt - 1998 et 2018 Jean Claude Frédéric Alexis Pellegrini, né le 22 juillet 1787 à Chambéry (Mont-Blanc) et mort le 27 mars 1854, est un inspecteur divisionnaire honoraire des Ponts et Chaussées. Il réalise les travaux d'amélioration de la navigabilité du Lot et étudie le projet d'un canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Il a participé à la construction du pont Vittorio Emanuele I sur le Pô à Turin et du pont sur la Garonne à Moissac Il est le fils de Bernard Pellegrini, originaire de Castelrotto dans la commune de Croglio, au Tessin (Suisse), et de Marguerite Berthet. Il est le frère de Charles Henri Pellegrini. Il entre à l'école polytechnique le 20 novembre 1806 et en sort le 1er septembre 1808. Il entre dans la fonction publique et poursuit ses études à l'École des Ponts et Chaussées. Pendant ses études, il fait des stages dans le département de l'Ain, en 1809, et dans le département du Pô, à Turin, en 1810, où il participe aux travaux du grand pont de pierre sur le Pô, à Turin. Bien qu'il n'ait fréquenté l'école des Ponts et Chaussées que pendant deux ans au lieu de trois, il est nommé ingénieur en herbe et reste attaché à la construction du pont sur le Pô. Il est nommé ingénieur civil de 2e classe le 1er septembre 1811. En 1812 et 1813, il est chargé des travaux hydrauliques sur la Stura. Il est responsable des travaux de la citadelle de Turin. Sa fonction d'officier du génie militaire a cessé après la reddition de la citadelle. Mis ensuite à la disposition du ministère de l'Intérieur le 4 mai 1814, il est mis à la disposition du roi de Sardaigne pour poursuivre les travaux du pont sur le Pô jusqu'en octobre 1814. Il est ensuite nommé ingénieur des ponts et chaussées dans le département de la Lozère où il entreprend les démarches nécessaires à la construction du pont sur le Tarn à Florac. Il est nommé chef de service d'un arrondissement du département du Gers, entre le 1er décembre 1814 et le 1er octobre 1821. Il a travaillé à la construction d'un pont de pierre à trois travées sur la Baïse à Condom. Il a restauré le réseau routier du Gers en utilisant un procédé identique à celui mis au point par MacAdam. Le 1er octobre 1821, il est nommé chef de service de l'arrondissement de Moissac dans le département du Tarn-et-Garonne où il est chargé de la construction du pont de Moissac. Il est nommé ingénieur civil de 1ère classe le 1er juin 1824. Le 15 juillet 1825, il est chargé d'achever le projet de canal entre Toulouse et Montauban. Il a donné les projets de toutes les œuvres d'art à construire avec leurs estimations. Le 6 février 1826, il est chargé des études pour le projet de canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Le 17 juillet 1827, il est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées par intérim pour le département du Tarn-et-Garonne jusqu'à la fin du mois d'octobre 1828. Le 28 octobre 1828, il est nommé ingénieur en chef du département du Lot. Il est nommé chef mécanicien de 2e classe le 25 octobre 1829. Il est nommé ingénieur en chef de 1ère classe des ponts et chaussées le 28 août 1835, ingénieur en chef directeur le 3 juin 1839. Après 1830, l'industrialisation du bassin Aubin-Decazeville rend nécessaire la navigabilité du Lot, seule voie d'eau permettant le transport du charbon et des produits métallurgiques. Le 27 novembre 1832, le directeur général des ponts et chaussées lui confie l'étude du projet d'amélioration de la navigation du Lot entre Livinhac-le-Haut et la limite du département de Lot-et-Garonne. Ces travaux commenceront à partir de 1838 et dureront jusqu'en 1848. Les travaux spectaculaires se feront en amont de Cahors avec une série de canaux de dérivation souterrains comme celui de Capdenac et des digues rétrécies. Pellegrini a restauré les écluses construites sous le règne de Louis XIV dans la basse vallée du Lot...
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