Dina Gardner

Reflets majestueux

2024

Dina Gardner a toujours été fascinée par la manière dont les artistes, qu'ils soient peintres, musiciens, écrivains ou quiconque utilise ses dons de créativité, travaillent à travers leur processus créatif. Elle est constamment intriguée par le fait que le processus est si différent pour chaque artiste, quel que soit son médium. Le processus de Dina ressemble à ceci : Elle commence toujours par la musique, qui sert à influencer ce qui se passe sur sa toile. À son chevalet, on chante beaucoup (un peu faux) et on danse spontanément (pas mal pour une fille blanche). Sa toile est un morceau de papier granuleux, parfois acheté, parfois fait à la main. La musique allumée, elle s'inspire d'une photo de référence qu'elle a prise et esquisse sa composition sur sa toile. Parfois, il n'y a pas du tout de photo de référence, mais plutôt une idée en tête à partir de laquelle elle travaille. Elle commence souvent par une sous-peinture, qui est la première couche d'une peinture, en utilisant de l'alcool à friction pour la fixer de manière permanente sur sa toile. Le travail de Dina représente les choses qui l'attirent le plus : les océans, l'eau, les cieux, les arbres, les marais et les prairies. Elle est une grande voyageuse et aime peindre une variété de sujets qui attirent son attention lors de ses déplacements. Elle aime les grandes villes animées et l'architecture étonnante, mais elle aime aussi être entourée de tout ce que la nature a à offrir, qu'il s'agisse d'une grange délabrée, du soleil se couchant sur les montagnes ou de n'importe quel sentier qui sort des sentiers battus. En tant qu'artiste, elle est toujours en train de chasser la lumière, de trouver la juxtaposition entre l'ombre et la lumière. Dina partage son temps entre la Californie du Sud, où elle est née et a grandi, et Boston, sa ville d'adoption depuis près de 35 ans. Avant de devenir artiste à plein temps, Dina a fondé plusieurs cabinets de recrutement, créant sa première entreprise à l'âge de 25 ans. Ce qu'elle aimait le plus dans son métier de chasseur de têtes, c'était de faire décoller les entreprises. Elle a adoré l'étape du "lancement", la toile vierge avec laquelle elle a pu travailler et la vision qu'elle a pu créer alors qu'elle a ensuite exécuté et mis son empreinte sur chacun d'eux. Le fait de se tenir devant son chevalet lui donne l'occasion d'utiliser ces mêmes compétences chaque fois qu'elle crée un tableau. Outre sa passion pour sa famille, la peinture et les voyages, son cœur bat pour le projet de sac à dos Pay It Forward, une organisation locale qu'elle a fondée en 2015. Le projet "Pay It Forward Backpack" fournit des sacs à dos remplis de produits de première nécessité pour l'hiver aux sans-abri de Boston. Un pourcentage des recettes de chaque vente de ses œuvres est reversé au Backpack Project (projet sac à dos) afin de continuer à faire avancer les choses en aidant les personnes non logées qui souffrent souvent de maladies mentales, de toxicomanie et/ou d'alcoolisme. La devise de Dina est "Carpe Diem" et elle fait de son mieux pour que cela se produise chaque jour.