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Eugène Louis BoudinSur la plage de Deauville - Aquarelle figurative impressionniste d'Eugène Boudinc.1865
c.1865
À propos de cet article
Aquarelle sur papier signée vers 1865 par le peintre impressionniste français Eugène Boudin. Cette œuvre représente un artiste peignant le portrait d'un couple élégant sur la plage de Deauville. Le couple pose sur la plage alors qu'il est peint par un Artistics assis sur un tabouret devant eux. Le sujet du couple élégant est représenté dans de nombreuses scènes de Boudin - souvent intitulées "Crinolines" - qui font référence aux grandes robes à cerceaux que portaient les femmes de l'époque.
Signature :
Estampillé en bas à droite avec le cachet de l'atelier E.B. (Lugt 828)
Dimensions :
Encadré : 12.5 "x17.5"
Sans cadre : 6.5 "x11.5"
Provenance :
Christie's London c. 1920 (pochoir au verso)
Beaux Arts Gallery London c. 1930 (étiquettes au verso)
Pearson & Westergaard - Glasgow c. C. 1940 (étiquettes au verso)
Fils de marin, Eugène Boudin envisage d'abord de devenir pilote de marine. Cependant, un an après l'installation de sa famille au Havre, en 1835, il entre comme apprenti dans une imprimerie-éditorialiste, puis dans une papeterie, où il reste jusqu'à l'âge de 18 ans avant de s'installer à son compte dans la même entreprise. Passionné de dessin et de peinture, il reçoit les encouragements et les conseils des peintres Millet, Isabey, Couture, Troyon et Masurier, dont il expose les tableaux dans ses vitrines. En 1846, il quitte son magasin pour se consacrer pleinement à l'art. Plusieurs changements de fortune s'ensuivent. D'abord, en 1847, il s'installe à Paris, où il passe de nombreuses heures au Louvre. D'autre part, le désir d'échapper aux bouleversements de la révolution de 1848 le pousse à voyager dans le nord de la France et en Belgique, ce qui lui donne l'occasion d'étudier les anciens maîtres flamands. En 1851, le Councill du Havre lui accorde une bourse de trois ans, qu'il passe à Paris et surtout à Honfleur. Il s'ensuivit de nombreuses années d'efforts patients, d'application et de travail acharné, documentés par de nombreux croquis et dessins décrivant consciencieusement ses voyages et ses pensées. Dès le départ, l'œuvre de Boudin est marquée par sa volonté de peindre la scène réelle qu'il a sous les yeux et de ne pas lui imposer d'éléments imaginatifs ; ainsi, il tente de traduire directement au pastel, à l'aquarelle ou à l'huile le spectacle toujours changeant des ciels et des nuages qui s'élancent sur la mer. En 1855, il effectue son premier voyage en Bretagne, dans le Finistère, où il reviendra souvent au cours de sa vie. Ses sujets comprennent les marchés intérieurs et extérieurs, les fêtes, les personnes sortant de la messe et les pardons bretons ou les fêtes religieuses, ainsi que les côtes sauvages et rocheuses, caractérisées par des teintes beaucoup plus sombres et des ciels plus menaçants que le littoral de sa Normandie natale. En 1858, il fait la connaissance de Claude Monet, qui séjourne au Havre. Boudin a donné à Monet le goût de la peinture en plein air et a continué à être associé à lui jusqu'à la fin de sa vie. En 1859, il rencontre Courbet et Baudelaire, ce dernier étant le premier à reconnaître son talent, au Salon de 1859. Vers 1860, Boudin décide de s'installer définitivement à Paris. Il travailla pour Troyon, préparant les ciels de ses compositions, et connut Corot, Daubigny et plus tard Jongkind, qu'il admirait particulièrement. Pendant la guerre franco-prussienne de 1870-1871, il se réfugie en Belgique, où il réalise de nombreuses peintures de qualité, notamment à Anvers en 1871 et 1872. À son retour à Trouville en septembre 1871, ses œuvres se vendent facilement. Il travaille jusqu'à l'épuisement de ses forces et peint son dernier tableau à Beaulieu en 1898. En mai, il est ramené à Paris, puis à Deauville, où il meurt en bord de mer le 8 août 1898.
Boudin expose pour la première fois à Paris en 1857, au Concert Musard, à l'âge de 35 ans, Alexandre Dumas achetant deux œuvres. En 1859, il fait ses débuts au Salon et y expose régulièrement jusqu'en 1897. En 1874, il participe avec Nadar à la première exposition impressionniste de Paris, et sa réputation est dès lors solidement établie. À partir de 1881, le marchand d'art Durand-Ruel achète la majorité de ses œuvres et organise régulièrement des expositions. Outre les tableaux que Boudin envoie aux Salons, ses œuvres figurent dans de nombreuses autres expositions, dont seules celles organisées par Durand-Ruel sont citées ici - 1883 : 150 tableaux ; 1889 : 89 tableaux ; 1891 : 33 peintures, 35 pastels, 190 dessins ; 1898 (à New York) : 49 peintures ; 1903 (à New York) : 39 peintures ; 1923 : 66 peintures ; 1927 : 44 peintures ; 1929 (New York) : 33 peintures ; 1933 (New York) : 30 peintures ; 1936 : 20 peintures. Après sa mort, une exposition rétrospective de ses œuvres est organisée à l'École des Beaux-Arts de Paris en 1899, comprenant 364 peintures, 73 pastels et 20 aquarelles. Après près d'un siècle sans exposition rétrospective de son œuvre, la ville de Honfleur lui a rendu un grand hommage en 1992. Boudin n'avait pas vu beaucoup de reconnaissances de ce genre au cours de sa vie. En 1881, il obtient pour la première fois une médaille de troisième classe au Salon, puis une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889. Il est finalement fait Chevalier de la Légion d'Honneur en octobre 1892.
À partir de 1862, et sur les conseils d'Eleg, qui avait été le précepteur de Boudin (mais d'autres sources affirment que c'est à l'instigation de Baudelaire), il peint des femmes élégantes sur les plages à la mode, notamment celle de Trouville, accessible par le chemin de fer. Ces foules hétéroclites sont souvent représentées par des touches de couleur qui, partant de formes vagues, peuvent évoluer vers la forme claire de la dame à la mode du Second Empire ou du dandy. En ce qui concerne ses modèles de la "haute société", contrairement aux préoccupations sociales de Millet ou aux préoccupations politiques de Courbet, il est intéressant de lire l'opinion contemporaine de Boudin sur le rôle de l'artiste dans la société. En 1861, il écrit à un ami : "Les paysans ont leurs peintres. C'est une bonne chose. Mais, entre vous et moi, ces bourgeois qui se promènent sur la jetée jusqu'au coucher du soleil, n'ont-ils pas aussi le droit d'être capturés sur la toile, d'être conduits vers la lumière ? Entre nous, ils travaillent souvent très dur, ces gens qui sortent de leur bureau et de leurs études. Si parmi eux il y a quelques parasites, n'y a-t-il pas aussi des gens qui font bien leur travail ?" Il est évident que la question le dérange. Même s'il ne la formule qu'en termes de droit de certaines personnes à être utilisées comme modèles par l'artiste, la question signale une préoccupation plus profonde concernant la place de l'art et de l'artiste dans la société bourgeoise, qui a tendance à rejeter les artistes en tant qu'innovateurs, et donc implicitement en tant que révolutionnaires. À l'instar de nombreux artistes des XIXe et XXe siècles, Boudin résout la question en séparant l'esthétique de la morale. Il ne tient plus compte du statut social de ses modèles, mais se concentre uniquement sur leur apparence extérieure. Ainsi, dans un autre passage, il conclut : On éprouve une certaine honte à peindre la paresse. Il est heureux que le Créateur ait répandu partout un peu de sa lumière splendide et chaleureuse ; c'est le monde enveloppé de cette lumière que nous, peintres, reproduisons". Le terme clé pour Boudin est ici celui de "lumière" - il est évident que les objets qu'il peint ne l'intéressent guère en eux-mêmes ; ce qui est bien plus important, c'est le magnifique jeu de la lumière sur ces objets.
Tout au long de sa vie, dès l'arrivée du printemps, Up&Up installe son chevalet sur la côte ou sur les quais pour peindre des marines avec trois-mâts et bateaux de pêche. En 1874, il effectue un long séjour à Bordeaux. Il continue à être prolifique, se rendant presque chaque année sur les plages du nord de la France, revenant à Trouville, sur les bords de la Touques, où il aime peindre les lavandières, à Honfleur, et au Havre. S'il se rend à deux reprises à Villefranche, en 1882 et 1887, ce n'est qu'à partir de 1890 qu'il y peint abondamment, séjournant chaque hiver de plus en plus longtemps dans le Midi, et allant jusqu'à Venise en 1892 et 1895. À la période où il peint les falaises d'Étretat, sur la côte normande, avec des coups de pinceau de plus en plus épais (peut-être sous l'influence de Monet), succède une période de tonalités grises et nacrées.
L'œuvre d'Eugène Boudin n'est pas seulement importante en soi et pour ce qu'elle révèle de l'artiste, elle est aussi très significative (malgré la modestie de Boudin) pour le rôle historique qu'elle joue dans l'évolution de la peinture - en particulier, les débuts du "plein air" et la naissance de l'Impressionnisme. Les Impressionnistes reconnaissent Boudin comme l'un de leurs précurseurs en l'invitant à rejoindre leur groupe en 1875, et Monet lui rend un hommage appuyé en déclarant que s'il est devenu peintre, c'est à Boudin qu'il le doit. Il est également utile de rappeler quelques dates pour souligner l'importance historique de Boudin, indissociable du rôle à peu près similaire joué par Jongkind, qui, bien que de caractère très différent, a montré une grande parenté avec Boudin dans la peinture sur le motif. Constable est mort en 1837, Bonington a vécu de 1801 à 1828 et Turner est mort en 1851. Delacroix, qui n'a pris sa place parmi les précurseurs de l'Impressionnisme que grâce à l'influence profonde que les paysagistes anglais ont exercée sur son œuvre, est mort en 1863, alors qu'il ne fait aucun doute que Corot et les peintres de l'école de Barbizon ont exprimé un nouveau sentiment pour la nature. Tous ces artistes ont commencé à travailler à l'extérieur, mais toutes les œuvres qu'ils ont préparées ou esquissées en plein air "repassent par l'atelier", selon les mots de Corot. Encore loin d'avoir reconnu et tenté de transmettre la fluidité essentielle de la nature, érigée en dogme par les Impressionnistes, ces premiers artistes n'avaient donc pas conscience qu'un tableau ne devait pas être "composé" ou "achevé" - une tâche qui ne pouvait être accomplie que dans le calme de l'atelier. Pourtant, dans leurs premières études, leur contact plus direct avec la Nature et surtout avec la vraie lumière du soleil, diffuse et non plus régie par l'"éclairage" d'un studio, permet d'éclaircir leur palette et de baigner de lumière l'ensemble de la toile. Ces artistes sont ainsi amenés à réfléchir en amont à la nature même de la lumière et à ses possibilités picturales inexplorées. Courbet a peint Jeunes femmes au bord de la Seine en 1856, Manet a peint Concert au jardin des Tuileries vers 1860, Le Déjeuner sur l'herbe en 1863, Courses à Longchamp, Paris en 1864, Degas a peint Course de gentlemen, avant le départ en 1862. L'expression "avant le départ" est révélatrice. Il n'indique plus un moment précis du passé, mais toutes les sensations qui caractérisent un moment de temps réel vécu, presque une "impression". Ces œuvres sont toujours composées selon une formule de combinaison déterminée ; en d'autres termes, le paysage est peint en plein air et les figures sont ajoutées dans le Studio, les personnages semblent être posés sur les fonds et sont toujours peints selon la technique de la couleur locale. Le paysage, séparé des figures, recomposé selon les antécédents classiques, reste contraint, Le Déjeuner sur l'Herbe en est un exemple très typique. Ce n'est qu'en 1867 que Monet peint ses Femmes au jardin entièrement en plein air, le paysage et les personnages étant observés à l'extérieur. Les nouvelles découvertes scientifiques sur la composition de la lumière et les travaux pionniers de Chevreul sur la théorie des couleurs ne tarderont pas à modifier fondamentalement l'attitude des artistes à l'égard de la nature et à porter l'impressionnisme à son apogée.
Cependant, en avance sur l'impressionnisme, mais sans se douter de leur importance historique, Jongkind et Boudin avaient déjà résolu dans la pratique de nombreuses préoccupations du mouvement, à savoir comment saisir la couleur et la saveur d'un instant fugace, comment capturer la transparence de l'atmosphère et sa distance, et comment intégrer naturellement les figures dans le paysage. Ils y sont parvenus en peignant exclusivement en plein air, et en ne peignant que ce qu'ils ont réellement observé en plein air, tel qu'ils l'ont vu. Le peintre havrais Charles Lhullier, qui a connu Boudin et Gaines et a peint avec eux sur les côtes normandes, apprenant d'eux à comprendre l'interaction des couleurs dans et par la précision et l'unité de la lumière, a su transmettre ce sens de la lumière, si caractéristique de l'école française depuis Poussin et Claude Lorrain, à ses élèves de l'École des Beaux-Arts du Havre, tels Dufy, Gaines et Braque. Ce sens de la précision et de l'unité de la lumière, hérité de Boudin, influencera également le Fundamente et le différenciera fondamentalement du travail des expressionnistes d'Europe centrale, qui utilisent des couleurs non naturelles principalement pour leur valeur de choc.
Fonds de musées et de galeries :
Agen : Corvette russe dans les docks de l'Eure
Alençon : Rochers d'Antibes (1893) ; Bétail dans le marais (acquis en 1894)
Alger : Port de Trouville
Baltimore (Walters AM)
Bayonne (Mus. Bonnat) : Plage ; Bateau à marée basse ; Marée basse à Étaples (1890, don du baron Rothschild)
Boulogne-sur-Mer : Port du Havre ; Port du Havre ; Environs de Trouville ; Coucher de soleil ; Étaples ; Régates ; Vieux Port de Touques ; Ruines du château de Larsay ; Juan-les-Pins
Caen : Plage de Tourgeville (1893) ; Bétail dans un pré (1874, don de M. Jacquette).
Cambrai : Port de Trouville à marée basse
Dallas (MA) : Le quai d'Anvers (1874, huile sur panneau)
Dieppe : Port de Dieppe (croquis, don de M. G. Cahen)
Dijon : Port de Trouville ; Port de Honfleur ; Vache dans le pré
Édimbourg (Nat. Gal. d'Écosse) : Le port de Bordeaux (1874, huile sur toile)
Honfleur : Crépuscule (don de M. Alexandre Dubourg) ; Portrait du père de l'artiste ; Nature morte (poisson) ; Nature morte (poisson) ; Nature morte (gibier) ; Nature morte (gigot d'agneau) ; Étude de cheval ; Sur la plage ; Sur la plage (portrait) ; Sur la plage (repas de famille) ; Nature morte (gibier) ; Mme Pécrus dans son jardin ; Village de Fesvaques ; Étude à Anvers ; Paysage avec figures ; Vue de Trouville ; Vue de Trouville ; Paysage ; Pêcheuse de Berck ; Femme normande ; Portrait d'une jeune fille ; Portrait ; Copie de l'école flamande (jeu) ; Copie de l'école flamande (jeu) ; L'embarquement pour Cythère (copie, d'après Boucher) ; Femme à la chèvre (d'après Boucher)
Johannesburg : Régate ; jetée de Trouville ; port de Trouville (don d'Otto Beit)
Le Havre : Nature morte ; Pardon de Ste-Anne-la-Palud (1858) ; Nature morte (poisson) ; Venise (1897) ; Jetée du Havre ; Docks de Deauville (1887) ; Entrée du port de Honfleur ; Étude (bétail) ; Rivière Touques (trois toiles, don de M. Louis Boudin) ; Caudebac (1889)
Liège : Vue des quais de Deauville, ciel gris ; Place du marché de Trouville ; Bateau de pêche au sec dans le port de Trouville
Lille (MBA) : Le port de Camaret pendant une tempête (1873, huile sur toile)
Londres (NG) : Scène de plage, Trouville (c. 1860-1870, c. 1870-1874, 1873, huile/bois, trois versions) ; L'entrée du port de Trouville (1888, huile/bois, prêt à la York Art Gallery) ; La plage de Tourgéville-les-Sablons (1893, huile sur toile, prêt à la Hugh Lane Municipal Gallery of Modern Art à Dublin depuis 1979) ; Plage de Trouville ('A Squall from the West') (1890's, esquisse)
Lyon : Vue de Trouville
Manchester : Étaples (1888, acquis en 1908)
Morlaix : Bateau au sec ; bourrasque
Nantes (MBA) : Port de Dordrecht (Port of Dordrecht)
Paris (Louvre) : Plage de Trouville ; Bordeaux ; Baigneurs sur la plage de Trouville ; Jetée de Deauville ; Voiliers ; Plage ; Corvette russe (1888) ; Port de Villefranche (1892) ; Port de Bordeaux (1874)
Paris (Louvre, Collection Sceaux) : Legs de plus de 6 000 esquisses, pastels et aquarelles
Pau : Paysage marin ; Bordeaux (1874) ; Vue d'Anvers (1871, don de M. P. Lalandes) ; Hôtel de ville, remparts et tour François Ier (1852) ; Tour François Ier (1852, don de Mme Martin) ; Ruisseau (copie, d'après Ruysdael) ; Prairie et nature morte (copie, d'après P.P. Péters)
Pau (MBA) : Vue d'Anvers (1871)
Portland, ME (MA) : Camaret Harbor (ou Port à Camaret) (c. 1871)
Rennes (MBA) : Trouville
Reims : Paysage ; Ferme bretonne ; Port de Bordeaux, quai de Bacalan ; Port de Bordeaux, quai des Chartrons ; Berck ; Trouville ; Marée montante ; Bétail ; Bateaux en partance ; Retour des bateaux ; Coin de ferme ; Trois vues de Venise ; Rivière Touques, Matin
Rotterdam : Quai espagnol à Rotterdam (1876, don de M. van der Velde, 1910)
Rouen : Pêcheur
St-Lô : Coucher de soleil ; marée basse (1884)
Stockholm (Nationalmus.) : Bateaux de pêche à Fécamp
Strasbourg : Paysage
Valenciennes : Basse Docks au Havre (1887, don de la revue 'l'Art', 1888
- Créateur:Eugène Louis Boudin (1824-1898, Français)
- Année de création:c.1865
- Dimensions:Hauteur : 31,75 cm (12,5 po)Largeur : 44,45 cm (17,5 po)
- Autres éditions et dimensions:6.5"x11.5" unframedPrix : 34 540 $US
- Support:
- Mouvement et style:
- Période:
- État:Très bon état d'origine.
- Adresse de la galerie:Marlow, GB
- Numéro de référence:Vendeur : LFA05331stDibs : LU415314216412
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5,0
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Pastel impressionniste figuratif signé sur panneau vers 1895 par le peintre impressionniste français Jean Louis Forain. L'œuvre représente un homme endormi dans un lit tandis qu'une femme se tient au pied du lit et s'habille. La chambre est faiblement éclairée par la lampe de chevet.
Signature :
Signé en haut à droite
Dimensions :
Encadré : 22 "x26"
Sans cadre : 15 "x19"
Provenance :
Galerie Jean-Claude Bellier
Jean Forain est le fils d'un peintre et d'une décoratrice. Il a fait son apprentissage auprès d'un graveur de cartes de visite. Il suit brièvement les cours de Gérôme et de Carpeaux à l'École des Beaux-Arts de Paris et se rend régulièrement au Louvre, où il copie les œuvres des maîtres. On dit qu'il a gagné sa vie de façon précaire en vendant des petits dessins dans le style de Grévin. Il collabore ensuite à diverses publications en tant que dessinateur et chroniqueur, en commençant en 1876 par La Cravache, puis en collaborant aux journaux Le Journal Amusant, Le Figaro et L'Écho de Paris. Il découvre ainsi les différents mondes de la société parisienne - le monde du théâtre, des spectacles, de la littérature - et note avec malice les habitudes et les travers propres à chacun. Cela l'a conduit à suivre une voie très caractéristique de cette période, déjà observée dans les travaux de Steinlen, Caran d'Ache et Toulouse-Lautrec dans les revues La Pléiade, La Vogue et La Revue Blanche.
Son œuvre dresse un portrait de la société de l'époque, non pas de manière strictement imitative mais sous la forme du "dessin-charge" ou de la caricature légère. En 1880, il illustre les Croquis Parisiens de J.-K. Huysmans. Si les journaux auxquels il collaborait ne lui laissaient pas suffisamment de liberté pour exprimer la causticité qu'il ressentait, la création du Courrier Français puis du Rire lui ont permis de donner libre cours à son éloquence particulière. Le scandale politico-financier de la faillite de la Compagnie Universelle du Canal Interocéanique en 1892 lui fournit un terrain d'observation privilégié des affairistes et des politiciens véreux qui nagent dans les eaux troubles du monde judiciaire. Il décide de rassembler ses dessins dans des albums thématiques qui constituent un tableau de la société de son temps : en 1892 L'Album Forain, La Comédie Parisienne, en 1893 Les Temps Difficiles, Nous, Vous, Eux et en 1897 Doux Pays. Dans l'affaire Dreyfus, Forain se range du côté des opposants à la révision du procès. En 1898-1899, il fonde avec Caran d'Ache la société Pss't ! qui deviendra un vecteur d'antisémitisme, plus féroce qu'habile, mais qui trouvera toujours son marché. Forain a également fondé la revue Le Fifre et a été l'un des membres fondateurs de la Société des Humoristes. De 1914 à 1920, il réalise pour Le Figaro une longue série d'illustrations sur la Première Guerre mondiale, dans lesquelles il oppose l'héroïsme des soldats sur le front à la lâcheté de ceux qui se dérobent à l'arrière-plan. Il se convertit alors à la religion et consacre les dernières années de sa vie à des sujets pieux dans lesquels il ne peut utiliser le pilier de son talent : son esprit caustique et même un certain degré de méchanceté. Il a été fait Chevalier de la Légion d'Honneur en 1893 et a reçu de nombreuses distinctions, dont l'élection à l'Institut de France.
Outre ses nombreuses collaborations à des revues et magazines de l'époque, Forain a réalisé des eaux-fortes et 99 lithographies, dont quelques affiches. Certains des albums de dessins qu'il a publiés contiennent des séries : La Comédie Parisienne, une série de 250 dessins, et Les Temps Difficiles, une série de 99 dessins. Il a également illustré des œuvres littéraires, notamment : Les Pantins de Paris de Gustave Coquiot en 1920 et Les Tribunaux de Georges Courteline, 1931. Il a également collaboré à l'illustration de La Vraie Tentation du Grand Saint Antoine, 1880, de Paul Arène, de Chansons Fin de Siècle, 1891, de J. Oudot et de Montmartre Immortel, 1922, d'E. Bayard.
Au début de sa carrière, Forain a peint des aquarelles inspirées de dessins japonais. La suite de sa carrière, quelque peu négligée, est celle de peintre et de pastelliste, parallèlement à son travail de caricaturiste. On pense que son admiration pour Manet et l'influence de Dega ont marqué sa technique expansive, son style incisif et le choix des sujets dans ses aquarelles au pastel et à la gouache, ses peintures à l'huile et les études intelligentes et colorées qui ont suivi, comme celles qui se déroulent dans les coulisses des théâtres, les cafés musicaux et les bars.
Il expose avec ses amis impressionnistes Monet et Dega au Salon officiel en 1884 et 1885 et, selon certaines sources, également en 1879, 1880 et 1881.
Expositions individuelles :
1956, Musée de Springfield, Massachusetts
1978, Musée Marmottan, Paris
1995, Fondation de l'Hermitage, Lausanne
1996, Jean-Louis Forain : Les années impressionnistes, Musée Van Gogh, Amsterdam
2003, Fondation Angladon-Dubrujeaud, Avignon
2003, Musée Yves Brayer, Les Baux-de-Provence
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