Seyed M. S. Edalatpour

Une des douze VI (eaux-fortes d'une des 12 têtes basées sur Sculpture monumentale

1995

Le choc du déplacement a été la force motrice des premiers travaux de Seyed Edalatpour. Pour lui, l'acte de construire sur un sable mouvant est une expérience déroutante. En conséquence, il a défini sa pratique comme étant axée sur la recherche et basée sur des projets. La première fois, en 1987, il s'agit de la "Transformation géographique", qui est devenue un voyage de découverte, a donné naissance à l'idée de l'autonomie et l'a informé de la possibilité d'un chemin à parcourir. Il a ensuite étudié la structure d'une telle possibilité dans "Self-functional Architecture" où, par le processus de dé-construction et de re-construction, il a examiné le mécanisme culturel dans l'acte de fabrication. "Cannons of Gods", "Zekr", "Farsh", "Twelve and the 13th", "99names of Gods", "Square" et "Cheheltan" sont d'autres études où Edalatpour a cherché à renforcer les fondements de sa pratique. Depuis 2010, Edalatpour travaille principalement avec le bois comme matériau de choix et examine la condition de l'homme dans son statut post-existentialiste actuel. Dans "Circus", l'affection profonde d'Edalatpour pour l'homme devient évidente et il est clair que cette arrivée est le résultat de ses quêtes précédentes, mais l'homme qu'il dépeint dans "Circus" est loin des dieux anciens qu'il admirait tant. Il est pris entre deux feux.