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Maurice DenisLes pèlerins d'Emmaus (Les pèlerins d'Emmaus)1895
1895
À propos de cet article
Les pèlerins d'Emmaus (Les pèlerins d'Emmaus)
D'après un tableau de Denis de 1894 au musée Van Gogh (voir photo)
Lithographie en couleurs, 1895
Signé au crayon (voir photo)
Initiales et date dans la pierre (voir photo)
Édition : 100 (6/100, n° 6)
Référence : Cailler 84
Cette lithographie en couleurs est un hommage de Denis au tableau de Rembrandt portant le même titre et conservé dans les collections du Louvre. Denis connaissait sans doute le tableau de REMBRANDT.
Provenance : Héritiers Sagot
Condit : Excellent
Taille de l'image : 12 x 17 7/8 pouces
Maurice Denis
De Wikipedia, l'encyclopédie libre
Né : 25 novembre 1870, Granville, Manche, Normandie, France
Décédé 13 novembre 1943 (à l'âge de 72 ans), Paris, France
Éducation École des Beaux-Arts, Académie Julian
Maurice Denis (français : [dəni] ; 25 novembre 1870 - 13 novembre 1943) est un peintre, artiste décorateur et écrivain français, qui fut une figure importante de la période de transition entre l'impressionnisme et l'art moderne. Il fut associé aux Nabis puis au mouvement symboliste, puis à un retour au néo-classicisme. Ses théories ont contribué aux fondements du cubisme, du fauvisme et de l'art abstrait. Après la Première Guerre mondiale, il fonde les Ateliers d'Art Sacré, décore l'intérieur des églises et œuvre pour un renouveau de l'art religieux.
Biographie
Début de la vie
Maurice Denis est né le 25 novembre 1870, à Granville, dans la Manche, ville côtière de la région Normandie. Son père était d'origine paysanne modeste ; après quatre ans d'armée, il est allé travailler à la gare. Sa mère, fille d'un meunier, travaillait comme couturière. Après leur mariage en 1865, ils s'installent à Saint-Germain-en-Laye, en banlieue parisienne. Son père était employé dans les bureaux de l'administration des Chemins de fer de l'Ouest à Paris.
Maurice était fils unique. Dès son plus jeune âge, ses passions sont la religion et l'art. Il commence à tenir un journal en 1884, à l'âge de treize ans. En 1885, il consigne dans son journal son admiration pour les couleurs, la lumière des bougies et l'encens des cérémonies de l'église locale. Il fréquente le Louvre et admire particulièrement les œuvres de Fra Angelico, Raphael et Botticelli. À l'âge de quinze ans, il écrit dans son journal : " Oui, il faut que je devienne un peintre chrétien, que je célèbre tous les miracles du christianisme, je sens que c'est ce qu'il faut. " En 1887, il découvre une nouvelle source d'inspiration, les œuvres de Puvis de Chavannes.
Denis est admis comme élève dans l'un des plus prestigieux établissements parisiens, le lycée Condorcet, où il excelle en philosophie. Il décide cependant de quitter l'école à la fin de l'année 1887 et s'inscrit en 1888 à l'Académie Julian pour préparer le concours d'entrée à l'École des Beaux-Arts de Paris. Il y étudie avec le peintre et théoricien Jules Joseph Lefebvre. Il réussit le concours d'entrée aux Beaux-Arts en juillet 1888, et passe un autre concours en novembre pour obtenir son baccalauréat en philosophie.
Les Nabis
À l'IDEA, il compte parmi ses condisciples Paul Sérusier et Pierre Bonnard, qui partagent les mêmes idées sur la peinture. Par l'intermédiaire de Bonnard, il rencontre d'autres artistes, dont Édouard Vuillard, Paul Ranson, Ker-Xavier Roussel et Hermann-Paul. En 1890, ils ont formé un groupe qu'ils ont appelé les Nabis, du nom de "Nabi", qui signifie "prophète" en hébreu. Leur philosophie était basée sur la philosophie du positivisme et sur les écrits d'Auguste Compte et d'Hippolyte Taine. J'ai rejeté le naturalisme et le matérialisme au profit de quelque chose de plus idéaliste. Denis le décrit en 1909 : " L'art n'est plus une sensation visuelle que l'on recueille, comme une photographie, pour ainsi dire, de la nature. Non, c'est une création de notre esprit, dont la nature n'est que l'occasion."
Pour sa technique, Denis a d'abord été attiré par le style néo-impressionniste de Seurat, mais l'a rejeté parce qu'il était trop scientifique. En 1889, Denis est séduit par une exposition des œuvres de Gauguin et de ses amis au Café Volponi, en marge de l'Exposition universelle de Paris de 1889. Se souvenant plus tard de ce moment, Denis écrit : "Quelle stupéfaction, suivie d'une révélation ! En lieu et place de fenêtres ouvertes sur la nature, à l'instar des impressionnistes, ce sont des surfaces solidement décoratives, puissamment colorées, bordées de traits brutaux, cloisonnées." L'œuvre de Gauguin a eu un effet immédiat sur le travail de Denis. Les formes aux couleurs vives de la Vache au-dessus du gouffre de Gauguin, exposée pour la première fois en 1889, apparaissent dans une œuvre de Denis datant d'octobre 1890, Taches du soleil sur la terrasse, et plus tard dans la Solitude du Christ de Denis (1918).
Les Nabis se sont séparés à la fin des années 1880, mais leurs idées ont influencé les œuvres ultérieures de Bonnard et Vuillard, ainsi que des peintres non nabis comme Henri Matisse.
Japonisme
L'art japonais a également influencé Denis à l'époque. L'intérêt des artistes français pour les arts japonais avait débuté dans les années 1850, puis avait été renouvelé par les expositions de l'Exposition universelle de Paris (1855) et avait été ravivé en 1890 par une grande rétrospective d'estampes japonaises à l'École des Beaux-Arts. Dès avant 1890, Denis découpe et étudie les illustrations du catalogue Japan Artistique publié par Siegfried Bing. En novembre 1888, il avait déclaré à son ami Émile Bernard qu'il voulait passer de "Donner de la couleur à (Puvis de Chavannes)" à "faire un mélange avec le Japon". Ses peintures de style japonais se caractérisent par un format large et une composition et une décoration très stylisées, apparaissant comme des paravents japonais.
"Une surface plane recouverte de couleurs assemblées dans un certain ordre.
En août 1890, Denis consolide ses nouvelles idées et les présente dans un célèbre essai publié dans la revue Art et Critique. Le célèbre début de l'essai était le suivant : "Souvenez-vous qu'un tableau, avant d'être un cheval de bataille, un nu féminin ou une quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs assemblées dans un certain ordre". Cette idée n'était pas originale chez Denis ; elle avait été avancée peu de temps auparavant par Hippolyte Taine dans La Philosophie de l'art, où Taine écrivait : " Un tableau est une surface colorée, dans laquelle les divers tons et les divers degrés de lumière sont placés avec un certain choix ; c'est là son être intime. " Cependant, c'est l'expression de Denis qui a saisi l'attention des artistes et s'est inscrite dans les fondements du modernisme. Denis a été l'un des premiers artistes à insister sur la planéité de l'image, l'un des grands points de départ du modernisme. Cependant, comme Denis l'a expliqué, il ne voulait pas dire que la forme du tableau était plus importante que le sujet. Il poursuit en écrivant : "La profondeur de nos émotions vient de la suffisance de ces lignes et de ces couleurs à s'expliquer elles-mêmes... tout est contenu dans la beauté de l'œuvre". Dans son essai, il qualifie ce nouveau mouvement de "néo-traditionalisme", en opposition au "progressisme" des néo-impressionnistes, emmenés par Seurat. Avec la publication de cet article, Denis devient le porte-parole le plus connu de la philosophie des Nabis, bien que ce groupe soit en réalité très diversifié et ait des opinions très différentes sur l'art.
Le prochain événement majeur dans la vie de Denis est sa rencontre avec Marthe Meurier en octobre 1890. À partir de juin 1891, ils vivent une longue histoire d'amour, minutieusement consignée dans son journal, et se marient le 12 juin 1893. Elle est devenue un élément important de son art, apparaissant dans de nombreux tableaux et également dans des œuvres décoratives, telles que des éventails peints, souvent comme une figure idéalisée représentant la pureté et l'amour.
Symbolisme
Au début des années 1890, Denis était parvenu à la philosophie artistique qui a guidé la plupart de ses œuvres ultérieures et qui n'a que très peu changé : l'essence de l'art est d'exprimer l'amour et la foi, qui sont pour lui des choses similaires. Le 24 mars 1895, il écrit dans son journal : "L'art reste un refuge sûr, l'espoir d'une raison de vivre désormais, et la pensée consolante que peu de beauté se manifeste dans notre vie, et que nous continuons l'œuvre de la Création....L'œuvre d'art a donc le mérite, inscrit dans la merveilleuse beauté des fleurs, de la lumière, dans la proportion des arbres et la forme des vagues, et la perfection des visages, d'inscrire notre pauvre et lamentable vie de souffrance, d'espérance et de pensée."
Le monde de l'art est en transition au début des années 1890, avec la mort de Van Gogh en 1890 et de Seurat en 1891, et le premier départ de Gauguin pour Tahiti. L'État français abandonne progressivement sa domination sur l'art par le biais des salons annuels qu'il organise. Un Salon indépendant avait été formé en 1884 et, en 1890, le Salon officiel s'est scindé en deux parties, avec la formation de la Société nationale des Beaux-Arts, dotée de sa propre exposition annuelle. Denis expose ses œuvres dans ces deux salons, ainsi qu'au salon La Libre Esthétique de Bruxelles, vitrine européenne de l'art d'avant-garde. Le mouvement littéraire appelé symbolisme a été lancé par Jean Moréas dans un article du Figaro en 1891. En mars 1891, le critique George-Albert Dourer écrit un article pour le Mercure-de-France, qualifiant Denis d'exemple phare du "symbolisme en peinture". L'œuvre de Denis attire l'attention des critiques et d'importants mécènes, notamment Arthur Huc, propriétaire du célèbre journal La Dépêche de Toulouse, qui organise ses propres salons d'art et achète un certain nombre d'œuvres de Denis.
Denis a expérimenté d'autres formes d'art et l'art décoratif. À partir de 1889, pour illustrer une édition du recueil de poèmes Sagesse de Paul Verlaine, Denis sculpte une série de sept gravures sur bois très stylisées, distillant l'essence de son travail. Son mécène Huc lui commande deux grands panneaux décoratifs, sous forme de tapisseries, pour son bureau de Toulouse. Denis, comme d'autres artistes de l'époque, a également conçu des affiches lithographiques colorées aux courbes arabesques de l'Art nouveau.
À partir de 1891, peu après ses fiançailles, Denis fait de Marthe le sujet le plus fréquent de ses tableaux ; elle est représentée, sous une forme épurée et idéalisée, en train d'effectuer des tâches ménagères, de faire la sieste ou de s'asseoir à la table de la salle à manger. Elle apparaît dans ses paysages et dans ses œuvres les plus ambitieuses de l'époque, la série intitulée The Muses, qu'il a commencée en 1893 et exposée au Salon des Indépendants en 1893. Il vend le premier tableau à son ami Arthur Fontaine. En 1899, l'État français acquiert l'un des tableaux, ce qui constitue sa première reconnaissance officielle.
Sa femme joue du piano et, tout au long des années 1890, Denis s'intéresse de plus en plus aux liens entre la musique et l'art. Il peint un portrait d'elle au piano en 1890. Il a conçu une lithographie fluide, représentant Marthe, pour la couverture de la partition de La Damoiselle élue de Claude Debussy, ainsi qu'une autre lithographie pour le poème Pelléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck, que Debussy a transformé en opéra ; et en 1894, il a peint La Petit Air, d'après le poème Princesse Maleine de Stéphane Mallarmé, le plus grand adepte littéraire du symbolisme. En 1893, il réalise un projet de collaboration avec l'écrivain André Gide, qui allie art et littérature ; il fournit une série de trente lithographies pour accompagner un long essai de Gide, intitulé Le Voyage d'Urien. Les Artistics n'illustraient pas le texte, mais abordaient les mêmes sujets du point de vue de l'artiste.
Un autre sujet qu'il aborde à cette époque est la relation entre l'amour sacré et l'amour profane. Le tableau présente trois figures féminines, deux nues et une vêtue, sur le modèle du Concert Champêtre et de L'Amour Sacré et L'Amour Profane du Titien et du Déjeuner sur l'herbe de Manet. Le décor est son propre jardin, avec le viaduc de Saint-Germain-en-Laye en arrière-plan. Les figures nues représentaient l'amour sacré, et les figures vêtues l'amour profane. Il réalise un autre tableau, cette fois de Marthe nue dans le jardin, représentant l'amour sacré et l'amour profane en une seule figure.
Art nouveau et art décoratif
Au milieu des années 1890, avec l'apparition de l'Art nouveau à Bruxelles et à Paris, Denis commence à s'intéresser davantage aux arts décoratifs, même si ses thèmes de la famille et de la spiritualité restent les mêmes. Nombre de ses nouveaux projets ont été commandés par Samuel Bing, le marchand d'art dont la galerie a donné son nom à l'Art nouveau. Ses nouveaux projets comprennent des papiers peints, des vitraux, des tapisseries, des abat-jour, des paravents et des ventilateurs. Bien qu'il ait travaillé à l'époque et utilisé les matériaux de l'Art nouveau, ses thèmes et son style sont restés distinctement les siens.
Son œuvre décorative la plus importante est une série de panneaux peints pour le bureau du baron Calle, réunis sous le nom de La Légende de saint Hubert, peints entre 1895 et 1897. Il s'inspire librement de la chapelle Médicis à Florence, des œuvres de Nicolas Poussin, de Delacroix et de Pierre Puvis de Chavannes. Cochin et sa famille apparaissent dans un panneau, et la femme de Denis, Anne, dans un autre. Les panels ont célébré les familles et la foi. L'archevêque de Paris y a célébré une messe lorsque le gouvernement français a nationalisé sa résidence et d'autres biens ecclésiastiques en 1907.
Il réalise un petit nombre de portraits, dont un portrait inhabituel d'Yvonne Lerolle (1897) qui la montre dans trois poses différentes sur la même image.
Néo-classicisme
En janvier 1898, Denis se rend pour la première fois à Rome, où les Making Works de Raphael et de Michelangelo au Vatican lui font forte impression. Il écrivit un long essai, Les Arts a Rome, déclarant : " l'esthétique classique nous offre à la fois une méthode de penser et une méthode de vouloir être, une morale et en même temps une psychologie...La tradition classique dans son ensemble, par la logique de l'effort et la grandeur des résultats, est en quelque sorte parallèle à la tradition religieuse de l'humanité. " La même année, les deux figures de proue du symbolisme dans l'art, Gustave Moreau et Puvis de Chavannes, meurent. De retour à Paris, Denis réoriente son art vers le néo-classicisme, avec des lignes et des figures plus claires. Il note dans son journal en mars 1898 : "Pensez aux peintures tardives où le Christ est la figure centrale... Souvenez-vous des grandes mosaïques de Rome. Concilier l'emploi de moyens décoratifs à grande échelle et les émotions directes de la nature."
Denis était un grand admirateur de Paul Cézanne ; il s'est rendu chez Cézanne en 1896 et a écrit un article rapportant le commentaire de Cézanne : "Je veux faire de l'impressionnisme quelque chose de solide et de durable, comme l'art des musées." Dans cet article, Denis décrit Calle comme "le Poussin de l'impressionnisme" et le qualifie de fondateur du néo-classicisme moderne. L'une des œuvres les plus importantes de Denis de cette période est Hommage à Cézanne (1900), peinte à la suite du décès de son ami Paul Cézanne. Au premier plan, elle représente les amis de Cézanne, dont plusieurs anciens Nabis ; de gauche à droite (Odilon Redon, Édouard Vuillard, le critique André Mellerio, Ambroise Vollard, Denis lui-même, Paul Sérusier, Paul Ranson, Ker-Xavier Roussel, Pierre Bonnard, et Marthe, l'épouse de Denis). Le tableau paraît très sombre parce qu'ils sont tous vêtus de noir en signe de deuil, mais il contient également un second message : les tableaux exposés derrière les personnages et sur le chevalet représentent la transition de l'art moderne, des œuvres de Gauguin et Renoir sur le mur du fond au tableau de Cézanne sur le chevalet, qui illustre, du point de vue de Denis, la transition de l'impressionnisme et du symbolisme vers le néo-classicisme.
Denis est affecté par les troubles politiques de l'époque, comme l'affaire Dreyfus (1894-1906) qui divise la société française et le monde de l'art, avec Émile Zola et André Gide d'un côté, défendant Dreyfus, et Rodin, Renoir et Denis de l'autre. Denis était à Rome pendant la plupart des événements, et cela n'a pas affecté son amitié avec Gide. Le mouvement du gouvernement français visant à réduire le pouvoir de l'Église et la décision du gouvernement de séparer officiellement l'Église et l'État en 1905 ont été plus significatifs pour lui. En 1904, Denis rejoint l'Action française, un groupe nationaliste et pro-catholique, et en reste membre jusqu'en 1927, date à laquelle le groupe a évolué vers l'extrême droite et a été formellement condamné par le Vatican [...].
Jusqu'en 1906 environ, Denis était considéré comme faisant partie de l'avant-garde des artistes parisiens, mais cette année-là, Henri Matisse présenta La Joie de Vivre avec les couleurs vives et criardes du fauvisme. En réponse, Denis se tourne de plus en plus vers la mythologie et ce qu'il appelle "l'humanisme chrétien". En 1898, il avait acheté une petite villa au bord de la mer à Perros-Guirec, en Bretagne, qui était alors un village de pêcheurs isolé et peu peuplé. En 1907, il utilise la plage comme décor pour son Bacchus et Ariane néoclassique, éclaircissant ses couleurs et montrant une famille heureuse s'ébattant nue sur la plage. Il a ensuite réalisé une série de photos de nus à la plage ou dans des décors bucoliques, basées sur des thèmes mythologiques
Design/One et illustration de livres
De 1899 à 1911, Denis s'occupe également des arts graphiques. Pour l'éditeur Vollard, il réalise un ensemble de douze lithographies en couleurs intitulé Amour, qui connaît un succès artistique mais pas commercial. Il revient ensuite à la gravure sur bois, réalisant une série en noir et blanc L'Imitation de Jésus-Christ, en collaboration avec le graveur Tony Beltrand, qui paraît en 1903, puis des illustrations pour Sagesse du poète Paul Verlaine, publié en 1911. En 1911, il commence à travailler sur les illustrations de Fiorette de Saint François d'Assise. Pour ce projet, il a voyagé seul à vélo à travers l'Ombrie et la Toscane, en réalisant des dessins. L'ouvrage final, publié en 1913, est rempli d'illustrations florales riches et colorées. Il a également réalisé des dessins et des illustrations de livres très décoratifs pour Vita Nova de Dante (1907) et vingt-quatre illustrations pour Eloa d'Alfred de Vigny (1917). La dernière œuvre, réalisée en pleine Première Guerre mondiale, est plus sombre que les précédentes, largement colorée de bleus et de gris pâles.
Avec l'aimable autorisation de Wikipédia
- Créateur:Maurice Denis (1870-1943, Français)
- Année de création:1895
- Dimensions:Hauteur : 30,48 cm (12 po)Largeur : 45,42 cm (17,88 po)
- Support:
- Mouvement et style:
- Période:
- État:
- Adresse de la galerie:Fairlawn, OH
- Numéro de référence:Vendeur : FA16331stDibs : LU14015709202
Maurice Denis
Peintre, graveur et décorateur, Maurice Denis. Artiste français, né en novembre 1870 à Granville en Normandie et mort en novembre 1943. Il fait ses études au lycée Condorcet à Paris, puis simultanément à l'École des beaux-arts et à l'Académie Julien.
Cependant, Denis ne se reconnaissant pas dans le style naturaliste prôné par ses professeurs, il forme Les Nabis avec d'autres artistes tels que Paul Sérusier, Pierre Bonnard et Paul Elie Ranson. Ce groupe et mouvement artistique revendique le symbolisme, en partie inspiré par Paul Gauguin et Émile Bernard. Denis et les Nabis ont un style caractéristique qui consiste en l'application de grandes surfaces de peinture et l'utilisation de couleurs radicales et inhabituelles. Denis est un peintre très productif. Il expose de nombreuses œuvres aux côtés d'autres symbolistes et néo-impressionnistes au cours des années 1890. Une œuvre caractéristique de cette période est Spring (1897), qui fait désormais partie de la collection permanente du Met à New York. Tout au long de la première moitié du XXe siècle, Denis expose régulièrement ses œuvres, tant au Salon de la Société Nationale qu'au Salon des Indépendants. En 1914, il achète et entreprend la restauration d'un prieuré du XVIIe siècle à Saint-Germain-en-Laye, près de Paris. En 1980, le prieuré est transformé en musée, consacré à l'œuvre de Dedic et plus généralement au mouvement nabi. Le prieuré est rebaptisé Musée départemental du Prieuré. Les œuvres de Denis ont également été exposées au Musée des beaux-arts de Montréal et à la Walker Art Gallery de Liverpool, en Angleterre.
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