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Tal-Coat, Composition, Derrière le miroir (after)1959
1959
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Lithographie sur papier vélin. Inscription : Non signé et non numéroté, tel que publié. Bon état, avec pli central, tel qu'il a été publié. Notes : Extrait de Derrière le miroir, N° 114, 1959. Publié par Aimé Maeght, Éditeur, Paris ; imprimé par les Éditions Pierre à Feu, Galerie Maeght, Paris. Extrait d'un essai de lot de Christie's, New York, La durée de vie de Derrière le Miroir a été de trente-cinq ans. La publication a commencé en 1946. Aimé Maeght, initiateur de Derrière le Miroir, avait déjà fait quelques tentatives pour lancer des publications illustrées de belles lithographies imprimées en couleurs dans les années précédant le lancement de Derrière le Miroir. Le nom Derrière le Miroir a été suggéré par Jacques Kober, directeur de la Galerie Maeght. La galerie avait ouvert en 1945 ; le premier numéro de Derrière le Miroir est sorti un an plus tard. Pour ce premier numéro, Geer van Velde a été invité à créer des lithographies pour illustrer la publication. Les lithographies du premier numéro ont été imprimées par Mourlot, Paris. Les trois premières éditions de Derrière le Miroir ont été un échec pour Maeght en ce qui concerne la taille de l'édition - les tirages initiaux étaient beaucoup trop importants. De 30 000 pour la première édition, le nombre a été ramené à 10 000 pour les numéros deux et trois, jusqu'à ce que Derrière le Miroir numéro quatre soit publié avec un tirage de 1500 exemplaires. Maeght a institué une politique selon laquelle les numéros invendus étaient recyclés et utilisés pour la fabrication de nouveau papier pour les éditions suivantes - ce qui a permis à la fois de préserver les ressources et de faire en sorte que les éditions finales soient bien inférieures à 1 500 exemplaires. Avec le numéro quatre, le format permanent de Derrière le Miroir est établi. Les lithographies en couleurs sont essentielles, les textes se limitent à des commentaires sur l'exposition de l'artiste présenté à la Galerie Maeght, et ce format de catalogue est caractéristique de Derrière le Miroir. La Galerie Maeght a assumé le rôle de leader à Paris et a présenté tous les principaux artistes, notamment Braque, Matisse, Chagall, Léger, Bonnard, Chillida et bien d'autres. Il en va de même pour Derrière le Miroir. Entre-temps, l'idée d'un magazine est restée dans l'esprit d'Aimé Maeght. Il a trouvé un insert comme solution. A partir de 1952, deux, puis quatre pages de critique d'art ont été insérées. En 1968, cette découverte a mûri jusqu'à l'indépendance et le rêve d'Aimé Maeght est désormais un fait tangible nommé L'Art vivant. Derrière le Miroir a retrouvé sa place. Plus de 250 numéros d'affilée. L'éditeur Aimé Maeght souhaitait alors marquer le coup en publiant un hommage à tous ceux qui ont contribué à la revue, sous la forme du numéro 250, mais le décès d'Aimé Maeght l'a retardé. Publié après le numéro 253 en 1982, il devient un hommage à Aimé et Marguérite Maeght et à 35 ans d'amitié avec des artistes et des poètes. L'ère de Derrière le Miroir s'est achevée avec cette dernière publication.
PIERRE TAL-COAT (1905-1985) était un artiste français et l'un des fondateurs du Tachisme. Avec les artistes de la nouvelle école de Paris, la Galerie de France (de 1943 à 1965), la Galerie Maeght (de 1954 à 1974), Benador (de 1970 à 1980), la galerie HM, la galerie Clivage et la galerie Berthet-Aittouarès exposent régulièrement ses toiles. En 1956, six de ses peintures ont été exposées à la Biennale de Venise avec celles de Jacques Villon et de Bernard Buffet. En 1963, il collabore avec Joan Miró et Ubac à la création de la fondation Maeght. Il a conçu une mosaïque murale pour l'entrée en 1968 et a reçu le Grand Prix National des Arts. Une grande exposition rétrospective consacrée à son œuvre, s'est tenue au Grand Palais à Paris en 1976.
- Année de création:1959
- Dimensions:Hauteur : 38,1 cm (15 po)Largeur : 55,88 cm (22 po)
- Support:
- Mouvement et style:
- Après:Pierre Tal-Coat (1905 - 1985, Français)
- Période:
- État:
- Adresse de la galerie:Auburn Hills, MI
- Numéro de référence:1stDibs : LU1465215145132
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Maurice Élie Sarthou (français, 1911-1999) "Composition" Edition 209/220, Lithographie abstraite signée et numérotée au crayon, 18.50 x 24.63, Fin du 20ème siècle, vers les années 1960
Couleurs : Vert, noir, jaune, violet, orange
Sarthou est né à Bayonne le 15 janvier 1911 ; orphelin à la mort de son père pendant la Première Guerre mondiale, il est élevé par sa mère et son grand-père à Montpellier. Après le lycée, en 1927, il obtient l'autorisation d'entrer aux Beaux-Arts de la ville à condition de préparer l'architecture. Après un an, il persuade sa famille de le laisser étudier à l'atelier de peinture. Il suit d'abord une formation à l'école des Beaux-Arts de Montpellier ; puis en 1930, boursier de la ville de Montpellier comme pupille de la nation, il entre aux Beaux-Arts de Paris.
En 1934, naissance de Francine, sa fille. Pour gagner sa vie, il se présente à la faculté de dessin. Il est nommé à Bastia, puis en 1937 à Bordeaux.
En 1939, 1940 et 1941, il fait la guerre dans les transmissions.
En 1943, il devient membre de la Société des Artistes Indépendants Bordelais, qui organise régulièrement des expositions d'artistes parisiens (Bissière, Lhote, Walch, etc.) ; cela a une influence positive sur lui ; l'émulation artistique lui permet d'affirmer son style encore plus intensément.
En 1948, il rencontre l'écrivain Raymond Guérin qui lui présente Maurice Toesca, Marcel Arland et, plus tard, Jean Paulhan. En 1950, il illustre le livre de Raymond Guérin "Fragment testamentaire".
En 1949, il est choisi par Jacques Lassaigne, venu à Bordeaux pour présider la sélection régionale du Prix de la Jeune Peinture. Il remporte le prix Drouant, la première mention du prix (quatrième prix sur plus de 90 concurrents, dont Lagrange, Lapoujade, Rebeyrolle, également mentionnés). Dans le jury, Gaston Diehl le remarque et l'invite au Salon de Mai dont il est le fondateur. C'est la première manifestation de Sarthou auprès du public parisien avec deux tableaux : "Nature morte" et "Fenêtre ouverte". Il participera à ce spectacle jusqu'en 1963.
Il s'installe à Paris en 1950, où il est nommé professeur de dessin au Lycée Henri IV, ce qui lui permet d'exposer dans les salons de la capitale et d'être plus reconnu.
A partir de 1950, autour de Jean Paulhan, se retrouvent aux arènes de Lutèce, le dimanche matin, pour jouer aux boules : Maurice Toesca, Jérôme Lindon, Yves Berger, Claude Simon, André Bay, Marcel Jouhandeau, Sarthou..., moments passionnants pour le peintre immergé dans le milieu littéraire parisien.
François Desnoyer, qu'il rencontre en 1951 au Salon de Mai, lui présente le marchand parisien Marcel Guiot. Entre le marchand et l'artiste s'établit une longue relation d'amitié ; à partir de 1955, Sarthou expose régulièrement ses nouvelles œuvres dans la galerie de Marcel Guiot à laquelle il restera fidèle.
Au fil du temps, de nombreux musées en France et à l'étranger, ainsi que d'autres institutions (Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Maisons de la Culture, etc.) lui ont consacré des expositions rétrospectives.
Il participe également à de nombreuses expositions : Salon de mai de 1949 à 1963 ; Salon d'automne de 1951 à 1987 ; Salon comparatif de 1957 à 1988 ; Peintres témoins de leur temps de 1955 à 1960 ; Le groupe des 109 de 1983 à 1989 ; Les Grands Prix de la Biennale de Menton de 1955 à 1970 ; La Biennale des Yvelines de 1974 à 1987 ; etc.
Enfin, il présente ses œuvres dans de nombreuses expositions collectives.
En 1952, après son arrivée à Paris, il abandonne la côte basque et le bassin d'Arcachon au profit du Languedoc et de la Provence. Il s'installe à Sète où il retrouve la lumière du Sud : il aborde les thèmes des pins du Mistral, des taureaux de Camargue, des rochers des Baux, des villages de pêcheurs sur l'étang et, plus tard, des incendies.
En 1953, il obtient le deuxième prix Bührle ; un an plus tard, le deuxième prix de la Coupole, décerné par un jury composé uniquement de peintres : Jacques Villon, Desnoyer, A.Lhote, Pignon, Singier, Chastel, etc. Puis, en 1955, le prix de la Critique et, en 1957, le Premier Prix de la Ville de Menton à la Biennale ; ensuite, en 1980, le Premier Grand Prix de la 7ème Biennale Internationale de Mérignac et, en 1985, le Grand Prix de l'Orangerie du Château de Versailles.
En 1956, il réalise le portrait d'André Chamson pour "Les peintres témoins de leur temps".
En 1958, il quitte l'enseignement du dessin pour se consacrer à sa peinture.
En 1961, Jean-Albert Cartier organise une exposition "Dix peintres français autour de Jacques Villon" au Palais de la Méditerranée à Nice ; à cette occasion, Jean Paulhan écrit pour Sarthou une très belle préface. Cette exposition deviendra ensuite itinérante, notamment au Musée des Beaux-Arts de Nancy, de Tours et du Luxembourg.
En 1962, l'éditeur Jacques Vialetay lui demande d'illustrer "Lou Biou" Baroncelli. Il a exécuté deux vitraux pour l'église de Bouchevilliers à Reims, dans l'atelier du maître verrier Simon, dont l'un, dans l'abside, est voisin d'un vitrail de Jacques Villon.
En 1964, réuni par un idéal commun en Camargue, il sympathise avec le photographe Lucien Clergue, rencontré à Arles. Les deux couples, Lucien et sa femme Yolande, Sarthou et Dora, resteront très amis jusqu'à la mort de Sarthou en 1999 et de Dora en 2002. A Arles, il rencontre Michel Tournier qui écrira sur lui plusieurs textes dont une préface pour l'exposition à la Findlay Gallery de New York en 1974.
En 1966, il illustre "Regards sur la mer" de Paul Valéry (Editions Vialetay) ; Agathe Rouart-Valéry présente le livre de son père avec une préface. A la demande de la Société normande des amis du livre, il a illustré en 1967 "Le bateau ivre" d'Arthur Rimbaud.
En 1972, le 25 septembre, débute le tournage pour FR3 Toulouse "Sarthou ou le peintre des éléments" sur une idée de Marc Alyn et Madeleine Attal, mise en scène de Josée Dayan.
En 1976, il fait partie de la délégation française pour l'exposition itinérante au Japon "Sélection du Salon d'automne de Paris" Maîtres contemporains "-Exposition Nika-Kai". Son vol près du pôle lui inspire un nouveau thème : la banquise.
En 1977, lors de l'inauguration du Centre Georges Pompidou, est exposé aux dessins du cabinet un lavis préparatoire à sa toile "Les dunes", acquise par l'Etat.
Ses œuvres sont présentes dans de nombreux musées et institutions, dont le Fonds national d'art contemporain de Paris-La-Défense, le Musée national d'art moderne, le Musée d'art moderne de la Ville de Paris, la Bibliothèque nationale des musées de France à Paris, le Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg, le Musée d'Art et d'Histoire de Genève, l'Université Standford de San Francisco, le Musée de l'Université de Princeton, le Musée d'Art de Cincinnati, le Musée Sofia, le Musée Fabre de Montpellier, le Musée Toulouse-Lautrec d'Albi, le Musée Réattu d'Arles et le Musée Paul Valéry de Sète.....
Au cours de sa carrière artistique, Sarthou a réalisé plus de 1700 peintures à l'huile, près de 900 aquarelles, gouaches, dessins au lavis, pastels, plus de 100 lithographies, des livres illustrés, des tapisseries, des vitraux et des décorations murales .
Maurice Elie Sarthou...
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