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L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Français, 1813-1875
Isidore-Alexandre-Augustin Pils (1815-1875) est un peintre académique français de sujets religieux et militaires. Pils est né à Paris, fils d'un soldat, François Pils. À l'âge de douze ans, il étudie avec Guillaume Guillon-Lethière pendant quatre ans. En 1831, il devient élève de l'École des Beaux-Arts et suit les cours de François-Édouard Picot. Il concourt pour le prix de Rome, qu'il remporte en 1838 pour une peinture d'histoire, Saint Peters soignant un boiteux à la porte du temple. Bien qu'en mauvaise santé, Pils passe ensuite les trois années habituelles à l'Académie de France à Rome, à la Villa Médicis, qui a alors pour directeur Jean Auguste Dominique Ingres. Pendant son séjour en Italie, il a visité Naples, Venise et Florence. Les premières peintures de Pils ont des thèmes religieux. En 1849, il achève son œuvre la plus célèbre, Rouget de L'Isle chantant la Marseillaise, aujourd'hui conservée au Musée historique de Strasbourg. Après avoir voyagé avec les troupes françaises en Crimée, ses thèmes s'orientent vers des sujets militaires et nationalistes. Il a ensuite réalisé de nombreuses scènes militaires pendant le siège de Paris lors de la guerre franco-prussienne de 1870. Pils est nommé professeur de peinture à l'École des Beaux-Arts en 1863 mais part la même année pour deux ans en Algérie. En 1868, il est élu au siège n°14 de l'Académie des Beaux-Arts. Parmi ses élèves figurent Adrien Moreau, Paul Adolphe Rajon, Julien Dupré, Luc-Olivier Merson, Ludovic Piette, Édouard Joseph Dantan et László Mednyánszky. Parmi ses autres œuvres, Apollo a peint une partie du plafond de l'escalier d'honneur du Palais Garnier, en quatre panneaux intitulés Les Dieux de l'Olympe, Apollon dans son char, Triomphe de l'harmonie et Apothéose de l'opéra, achevés l'année de sa mort. L'année suivante, il fait l'objet d'une biographie par Louis Becq de Fouquières. Pils est décédé à Douarnenez et est enterré dans la section 54 du cimetière du Père Lachaise. Ses œuvres sont conservées par différents musées en France tels que : Musée Condé - Chantilly. Musée National du Château - Compiègne Musée des Beaux Arts - Bordeaux Musée Historique - Strasbourg Palais des Beaux-Arts - Lille Musée des Augustins - Toulouse etc...
(Biographie fournie par Fremiot)
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Artiste: Isidore Alexandre Augustin Pils
Un homme lisant dans son cabinet de travail, peinture à l'huile, petit format, cadre en or 14 K, France, 19e C.
Par Isidore Alexandre Augustin Pils
Isidore Pils Paris 1813 - 1875 Douarnenez Portrait d'un homme dans son bureau Huile sur toile 10 1/2 x 8 1/2 pouces Encadré : 16 x 14 pouces Provenance : Collectional, Floride ...
Catégorie

Milieu du XIXe siècle École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Huile

Une scène orientaliste, aquarelle signée Isidore Pils (1813-1875)
Par Isidore Alexandre Augustin Pils
Isidore Pils (1813-1875) Une scène orientaliste Signé en bas à gauche Crayon et rehauts d'aquarelle sur papier ​​​​​​​15 x 24 cm papier jauni par le temps, taches et une petite déchirure réparée sur le bord supérieur droit. Dans un support moderne 40,5 x 53 cm Isidore-Alexandre-Augustin Pils (1815-1875) était un peintre académique français de sujets religieux et militaires. Pils est né à Paris, fils du soldat François Pils. À l'âge de douze ans, il a étudié avec Guillaume Guillon-Lethière pendant quatre ans. En 1831, il devient élève de l'École des Beaux-Arts et étudie auprès de François-Édouard Picot. Il a concouru pour le Prix de Rome, qu'il a remporté en 1838 pour une peinture d'histoire, Saint Pierre guérissant un homme boiteux à la porte du Temple. Bien que de santé fragile, Pils passe ensuite les trois années habituelles à l'Académie française de Rome, à la Villa Médicis, qui a alors pour directeur Jean Auguste Dominique Ingres. Pendant son séjour en Italie, il a visité Naples, Venise et Florence. Les premières peintures de Pils ont des thèmes religieux. En 1849, il achève son œuvre la plus célèbre, Rouget de L'Isle chantant la Marseillaise, qui se trouve aujourd'hui au Musée historique de Strasbourg. Après avoir voyagé avec les troupes françaises en Crimée, ses thèmes se sont orientés vers des sujets militaires et nationalistes. Il a ensuite réalisé de nombreuses scènes militaires lors du siège de Paris pendant la guerre franco-prussienne de 1870. Pils est nommé professeur de peinture à l'École des Beaux-Arts en 1863, mais part la même année pour deux ans en Algérie. En 1868, il est élu au siège n°14 de l'Académie des Beaux-Arts. Parmi ses élèves figurent Adrien Moreau, Paul Adolphe Rajon, Julien Dupré, Luc-Olivier Merson, Ludovic Piette, Édouard Joseph Dantan et László Mednyánszky...
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années 1870 Académique L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Aquarelle

Portrait d'un jeune homme, aquarelle attribuée à Isidore Pils (1813-1875)
Par Isidore Alexandre Augustin Pils
Attribué à Isidore Pils (1813-1875) Portrait d'un jeune homme Aquarelle sur papier, montée sur carton 26.5 x 21 cm Dans un cadre moderne : 42 x 36 cm En très bon état, un peu poussié...
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années 1860 L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Aquarelle

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Portrait d'une jeune fille
Louis Joseph César DUCORNET (Lille 1806 - Paris 1856) Portrait d'une jeune fille Huile sur toile H. 92 cm ; L. 73 cm Signé en haut à gauche, daté 1837 Lorsqu'il est venu au monde à ...
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années 1830 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Toile, Huile

Sketch d'un portrait dansant
École française vers 1840 Sketch d'un portrait dansant Huile sur toile montée sur carton H. 21 cm ; L. 20.5 cm
Catégorie

années 1830 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Toile, Huile

Le lac de Swan : grande peinture de paysage post-impressionniste française de la période Art déco
Par Marius Petit
Une peinture étonnante et atmosphérique de Marius Petit (1882-1960). Il date des années 1920, l'apogée de la période art déco. Glorieuse, scintillante et magnifiquement colorée, elle...
Catégorie

Début du 20ème siècle École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Huile, Toile

Roi de France Louis-Philippe - D'après le baron Gérard
D'après le baron Gérard, vers 1835 Portrait du roi Louis-Philippe Huile sur toile H. 79 cm ; L. 65 cm Collectional : Collection privée, Périgord, par filiation depuis le XIXe siècle...
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années 1830 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Toile, Huile

Jeune garçon dans un paysage, grande peinture d'époque art déco
Ce paysage lumineux capture parfaitement la lumière du début du printemps. Un garçon franchit des portes de ferme en bois, avec en toile de fond des collines ondulées. La peinture a ...
Catégorie

années 1930 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Huile, Toile

Grand dessin de Grisaille sur papier signé « Old Testament Scene with Angel 1813 »
L'un des personnages de cette scène est un homme d'âge mûr, agenouillé, la tête baissée et les mains jointes près de la poitrine dans un geste de supplication. Son attitude traduit u...
Catégorie

Début du XIXe siècle Réalisme L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Acajou, Papier, Aquarelle, Crayon

Gilets orange
Par Brian Stonehouse
Gouache et fusain sur papier, 53cm x 37cm (74cm x 55cm encadré). Provenance : succession de l'artiste (cachet au verso). Stonehouse a eu une vie extraordinaire. Jeune étudiant en i...
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années 1970 Après-guerre L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Papier, Gouache, Fusain

Gilets orange
Gilets orange
H 29,14 po l 21,66 po P 0,79 po
Tam-Tam
Maison de Bernard Fondée en 1905. Aquarelle sur crayon. Certains avec des rehauts de feuille d'or ou d'argent Paris, France. Coats, 1923. Robes de soirée, 1926. La mode fra...
Catégorie

années 1920 Académique L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Papier d'archives, Aquarelle, Ruban adhésif pour archives, Encre, Papier...

Tam-Tam
Tam-Tam
H 19,5 po l 15,6 po P 1,25 po
Pub britannique
Aquarelle originale avec tracés à la mine de plomb représentant une scène de pub bondé, réalisée par l'artiste britannique George Anderson Short. Signé en bas à gauche et daté 1936. ...
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années 1930 Académique L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Aquarelle, Papier d'archives, Graphite

Pub britannique
Pub britannique
H 4,5 po l 7 po P 1 po
Modèle se déshabillant
Julius EXNER (Copenhague, 1825 - Copenhague, 1910) Modèle de dépouillement Huile sur toile H. 122 cm ; L. 74 cm Signé et daté 1842 en bas à droite Exposition : probablement le Salon de Charlottenborg de 1845, sous le numéro 110, intitulé Modelfigur, récompensé par une médaille d'argent. Provenance : Emilio Fernando Bolt (A.I.C. - 1944), acquis auprès de l'artiste vers 1900, puis par filiation. Notre tableau a été réalisé dans le cadre des sessions d'été organisées entre 1839 et 1850 par Christoffer Wilhelm Eckersberg (1783-1853), le maître de la peinture danoise de la première moitié du XIXe siècle, dans son studio-appartement privé situé au rez-de-chaussée. de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Copenhague. Le maître y réunit quelques étudiants entre juin et septembre, loue un ou deux modèles pour la saison, qui sont peints sous différents angles, les artistes (dont Eckersberg lui-même) étant assis côte à côte. Eckersberg avait l'habitude de peindre une version assez petite, les élèves des grands formats. L'œuvre s'inscrit plus généralement dans le contexte légendaire des recherches et réformes menées par Eckersberg concernant les études de nus et en particulier de nus féminins, pour faire de cet exercice un genre de peinture à part entière. Suite à son passage de deux ans dans l'atelier de Jacques-Louis David à Paris en 1811, Eckersberg avait été sensibilisé aux travaux sur le nu et notamment sur des modèles vivants, à la lumière naturelle, alors qu'au Danemark les dessins n'étaient alors réalisés qu'à partir de moulages de modèles antiques ou d'autres mannequins. En 1822, alors qu'il y est professeur depuis 1818, c'est lui qui fait autoriser par l'Académie royale de Copenhague l'étude des nus, non plus le soir à la bougie, mais à la lumière naturelle ; à partir de 1833, c'est encore lui qui permet aux étudiants de travailler sur des modèles féminins nus, même si l'autorisation officielle de l'Académie n'intervient qu'en 1839. C'est cette même année qu'il institue ses sessions d'été, à titre privé, pour orienter sa peinture et celle de ses élèves vers une nouvelle conception de la représentation des modèles : même si le nu reste le véritable thème, il ne s'agit cependant pas d'un simple exercice académique. Le sujet est placé dans un intérieur contemporain, au décor plutôt sophistiqué, et occupé à une activité intime (c'est ce type de veine intime que l'on retrouvera plus tard chez Dega ou Cassatt par exemple) ; ainsi dans notre tableau, la jeune femme est censée se déshabiller pour se laver. L'objectif est que le spectateur oublie que le maître et ses élèves sont en train de peindre un modèle lors d'une séance de pose, et qu'il ait plutôt l'impression d'être seul avec le modèle, mais invisible, presque comme un voyeur malgré lui. De plus, dans ces tableaux, le modèle ne regarde jamais vers le spectateur, induisant une distance psychologique avec lui, alors que modèle et artiste sont en réalité physiquement très proches. D'autre part, il ne s'agit pas non plus de nus idéalisés, même si Eckersberg, preuve de sa dette à l'égard de l'antique, choisit des modèles et des poses assez classiques. La sensualité est réelle et très présente, avec des expressions rêveuses, voire innocentes, et intemporelles (les modèles ne semblent pas avoir d'âge défini), des attitudes et des mouvements suaves et lents, et surtout avec des vêtements qui cachent ou révèlent habilement des parties du corps féminin : haut des fesses, hanches prononcées.... Réalisée par un artiste de moins de 20 ans, notre peinture sensuelle est probablement l'une des plus belles et des plus spectaculaires produites par les étudiants d'Eckersberg lors de ces sessions d'été. Avec un équilibre parfait entre la fermeté d'une statue antique (elle rappelle la Vénus de Milo) et la douceur des formes féminines, soulignée par une palette harmonieuse, elle capte l'attention par de nombreux détails : les plis presque photographiques vêtements blancs et tissu brun posés sur le fauteuil, le subtil dégradé de vert de la tenture murale, la teinte rose des extrémités (pieds, mains, visage) reflétant la gêne probable du modèle malgré son professionnalisme, les cheveux soigneusement peignés et plaqués selon la mode de l'époque (notamment au Danemark), le rendu très réaliste du tissu brillant de l'assise du fauteuil, le minuscule reflet de la fenêtre dans le vernis du pied en acajou de la table, le jeu d'ombres et de lumières sur les différents matériaux, et surtout le dialogue entre la sinuosité du dossier du fauteuil et celle du corps de la jeune femme. Il n'est pas étonnant qu'il ait reçu une médaille d'argent au Salon de Charlottenborg (l'équivalent de notre Salon des Beaux-Arts de Paris) en 1845. Julius Exner, fils d'un musicien tchèque émigré au Danemark à l'époque des guerres napoléoniennes, a été formé à la peinture d'histoire par Lund (1777-1867) et par Eckersberg, avant de devenir à partir des années 1850 le principal représentant du "romantisme danois", avec des scènes traditionnelles et folkloriques du peuple danois, notamment de l'île d'Amager. Il voyage en Europe (Allemagne, Autriche, Suisse, Italie) à la fin des années 1860, et notamment en France, où il a déjà envoyé deux tableaux à l'Exposition universelle de Paris de 1855 (il exposera encore à celle de Paris en 1878), et fait plusieurs séjours en Suède où il est reçu membre de l'Académie royale des arts de Stockholm en 1866. Il a occupé plusieurs postes au sein de l'administration des Beaux-Arts au Danemark. Le tableau le plus connu des premières années d'Exner est celui, daté de 1843, représentant des étudiants en art parmi les sculptures en plâtre de l'Academy Fine Paintings de Copenhague, et qui sera exposé au salon de Charlottenborg en 1844 (il se trouve aujourd'hui au Staten Museum for Kunst de Copenhague). Mais il semble qu'Exner ait également participé à l'édition de 1842 avec un dessin et qu'il y ait obtenu une médaille d'argent. La date de notre tableau présente une incertitude qui n'a pas encore été complètement résolue. D'après les journaux d'Eckersberg, généralement détaillés, il n'y a pas eu de session d'été en 1842 (comme en 1845 et 1846). En revanche, on retrouve le même modèle féminin avec une attitude similaire dans plusieurs œuvres produites par Eckersberg et ses élèves, a priori au cours de la session de 1844 (notons que cette session est la dernière pour laquelle nous connaissons des œuvres). Nous savons que cette session a eu lieu en août et septembre, sans que le nom du modèle soit précisé (voir note 1 pour le détail des modèles entre 1839 et 1843) et nous connaissons les élèves participants - Julius Exner, Joël Ballin (1822- 1885), Geskel Saloman (1821-1902), et une artiste femme, Caroline Behrens - ainsi que les œuvres qui s'y rapportent. Le petit tableau (34,2 x 30,2 cm) d'Eckersberg est conservé dans une collection privée danoise ; le maître s'est amusé à modifier le mobilier, et l'œuvre est traditionnellement décrite comme datant de 1844 ; mais est-ce parce que le tableau porte une inscription 1844 (et dans ce cas, notre œuvre aurait sans doute été réalisée la même année), ou est-ce uniquement par analogie avec le tableau (102 x 77 cm, collection privée) de Collection Sal, lui -même signé et daté de 1844 ? Mais la signature et la date de 1844 du tableau de Saloman ont été apposées plus tard, en 1898, et on peut se demander si Saloman, alors âgé de 77 ans, n'aurait pas fait une confusion avec la véritable année d'exécution de son tableau ? Quant à la version de Joël Ballin (117 x 92 cm, Loeb Danish Art Collection, USA), elle ne porte ni date ni signature, et a été donnée à l'artiste par élimination. En définitive, malgré les dates incertaines des versions d'Eckersberg et de Saloman, l'absence de références à une session d'été en 1842 nous fait penser que notre tableau d'Exner a été exécuté en 1844. Comment expliquer alors cette date ? de 1842 ? Peut-être Exner, à l'occasion du Salon de Charlottenborg de 1845, a-t-il voulu, en datant son tableau de 1842, démontrer un talent très précoce en faisant croire qu'il avait pu réaliser un petit chef-d'œuvre à seulement 17 ans ? Ou, comme on peut le supposer pour la version de Can, a-t-il apposé cette date par erreur dans ses vieux jours, par exemple lorsqu'il a donné son tableau à Fernando Bolt ? La famille de Fernando Bolt avait émigré en Amérique du Sud vers le milieu du XIXe siècle et lui-même, pâtissier de métier, était né au Pérou, d'où la consonance hispanique de son prénom. Il retourne régulièrement au Danemark, et c'est à Copenhague que naît son fils Niels Peter...
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années 1840 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Toile, Huile

Modèle se déshabillant
Modèle se déshabillant
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Village européen
Par Edward Loyal Field
Aquarelle originale de l'artiste américain Edward Loyal Field, réalisée sur du papier d'archives et fixée sur du papier cartonné épais. L'aquarelle représente une scène européenne, p...
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années 1870 Académique L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

Matériaux

Aquarelle, Papier d'archives

Omnibus sur le Boulevard Saint Denis, Soir de
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Omnibus sur le Boulevard Saint Denis est un grand classique de Cortes qui dépeint cet endroit favori où il aimait peindre nombre de ses compositions, dans la nuit noire. Cortes aima...
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Années 1910 École française L'art d'Isidore Alexandre Augustin Pils

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Huile, Toile

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