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Montre de poche Lepine en or jaune 18 carats, seconde mort, double barillet, Collector

À propos de cet article

Montre de poche Lépine en or jaune massif 18 Kt Second Morte & Double Winding Barrel, Chronograph in Amazing Collectors Condition Fonction : Seconde Morte avec fonction Stop qui était utilisée comme compteur des secondes du chronographe Mouvement : Mécanique à remontage manuel avec double barillet ! !!!!!!!!!! Cadran : Émail Boîtier : 48 mm, épaisseur 11,5 mm Poids total : 97,2 grammes / 3,430 oz / 62,5 dwt Jean-Antoine Lepine (alternativement orthographié L'Pine, LePine, Lepine, L'Epine, né Jean-Antoine Depigny ; 18 novembre 1720 - 31 mai 1814) est un horloger français. Il a contribué à des inventions qui sont encore utilisées dans l'horlogerie aujourd'hui et a fait partie des meilleurs horlogers français, qui étaient des leaders mondiaux contemporains dans le domaine[1]. Débuts et nomination comme horloger du roi Dès son enfance, l'horloger montre un penchant pour la mécanique. Il commence sa carrière horlogère et progresse rapidement, notamment sous la direction de M. Decroze, fabricant des montres Saconnex[2], dans la banlieue de Genève (Suisse). Il s'installe à Paris en 1744, à l'âge de 24 ans, et devient l'apprenti d'André-Charles Caron (1698-1775), alors horloger de Louis XV. En 1756, il épouse la fille de Caron et s'associe avec lui, sous le nom de "Caron et Lépine", entre 1756 et 1769[3] On ne connaît pas de montres portant la signature Caron et Lépine ou équivalente ; apparemment, Lépine était indépendant dans une certaine mesure. Les premières montres n'étant pas numérotées, on ne sait pas quand Lépine a commencé à signer les montres avec Lépine à Paris sur le mouvement et partiellement L'Epine à Paris sur le cadran. Le 12 mars 1762, il devient maître horloger et, probablement depuis cette année-là, il est le professeur d'Abraham-Louis Breguet, avec qui il entretient des relations d'affaires pendant de nombreuses années. Dans les archives de Breguet, de nombreuses montres sont enregistrées comme ayant été livrées par Lépine. En 1765 ou 1766 (date précise inconnue), il est nommé Horloger du Roi. En 1766, il succède à Caron et figure sur la liste des horlogers parisiens de cette année-là sous le nom de Jean-Antoine Lépine, Hger du Roy, rue Saint Denis, Place Saint Eustache. Dix ans plus tard, en 1772, il s'installe place Dauphine ; en 1778-1779, quai de l'Horloge du Palais ; puis rue des Fossés Saint Germain l'Auxerrois près du Louvre en 1781 ; et enfin au 12 place des Victoires en 1789. En 1782, sa fille Pauline épouse l'un de ses ouvriers, Claude-Pierre Raguet (1753-1810), avec lequel il s'associe en 1792. Il est également associé pendant un certain temps au philosophe Voltaire, dans sa manufacture de montres installée en 1770 à Ferney. On ne connaît pas le rôle exact qu'il a joué dans la Manufacture royale de Ferney, qu'il s'agisse du directeur technique et/ou de l'associé. Cependant, la plupart des ébauches de ses montres y ont été fabriquées, au moins entre 1778 et 1782. Un mémoire non signé de 1784 rapporte que Lépine a séjourné 18 mois à Ferney et qu'il y a fait fabriquer des mouvements de montres d'une valeur de 90 000 livres par an. En tant qu'horloger de Louis XV, Louis XVI et Napoléon Bonaparte, les créations de Lépine étaient respectées et demandées[3]. 1764/65 : Invention du calibre révolutionnaire Lépine Calibre Lepine IIA avec complication à répétition des quarts partagé avec Abraham Breguet Cuvette Lepine Lepine Calibre IIA avec répétition des quarts. Également fabriqué par Lepine pour les montres Breguet. Vers 1764/65, il conçoit un moyen de fabriquer une montre de poche plus fine, favorisant la poursuite de la miniaturisation. Son design radical rompt avec une tradition vieille de 300 ans et inaugure l'ère du chronométrage de précision : la montre de poche moderne est née[4]. En plus d'ouvrir la voie à la fabrication de montres encore plus fines, cette innovation était facilement adaptable en tant que modèle de base pour la production en série de mouvements de montres, un processus qui devait débuter au XIXe siècle. Jusque dans les années 1840, les montres étaient toutes finies à la main, de sorte que les pièces n'étaient pas interchangeables. Les Suisses, Leschot en particulier, pensaient qu'il existait un marché pour des montres moins chères, fabriquées à la machine avec des pièces interchangeables[5] Refusant l'industrialisation naissante, l'horlogerie française n'a survécu qu'en devenant un auxiliaire périphérique de la puissance horlogère suisse, seuls quelques cabinotiers parisiens isolés fabriquant encore des montres véritablement françaises avec des mouvements français[6]. Au XVIIIe siècle, la pratique habituelle consistait à placer le mouvement entre deux plaques parallèles et le balancier à l'extérieur de la plaque supérieure. Le calibre Lépine supprime la plaque supérieure et utilise des coqs individuels montés sur une seule plaque. Cette disposition facilitait l'assemblage et la réparation des montres de poche, mais permettait également de mettre le balancier de côté. Essentiellement, le "calibre Lépine" ou "calibre à pont" servait à réduire l'épaisseur de la montre. Pour ce faire, il a remplacé le cadre traditionnel à deux plaques de fond par une plaque unique sur laquelle le train est fixé par des ponts indépendants. Elle supprime également la fusée et sa chaîne et commence alors à utiliser l'échappement à cylindre. Il a également inventé le barillet flottant du ressort moteur. Le calibre Lépine utilise des barres et des ponts au lieu de piliers et de plaques supérieures. Comme mentionné, le mouvement ne possède pas de fusée qui égalise la puissance motrice transmise au train, remplacée à la place par un barillet allant pour entraîner directement le train. Cette amélioration a été facilitée par l'utilisation de l'échappement à cylindre et de ressorts améliorés. Le calibre a été rapidement adopté dans toute la France et, aujourd'hui, sa conception de base est ce qui caractérise toutes les montres mécaniques. Il est important de noter que le terme " Lépine " peut désigner aussi bien le calibre lui-même qu'un type de montre de poche à boîtier plat et ouvert dans lequel la deuxième roue est placée dans l'axe de l'arbre de remontoir et la couronne positionnée à XII[7], par opposition à la montre à savonnette (ou à boîtier de chasse) où la deuxième roue et l'arbre de remontoir sont placés sur des axes perpendiculaires et la couronne à III. Depuis, ce design est connu dans l'industrie horlogère sous le nom de style Lépine[4]. Les travaux de Lépine ont profondément influencé toute l'horlogerie ultérieure, notamment Abraham Louis Breguet qui a utilisé une version modifiée du "calibre ponts" pour ses montres ultraplates. En effet, sauf au tout début de sa carrière, le célèbre et très connu Breguet a presque toujours utilisé des calibres Lépine qu'il a ensuite modifiés. Avec Ferdinand Berthoud, Lépine est maître de Breguet[8]. Autres améliorations et inventions Tout au long de sa carrière, Lépine a contribué à d'autres inventions importantes[9] telles que Il modifie l'échappement à virgule de Jean-André Lepaute. Grâce à Jean Antoine Lépine, il sera utilisé pendant une vingtaine d'années en France. Inventa un nouveau mécanisme de répétition ; en 1763, il conçut un mécanisme dans lequel, en appuyant sur le pendentif, le ressort de répétition est remonté et où les crémaillères des heures et des quarts sont placées directement sur l'arborescence du remontoir. La nouvelle conception a constitué une grande amélioration, éliminant la fragile chaîne d'enroulement. Il a également permis d'améliorer la stabilité du système et de réduire les frottements, tout en économisant de l'espace et en simplifiant le mécanisme. Le Mémoire de 1763 de l'Académie des Sciences, dans le chapitre "Machines ou inventions approuvées par l'Académie en 1763", donne un rapport très favorable à l'invention de Lépine. L'idée, avec quelques modifications, survit encore aujourd'hui. Invente un système d'enroulement sans clé. Inventeur des boîtes de montres à "charnières perdues" (invisibles) ; son mécanisme d'ouverture "secret" avec des charnières cachées, libérant le couvercle arrière en tournant le pendentif. Le premier horloger à avoir étudié et travaillé en permanence sur le design esthétique, au sens moderne du terme, des montres. Breguet, etc., ont poursuivi dans cette voie. Il fut également le premier à utiliser des chiffres arabes sur les cadrans, tant pour les heures que pour les minutes. On attribue également à Lépine l'introduction du sertissage au dos de la montre et du boîtier de chasse (ou savonette) qui recouvre entièrement un cadran grâce à son panneau articulé à ressort. Il met au point une nouvelle forme de boîtier, à charnières perdues et à lunette fixe. Comme ces montres étaient remontées et réglées par l'arrière, le mouvement était protégé de la poussière par un boîtier intérieur. Cette nouvelle disposition présentait l'avantage d'empêcher l'accès par la face du cadran, évitant ainsi de l'endommager ou d'abîmer les aiguilles. Les aiguilles à pomme, mains creuses, ont été utilisées pour la première fois par Lépine. En 1783, Breguet introduit une variante avec une " lune " excentrée, et ce sont les plus populaires aujourd'hui, connues sous le nom d'aiguilles Breguet. Héritage En 1793-94, Lépine, dont les yeux fatigués ne lui permettent plus de travailler, cède la "Maison Lépine" à son gendre Claude-Pierre Raguet, devenu associé en 1792, et à sa mort en 1810, c'est son fils Alexandre Raguet-Lépine qui poursuit l'entreprise. Cependant, Jean-Antoine Lépine continue à être actif dans l'entreprise jusqu'à sa mort, survenue le 31 mai 1814 à son domicile de la rue Sainte-Anne à Paris. Il est inhumé dans une concession temporaire au cimetière du Père-Lachaise le 1er juin 1814. L'entreprise est vendue à Jean Paul Chapuy en 1815, qui emploie le neveu de Paul, Jacques Lépine (de 1814 à 1825), qui avait été nommé horloger du roi de Westphalie (Allemagne) en 1809[2], puis, en 1827, à Deschamps, auquel succède Fabre (Favre) en 1832[3]. En 1853, il passe à Boulay. 1885 : Roux, gendre de Boulay. 1901 : Ferdinand Verger. 1914 : Dernière acquisition. 1919 : Achat du stock résiduel par Louis LeRoy. L'entreprise a toujours continué sous le nom de Lépine[10]. Plusieurs horloges et montres de Lepine sont exposées dans des musées et palais européens. Ses garde-temps comptent parmi les plus beaux de l'histoire de l'horlogerie. Il a joué un rôle important en nous permettant d'attacher des montres à nos poignets[3]. Associations historiques L'horloger était patronné par des personnalités de son temps, notamment les comtesses d'Artois et de Provence, de nombreux membres de l'aristocratie française ainsi que les royautés espagnole, britannique et suédoise[11]. Outre les monarques, les aristocrates, les bourgeois, etc., la popularité du design de Lépine était telle que George Washington[12], retraité en tant que président des États-Unis, l'a cherché : Cher Monsieur, J'ai eu le plaisir de recevoir par le dernier courrier votre lettre datée du 12 de ce mois. Je vous suis très reconnaissant de votre offre d'exécuter des commandes pour moi en Europe, et je prendrai la liberté de vous charger d'une seule d'entre elles. Je souhaite que l'on me procure une bonne montre en or pour mon usage personnel, non pas une petite montre insignifiante ou finement ornée, mais une montre bien exécutée sur le plan de la fabrication, de la taille et du type de celle que M. (Thomas) Jefferson a achetée pour M. (James) Madison, qui était grande et plate. J'imagine que M. Jefferson peut vous donner les meilleurs conseils à ce sujet, car on me dit que cette espèce de montres, que j'ai décrite, peut être trouvée moins chère et mieux fabriquée à Paris qu'à Londres. (...)" [13] Lettre de George Washington à Gouverneur Morris. Mount Vernon, 28 novembre 1788. La montre de poche qu'il a reçue par l'intermédiaire de son émissaire à Paris provenait de "M. Lépine (qui) est à la tête de sa profession ici, et en conséquence demande plus pour son travail que n'importe qui d'autre. J'ai donc attendu M. L'Epine et je me suis mis d'accord avec lui pour deux montres exactement semblables, dont l'une sera pour vous et l'autre pour moi"[14] Gouverneur Morris à Paris le 23 février 1789.
  • Créateur:
    Jean-Antoine Lepine
  • Matériau du boîtier:
  • Poids:
    97.2 g
  • Matière du bracelet:
    Or
  • Forme du boîtier:
    Rond
  • Mouvement:
  • Dimensions du boîtier:
    Diamètre : 48 mm (1,89 po)
  • Style:
  • Lieu d'origine:
  • Période:
  • Date de fabrication:
    inconnu
  • État:
  • Adresse du vendeur:
    Antwerp, BE
  • Numéro de référence:
    Vendeur : #85801stDibs : LU1752221651652
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