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Marc Roussel Céramiste français:: Saint Portrait:: Vallauris:: années 1960

À propos de cet article

Très rare et beau portrait d'un Saint, une céramique polychrome signée de la main au revers Marc Roussel. Marc Roussel est le beau-père de François Lembo, en tant que gendre, son travail de céramiste est très inspiré par l'art byzantin et les icônes russes. Cette tendance l'a rapidement guidé vers la réalisation d'icônes russes transcrites sur la céramique en prenant les décors des icônes en céramique irisée, qui brillent autour des auréoles des saints. L'artiste est connu comme un célèbre céramiste de Vallauris, le village connu comme la capitale française de l'argile. À partir des années 1950, des artistes célèbres, attirés par la réputation de Vallauris, s'y sont installés, dont Pablo Picasso.
  • Créateur:
    Marc Roussel (Artiste)
  • Dimensions:
    Hauteur : 15 cm (5,91 po)Largeur : 15 cm (5,91 po)Profondeur : 2 cm (0,79 po)
  • Matériaux et techniques:
  • Lieu d'origine:
  • Période:
  • Date de fabrication:
    1960
  • État:
  • Adresse du vendeur:
    Paris, FR
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU4817218193471
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  • Tapisserie de l'artiste français Charles Lapicque en édition limitée 1/2 «lops », 1964
    Par Charles Lapicque
    Exceptionnelle tapisserie 1/2 édition limitée "Pelops" avec certificat provenant d'une collection privée, 1964. Ateliers Pinton frères à Felletin, sous la supervision de Pierre Baudouin 2ex + 1EA Editeur Aram Iynedjian. La tapisserie sera vendue avec son certificat d'authenticité de la galerie. Dès le 15e siècle, le nom de Pinton est associé à la tapisserie d'Aubusson. Depuis lors, au fil des générations, la famille Pinton a largement contribué au développement de ce fabuleux patrimoine culturel jusqu'à la création, au XIXe siècle, de l'usine de Felletin, dans le département de la Creuse. Aujourd'hui encore, dans ces ateliers, les artisans exécutent les mêmes gestes corrects avec le même souci du détail et prolongent ainsi la chaîne de l'histoire de la tapisserie de tradition mais aussi contemporaine. La main des spécialistes, l'œil des designers et des teinturiers et le goût de la clientèle la plus exigeante trouvent leur sens dans le tissu des tapis. L'excellence du savoir-faire français, société du patrimoine vivant et gardienne du patrimoine culturel d'Aubusson, a toujours collaboré avec de grands artistes. Les œuvres de Charles Le Brun, Charles Lapicque, Pablo Picasso, Jean-Michel Othoniel, et bien d'autres grands noms du monde de la peinture, de l'architecture, du design, sont tombées dans les métiers à tisser et le savoir-faire ancestral de ce créateur creusois unique. Rédacteur en chef Aram Iynedjian Aram Iynedjian, galeriste lausannois et éditeur de tapisseries de Braque, Estève et Lapicque, ce dernier rencontre Pierre Baudouin, le plus célèbre des peintres cartonniers de l'époque. Celui qui a traduit les œuvres de Le Corbusier, Calder ou Picasso en tapisserie collabore ensuite avec Charles Lapicque et ils développeront une œuvre d'une grande richesse. Lapicque est venu réaliser ces deux sommets que sont "Pélops" et "Diane et Actéon". Je réalise que vous ne devriez jamais essayer de décrire une œuvre d'art Regardons ça. Admirons la science de la composition, la pureté linéaire, la perfection technique, la beauté des couleurs, la vérité du drame. Voyons, si nous le pouvons, la présence implacable du génie. "On comprendra maintenant qu'après avoir fondé un tableau sur l'amour de la tapisserie, il était relativement facile, et très tentant, de construire une tapisserie fidèle à mon tableau", explique l'artiste dans le catalogue de l'exposition. de la Galerie Verrière en 1970. Ce n'est qu'en 1961 qu'il commence à produire des cartons à la fois pour la tapisserie de la Lisse à Aubusson, mais aussi au Mobilier National, avec l'aide de Pierre Baudouin Charles Lapicque (1898-1988) Né en 1898 à Theizé (Rhône) dans une famille pratiquant à la fois les arts et les sciences, Charles Lapicque ne fait pas exception à la règle : doué pour la musique et le dessin, il est diplômé de l'École Centrale en 1921, travaille comme ingénieur jusqu'en 1928 avant d'intégrer en 1931 un laboratoire à la Faculté des Sciences de Paris, où il mène des recherches sur la perception des couleurs, couronnées par le titre de docteur en sciences physiques en 1938. Il étudie ainsi les réactions de l'œil devant une source lumineuse intense, à l'origine de la formation des images étoilées qu'il utilisera dans ses œuvres, et définit une théorie de l'étalement des couleurs dans l'espace qui bouleverse les règles de la Renaissance : "J'avais montré que la règle classique, celle de Vinci, préconisant de placer les bleus au loin, les rouges, les oranges et les jaunes au premier plan, est un non-sens ; il est plus logique, plus favorable de faire le contraire. " (Dans Le rouge et le bleu dans les arts, 1936) C'est vers 1920 que Charles Lapicque commence à peindre en Bretagne où il passe tous les étés depuis son enfance, d'abord sur le motif puis dans un atelier que son beau-père Jean Perrin, prix Nobel de physique, lui fait construire en 1927 ; il adopte alors définitivement le travail de mémoire, en accord avec l'art de la musique qu'il aime profondément et la philosophie bergsonienne de la connaissance : " C'est à nous de donner au réel une apparence qu'il n'a pas lui-même, une forme, une figure (...). " Sa production juvénile révèle d'emblée une grande originalité, oscillant entre figuration et abstraction qui s'entremêlent parfois : à côté de tableaux synthétiques par leur dessin simplifié et leurs aplats de couleurs, il conçoit un Hommage à Palestrina (1925), composé d'une grille dérivée du cubisme, entièrement abstrait, relayé par un Christ aux épines (1939), selon un principe qu'il développera après 1939, au gré de ses découvertes optiques. En effet, pendant les années de guerre, s'ouvre une période presque abstraite, celle du cadre bleu serré, appliqué sur des fonds allant du jaune au rouge et révélant un monde plus ou moins identifiable (Jeanne d'Arc traversant la Loire, 1940 ; série des Rencontres, 1940-1945). Exposé en 1929 par la galeriste Jeanne Bucher, Lapicque abandonne sa carrière scientifique en 1943 pour se consacrer entièrement à la peinture. Il poursuit son travail qui aboutit en 1946-1953 à des structures à ossature blanche ; leurs lignes beaucoup plus douces le conduisent au système de entrelacement noir ou blanc qui entoure des zones de couleur pure, le plus souvent en couleur unie. Avec La bataille de Waterloo en 1949, Lapicque utilise encore l'optique - le zoom sur une zone donnée - pour représenter des espaces aux perspectives multiples et aux temps décomposés. Ce nouvel intérêt pour la vivacité de la couleur se développe dans la période suivante, que l'on peut qualifier de flamboyante ou de baroque (1954-1963) : illustrée notamment par la série des lagunes bretonnes et des vues crépusculaires ou nocturnes de Venise à la lumière. Stars, que l'artiste lui-même qualifie de "bonbons audacieux", elle commence par le prix Raoul Dufy de la Biennale de Venise, décerné en 1953 à l'artiste qui en profite pour donner libre cours à sa passion pour la Sérénissime jusqu'en juillet 1956. Un autre point commun avec son frère aîné est l'expression du mouvement. Commencée en 1949 avec La Bataille de Waterloo puis en 1952 avec Dimanche aux regates, elle devient une obsession à partir de 1964, dans l'exploration de nouveaux thèmes, comme les différents plans de joueurs de tennis saisis au vol (1965), les scènes mythologiques et les tempêtes de mer. Ces années vertigineuses précèdent la dernière période de l'artiste : en atteignant l'âge adulte, il découvre la sérénité, révélée par une peinture maintenant à l'acrylique, beaucoup plus paisible de 1974, qui confine même à une naïveté enfantine à la fin de sa vie. Toute son œuvre comprend une étonnante diversité de thèmes, également nourris par ses voyages (Rome en 1957, Grèce en 1964, Hollande en 1974...), avec une prédilection pour la mer, les rochers, les voiliers, la musique, le tennis, les chevaux, les bêtes sauvages, mais aussi pour l'histoire et la mythologie, comme en témoignent les chevaliers, les rois et les dieux anciens. Il déploie également, dans une totale liberté créative, une grande variété de styles et d'orientations. Ayant été l'un des pionniers de l'art non figuratif, ouvrant ainsi la voie à des artistes comme Manessier, Bazaine, Vieira da Silva, De Staël, etc. Propriétaire de la nouvelle école non-figurative de Paris de l'après-guerre, Charles Lapicque revient ensuite à la figuration, dans une "nouvelle interprétation" de l'apparence, même s'il continue à côtoyer parfois l'abstraction. "Le dessin court après la couleur et la couleur après le dessin." Héritier des Fauves, Charles Lapicque joue comme eux sur les couleurs pures, dont les dissonances, associées à un dessin totalement libre et à une composition surchargée dans un espace multiple, en font un précurseur de la Nouvelle Figuration sous toutes ses formes : la Figuration narrative née en France au début des années 1960, représentée notamment par Gérard Fromanger, Erró, Bernard Rancillac et Gérard Guyomard ; la Figuration libre née au début des années 1980, marquée par Robert Combas, Hervé et Richard Di Rosa...
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