Coucher de Soleil - Pastel impressionniste, coucher de soleil au-dessus d'un paysage fluvial - Eugene Boudin

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Eugène Louis Boudin
Coucher de Soleil - Pastel impressionniste, coucher de soleil au-dessus d'un paysage fluvial - Eugene Boudin
c.1865

Name: Coucher de Soleil - Pastel impressionniste, coucher de soleil au-dessus d'un paysage fluvial - Eugene Boudin
Brand: Eugène Louis Boudin
Rating: 5 (151 reviews)

À propos de cet article

Un merveilleux pastel sur papier vers 1865 par l'artiste impressionniste français Eugène Boudin. L'œuvre représente une vue de la ligne d'horizon de Paris, en France. Le bleu de l'eau de la Seine est au premier plan et le soleil se couche en dégradé de jaune sur la ville. Avec nos remerciements à Patrice Jeannelle-Mühl pour avoir confirmé l'authenticité de cette œuvre. Un certificat d'authenticité de M. Jeanelle-Muhl accompagne cette œuvre. Signature : Signé en bas à droite Dimensions : Encadré : 16 "x20" Non encadré : 7 "x10.5". Provenance : Galerie Paul Prouté - Paris Ader Nordmann - Paris Fils de marin, Eugène Boudin a d'abord envisagé de devenir pilote de marine. Cependant, un an après l'installation de sa famille au Havre, en 1835, il entre comme apprenti dans une imprimerie/édition, puis dans une papeterie, où il reste jusqu'à 18 ans avant de s'installer dans la même entreprise. Passionné de dessin et de peinture, il reçoit les encouragements et les conseils des peintres Millet, Isabey, Couture, Troyon et Masurier, dont il expose les tableaux dans ses vitrines. En 1846, il quitte sa boutique pour se consacrer pleinement à l'art. Plusieurs changements de fortune s'ensuivent. D'abord, en 1847, il s'installe à Paris, où il passe de nombreuses heures au Louvre. Ensuite, le désir d'échapper aux bouleversements de la Révolution de 1848 l'oblige à voyager dans le nord de la France et en Belgique, ce qui lui donne l'occasion d'étudier les vieux maîtres flamands. En 1851, le conseil municipal du Havre lui accorde une bourse de trois ans, qu'il passe à Paris et, surtout, à Honfleur. S'ensuivent de nombreuses années d'efforts patients, d'application et de travail acharné, documentés par de nombreux croquis et dessins décrivant consciencieusement ses voyages et ses réflexions. Dès le départ, l'œuvre de Boudin est marquée par son désir de peindre la scène réelle qu'il a sous les yeux, et non d'imposer des éléments imaginatifs ; ainsi, il tente de traduire directement au pastel, à l'aquarelle ou à l'huile le spectacle toujours changeant des ciels et des nuages qui se précipitent sur la mer. En 1855, il effectue son premier voyage en Bretagne, dans le Finistère, où il reviendra souvent au cours de sa vie. Parmi les sujets qu'il y a traités figurent les marchés intérieurs et extérieurs, les fêtes, les gens sortant de la messe et les pardons bretons ou les fêtes religieuses, ainsi que les côtes sauvages et rocheuses, caractérisées par des teintes beaucoup plus sombres et des ciels plus menaçants que le littoral de sa Normandie natale. En 1858, il fait la connaissance de Claude Monet, qui séjourne au Havre. Boudin a donné à Monet le goût de la peinture en plein air, et a continué à être associé à lui pour le reste de sa vie. En 1859, il rencontre Courbet et Baudelaire, ce dernier étant le premier à reconnaître son talent, au Salon de 1859. Vers 1860, Boudin décide de s'installer définitivement à Paris. Il travaille pour Troyon, préparant les ciels de ses compositions, et fait la connaissance de Corot, Daubigny et plus tard Jongkind, qu'il admire particulièrement. Pendant la guerre franco-prussienne de 1870-1871, il se réfugie en Belgique, où il réalise de nombreux tableaux de qualité, notamment à Anvers en 1871 et 1872. A son retour à Trouville en septembre 1871, ses œuvres se vendent facilement. Il a travaillé jusqu'à l'épuisement de ses forces, peignant son dernier tableau à Beaulieu en 1898. En mai, il est ramené à Paris, puis à Deauville, où il meurt en mer le 8 août 1898. Boudin expose pour la première fois à Paris en 1857, au Concert Musard, à l'âge de 35 ans, Alexandre Dumas achetant deux œuvres. En 1859, il fait ses débuts au Salon, où il exposera régulièrement jusqu'en 1897. En 1874, il participe avec Nadar à la première exposition impressionniste de Paris, et sa réputation est dès lors solidement établie. À partir de 1881, le marchand d'art Durand-Ruel achète la majorité de ses œuvres et organise régulièrement des expositions. Outre les tableaux que Boudin a envoyés aux Salons, ses œuvres ont figuré dans de nombreuses autres expositions, dont seules celles organisées par Durand-Ruel sont citées ici - 1883 : 150 tableaux ; 1889 : 89 tableaux ; 1891 : 33 peintures, 35 pastels, 190 dessins ; 1898 (à New York) : 49 peintures ; 1903 (New York) : 39 peintures ; 1923 : 66 peintures ; 1927 : 44 peintures ; 1929 (New York) : 33 peintures ; 1933 (New York) : 30 peintures ; 1936 : 20 tableaux. Après sa mort, une exposition rétrospective de ses œuvres est organisée à l'École des Beaux-Arts de Paris en 1899, qui comprend 364 peintures, 73 pastels et 20 aquarelles. Après presque un siècle sans exposition rétrospective de son œuvre, la ville de Honfleur lui a rendu un grand hommage en 1992. Boudin n'avait pas vu beaucoup de reconnaissances de ce genre au cours de sa vie. En 1881, il obtient, pour la première fois, une médaille de troisième classe au Salon, puis une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889. Il est finalement fait Chevalier de la Légion d'Honneur en octobre 1892. À partir de 1862, et sur les conseils d'Isabey, qui avait été le précepteur de Boudin (mais d'autres sources affirment que c'est à l'instigation de Baudelaire), il peint des femmes élégantes sur les plages à la mode, notamment à Trouville, que l'on peut rejoindre en train. Ces foules hétéroclites sont souvent représentées par des touches de couleur qui, partant de formes vagues, peuvent évoluer vers la forme claire de la dame à la mode du Second Empire ou du dandy. En ce qui concerne ses modèles de la "haute société", contrairement aux préoccupations sociales de Millet ou aux préoccupations politiques de Courbet, il est intrigant de lire l'opinion contemporaine de Boudin sur le rôle de l'artiste dans la société. En 1861, il écrit à un ami : "Les paysans ont leurs peintres. C'est bien. Mais, entre vous et moi, ces bourgeois qui se promènent sur la jetée vers le coucher du soleil, n'ont-ils pas aussi le droit d'être capturés sur la toile, d'être conduits vers la lumière ? Entre nous, ils travaillent souvent très dur, ces gens qui sortent de leur bureau et de leurs études. Si parmi eux il y a quelques parasites, n'y a-t-il pas aussi des gens qui font correctement leur travail ?" Il est évident que la question le dérange. Même s'il ne la formule qu'en termes de droit de certaines personnes à servir de modèles à l'artiste, cette question révèle une préoccupation plus profonde quant à la place de l'art et de l'artiste dans la société bourgeoise, qui tend à rejeter les artistes en tant qu'innovateurs, et donc implicitement en tant que révolutionnaires. Comme de nombreux artistes des XIXe et XXe siècles, Boudin résout la question en séparant l'esthétique de la morale. Il ne tient plus compte du statut social de ses modèles, mais se concentre uniquement sur leur apparence extérieure. Ainsi, dans un autre passage, il conclut : "On éprouve une certaine honte à peindre la paresse oisive. Il est heureux que le Créateur ait répandu partout un peu de sa lumière splendide et chaleureuse ; c'est le monde enveloppé de cette lumière que nous, peintres, reproduisons". Le terme clé pour Boudin est " lumière " : il est évident que les objets qu'il peint n'ont que peu d'intérêt pour lui en eux-mêmes ; ce qui est bien plus important, c'est le magnifique jeu de lumière sur ces objets. Tout au long de sa vie, dès que le printemps arrive, on retrouve Boudin posant son chevalet sur la côte ou sur les quais, peignant des paysages marins avec des trois-mâts et des bateaux de pêche. En 1874, il fait un long séjour à Bordeaux. Il continue à être prolifique, voyageant presque chaque année sur les plages du nord de la France, retournant à Trouville, sur les rives de la Touques, où il aime peindre les lavandières, à Honfleur et au Havre. S'il se rend à deux reprises à Villefranche, en 1882 et 1887, ce n'est qu'en 1890 qu'il y peint abondamment, séjournant dans le Midi chaque hiver pour des périodes de plus en plus longues, et allant jusqu'à Venise en 1892 et 1895. La période pendant laquelle il peint les falaises d'Étretat sur la côte normande avec des coups de pinceau de plus en plus épais (peut-être sous l'influence de Monet), est suivie d'une période de tonalités grises et nacrées. L'œuvre d'Eugène Boudin n'est pas seulement importante en soi et pour ce qu'elle révèle de l'artiste, elle est aussi très significative (malgré la modestie de Boudin lui-même) pour le rôle historique qu'elle joue dans l'évolution de la peinture - en particulier, les débuts du "plein air" et la naissance de l'impressionnisme. Les impressionnistes reconnurent Boudin comme l'un de leurs précurseurs en l'invitant à rejoindre leur groupe en 1875, et Monet ne lui rendit pas un mince hommage en déclarant que s'il était devenu peintre, il le devait à Boudin. Il est également utile de rappeler quelques dates pour mettre en évidence l'importance historique de Boudin, qui est indissociable du rôle à peu près similaire joué par Jongkind, qui, bien que de caractère très différent, a montré une grande parenté avec Boudin dans la peinture sur le motif. Constable est mort en 1837, la courte vie de Bonington s'étend de 1801 à 1828 et Turner est mort en 1851. Delacroix, qui n'a pris place parmi les précurseurs de l'impressionnisme qu'en raison de la profonde influence que les paysagistes anglais ont exercée sur son œuvre, est mort en 1863, tandis qu'il ne fait aucun doute que Corot et les peintres de l'école de Barbizon ont exprimé un nouveau sentiment pour la nature. Tous ces artistes ont commencé à travailler à l'extérieur, mais toutes les œuvres qu'ils ont préparées ou esquissées en plein air "repassent par l'atelier", selon les mots de Corot. Encore loin de reconnaître et d'essayer de transmettre la fluidité essentielle de la nature, que les impressionnistes ont érigée en dogme, ces premiers artistes n'avaient donc aucune idée qu'un tableau ne devait pas être "composé" ou "fini" - une tâche qui ne pouvait être accomplie que dans le calme de l'atelier. Pourtant, dans leurs premières études, leur contact plus direct avec la nature et surtout avec la vraie lumière du soleil, diffuse et non plus régie par l'"éclairage" d'un studio, permet d'alléger leur palette et de baigner toute la toile de lumière. Ces artistes sont ainsi amenés à réfléchir par avance à la nature même de la lumière et à ses possibilités picturales inexplorées. Courbet a peint Jeunes femmes sur les bords de la Seine en 1856, Manet a peint Concert dans le jardin des Tuileries vers 1860, Le Pique-nique ( Le Déjeuner sur l'Herbe) en 1863, Courses à Longchamp, Paris en 1864, Degas a peint Course de gentlemen, avant le départ en 1862. L'expression "avant le départ" est révélatrice. Il ne désigne plus un moment précis du passé, mais l'ensemble des sensations qui caractérisent un moment de temps réel vécu, presque une "impression". Ces œuvres sont encore composées selon une formule fixe de combinaison ; en d'autres termes, le paysage est peint en plein air et les figures sont ajoutées en atelier, les personnages semblent posés sur les fonds et sont encore peints selon la technique de la couleur locale. Le paysage, séparé des figures, recomposé selon des antécédents classiques, reste contraint, Le Déjeuner sur l'Herbe en est un exemple très typique. Ce n'est qu'en 1867 que Monet peint ses Femmes au jardin entièrement en plein air, avec le paysage et les personnages observés à l'extérieur. Il ne faudra pas longtemps avant que les nouvelles découvertes scientifiques sur la composition de la lumière et les travaux pionniers de Chevreul sur la théorie des couleurs ne changent fondamentalement l'attitude des artistes vis-à-vis de la nature et ne portent l'impressionnisme à son apogée. Cependant, en avance sur l'impressionnisme, mais sans se douter de leur importance historique, Jongkind et Boudin avaient déjà résolu dans la pratique bon nombre des préoccupations constantes du mouvement - à savoir, comment saisir la couleur et la saveur d'un instant fugitif, comment capturer la transparence de l'atmosphère et sa distance, et comment intégrer naturellement les figures dans le paysage. Ils y sont parvenus simplement en peignant exclusivement à l'extérieur, et en ne peignant que ce qu'ils ont réellement observé à l'extérieur, tel qu'ils l'ont vu. Le peintre havrais Charles Lhullier, qui a connu Boudin et Jongkind et a peint avec eux sur les côtes normandes, acquérant auprès d'eux une compréhension de l'interaction des couleurs dans et par la précision et l'unité de la lumière, a pu transmettre ce sens de la lumière, si typique de l'École française depuis Poussin et Claude Lorraine, à ses élèves de l'École des Beaux-Arts du Havre, des élèves comme Dufy, Friesz et Braque. Ce sens de la précision et de l'unité de la lumière, hérité de Boudin, influencera également le fauvisme et le différenciera fondamentalement des œuvres des expressionnistes d'Europe centrale, qui utilisaient des couleurs artificielles principalement pour leur valeur de choc. Fonds de musées et de galeries : Agen : Corvette russe dans les docks de l'Eure Alençon : Roches d'Antibes (1893) ; Bétail dans le marais (acquis en 1894) Alger : Port de Trouville Baltimore (Walters AM) Bayonne (Mus. Bonnat) : Plage ; bateau à marée basse ; marée basse à Étaples (1890, don du Baron Rothschild) Boulogne-sur-Mer : Port du Havre ; Port du Havre ; Environs de Trouville ; Coucher de soleil ; Étaples ; Régates ; Vieux port de Touques ; Ruines du château de Larsay ; Juan-les-Pins Caen : Plage de Tourgeville (1893) ; Bétail dans un pré (1874, don de M. Jacquette) Cambrai : Le port de Trouville à marée basse Dallas (MA) : Le quai d'Anvers (1874, huile sur panneau) Dieppe : Port de Dieppe (croquis, don de M. G. Cahen) Dijon : Port de Trouville ; Port de Honfleur ; Vache dans le pré Édimbourg (Nat. Gal. d'Ecosse) : Le port de Bordeaux (1874, huile sur toile) Honfleur : Crépuscule (don de M. Alexandre Dubourg) ; Portrait du père de l'artiste ; Nature morte (poisson) ; Nature morte (poisson) ; Nature morte (gibier) ; Nature morte (gigot) ; Étude de cheval ; Sur la plage ; Sur la plage (portrait) ; Sur la plage (repas de famille) ; Nature morte (gibier) ; Mme Pécrus dans son jardin ; Village de Fesvaques ; Étude à Anvers ; Paysage avec figures ; Vue de Trouville ; Vue de Trouville ; Paysage ; Pêcheuse de Berck ; Femme de Normandie ; Portrait d'une jeune fille ; Portrait ; Copie de l'école flamande (Jeu) ; Copie de l'école flamande (Jeu) ; L'embarquement pour Cythère (copie, d'après Boucher) ; Femme avec chèvre (d'après Boucher) Johannesburg : Régate ; Jetée à Trouville ; Port de Trouville (don d'Otto Beit) Le Havre : Nature morte ; Pardon de Ste-Anne-la-Palud (1858) ; Nature morte (Poisson) ; Venise (1897) ; Jetée du Havre ; Docks de Deauville (1887) ; Entrée du port de Honfleur ; Etude (Bétail) ; Rivière Touques (trois toiles, don de M. Louis Boudin) ; Caudebac (1889) Liège : Vue des docks de Deauville, ciel gris ; Place du marché de Trouville ; Bateau de pêche au sec au port de Trouville Lille (MBA) : Le port de Camaret pendant une tempête (1873, huile sur toile) Londres (NG) : Scène de plage, Trouville (vers 1860-1870, vers 1870-1874, 1873, huile/bois, trois versions) ; L'entrée du port de Trouville (1888, huile/bois, en prêt à la York Art Gallery) ; La plage de Tourgéville-les-Sablons (1893, huile sur toile, en prêt à la Hugh Lane Municipal Gallery of Modern Art de Dublin depuis 1979) ; Plage de Trouville ('A Squall from the West') (années 1890, esquisse) Lyon : Vue de Trouville Manchester : Étaples (1888, acquis en 1908) Morlaix : Bateau couché à sec ; grain Nantes (MBA) : Port de Dordrecht (Port de Dordrecht) Paris (Louvre) : Plage de Trouville ; Bordeaux ; Baigneurs sur la plage de Trouville ; Jetée de Deauville ; Voiliers ; Plage ; Corvette russe (1888) ; Port de Villefranche (1892) ; Port de Bordeaux (1874) Paris (Louvre, Cabinet des estampes) : Legs de plus de 6 000 esquisses, pastels et aquarelles Pau : Paysage marin ; Bordeaux (1874) ; Vue d'Anvers (1871, don de M. P. Lalandes) ; Hôtel de ville, remparts et tour François Ier (1852) ; Tour François Ier (1852, don de Mme Martin) ; Ruisseau (copie, d'après Ruysdael) ; Prairie et nature morte (copie, d'après P. Petter) Pau (MBA) : Vue d'Anvers (1871) Portland, ME (MA) : Port de Camaret (ou Port at Camaret) (c. 1871) Rennes (MBA) : Trouville Reims : Paysage ; Ferme bretonne ; Port de Bordeaux, quai Bacalan ; Port de Bordeaux, quai des Chartrons ; Berck ; Trouville ; Marée montante ; Bétail ; Départ des bateaux ; Retour des bateaux ; Coin d'une ferme ; Trois vues de Venise ; Rivière Touques, Matin Rotterdam : Quai espagnol à Rotterdam (1876, don de M. van der Velde, 1910) Rouen : Pêcheur St-Lô : Coucher de soleil ; marée basse (1884) Stockholm (Nationalmus.) : Bateaux de pêche à Fécamp Strasbourg : Paysage Valenciennes : Bassins du Havre (1887, don du journal 'l'Art', 1888)

Créateur:
Eugène Louis Boudin (1824-1898, Français)
Année de création:
c.1865
Dimensions:
Hauteur : 40,64 cm (16 po)Largeur : 50,8 cm (20 po)
Support:
Papier,Pastel
Mouvement et style:
Impressionnisme
Période:
1860-1869
État:
Très bien - quelques légères taches de poussière sur le papier en bas à droite qui peuvent être enlevées.
Adresse de la galerie:
Marlow, GB
Numéro de référence:
Vendeur : LFA07501stDibs : LU41533666031

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Jean Baptiste-Armand Guillaumin
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Achille Laugé
Belveze du Razes - Huile pointilliste néo-impressionniste, paysage d'Achille Lauge, 1909

Eugène Louis Boudin
Sur la plage de Deauville - Aquarelle figurative impressionniste d'Eugène Boudin, c.1865

Hugues Claude Pissarro
Clecy - Le Viaduc - Paysage fluvial post-impressionniste de Hugues Claude Pissarro, c.1970

Hugues Claude Pissarro
Pastel de paysage post-impressionniste de Hugues Claude Pissarro, c.1990

Dina Gardner
« Only A River's » (Gonna Make Things Right) - Peinture de paysage originale signée, 2020

Eduards Metuzals
Route d'automne. papier, pastel, 25x33 cm

Rosie Phipps
Fields verts, Rosie. Phipps, peinture de paysage originale, œuvre d'art abordable, 2021

Laris Strunke
Dans le Yard 1950. Pastel sur papier, 65 x 49,5 cm, 1950

Dina Gardner
Sweet Seasons, peinture impressionniste originale signée de paysage au pastel, 2020

Dina Gardner
True North, peinture de paysage impressionniste contemporaine originale encadrée au pastel, 2020