Passer au contenu principal
Vous voulez plus d'images ou de vidéos ?
Demander au vendeur plus d'images ou de vidéos
1 sur 3

Pierre-Auguste Renoir
Tête de Femme Blonde par Pierre-Auguste Renoir - Peinture de portrait

1908

À propos de cet article

*VEUILLEZ NOTER QUE LES ACHETEURS BRITANNIQUES NE PAIERONT QUE 5% DE TVA SUR CET ACHAT. Tête de Femme Blonde par Pierre-Auguste Renoir (1841-1919) Huile sur toile 26,1 x 19 cm (10 ¹/₄ x 7 ¹/₂ pouces) Signé en haut à droite, Renoir Exécuté en 1908 À partir des années 1890, les portraits de Renoir sont principalement ceux de personnes de sa famille ou de son foyer, souvent exécutés à plus petite échelle. Cela nous donne un témoignage touchant de l'intimité de l'artiste. Cette œuvre sera incluse dans le prochain catalogue raisonné numérique de Pierre-Auguste Renoir, actuellement en préparation sous le parrainage du Wildenstein Plattner Institute, Inc. Provenance : Maurice Gangnat, Paris Hôtel Drouot, Paris, 1925 Eugène Druet, Paris, acquis à l'occasion de l'exposition ci-dessus. Palais Galliéra, Paris, 1969 Collection privée, Tokyo, vers 1970 Collection privée, Japon, acquise vers 1985 Littérature : Guy-Patrice et Michel Dauberville, Renoir : Catalogue Raisonné des Tableaux, Pastels, Dessins et Aquarelles, 1903-10, Paris, 2012, vol. IV, no. 3347 (illustré p. 393) Biographie de l'artiste : Renoir commence sa carrière artistique en tant que peintre sur porcelaine mais commence à copier des tableaux au Louvre en 1860 et entre finalement dans le Studio de Charles Gleyre, où il rencontre Claude Monet, Frédéric Bazille et Alfred Sisley. Les quatre amis commencent à peindre dans la forêt de Fontainebleau, même si Renoir reste toujours voué à la peinture de figures et aux portraits influencés par Gustave Courbet. Au cours de l'été 1869, Renoir peint pendant deux mois aux côtés de Monet à la Grenouillère, en région parisienne. Après que plusieurs de ses peintures ont été rejetées par le Salon au début des années 1870, il a décidé de rejoindre Monet dans la création des impressionnistes, qui cherchaient à capturer la vie moderne, y compris les gens de tous les jours, les rues et les environs. Le penchant de Renoir pour le portrait attire l'attention d'une série de mécènes aux sensibilités avant-gardistes et le soutient financièrement. Ses doutes sur la spontanéité et l'impermanence de l'esthétique impressionniste l'amènent à refuser de participer à la quatrième exposition impressionniste en 1878. Au lieu de cela, il décide de se tourner vers les anciens maîtres et part pour l'Italie en 1881 afin de poursuivre son auto-apprentissage de la "grandeur et de la simplicité des peintres anciens". À son retour, il s'éprend de Raphael et de Pompéi et ses figures deviennent alors plus nettes et plus sculpturales. À la fin des années 1880 et au début des années 1890, Renoir avait déplacé ses recherches sur les maîtres anciens du classicisme linéaire vers les traditions coloristes du Titien et de Rubens, ainsi que vers la beauté sensuelle et sans complexe de l'art français du XVIIIe siècle, comme les nus de Rubens et de Fragonard. La série la plus importante de Renoir au cours de la décennie provient d'une invitation du gouvernement français à exécuter une peinture pour le musée du Luxembourg, un nouveau musée consacré à l'œuvre d'artistes vivants. Renoir a réalisé cinq versions de Deux jeunes filles au piano pour que le ministre des Beaux-Arts puisse faire son choix ; la version conservée dans la Collection S du Metropolitan est l'une des plus belles. Le sujet des jeunes filles au piano rappelle les scènes de genre françaises du XVIIIe siècle, en particulier celles de Fragonard. Au début du XXe siècle, malgré son âge avancé et sa santé déclinante, Renoir persiste dans l'expérimentation artistique. Il se lance dans la sculpture et continue à peindre des portraits, témoignant ainsi de son admiration constante pour l'art de la Renaissance. Renoir était également attiré par un idéal arcadien de classicisme méditerranéen dans son art. Cette préoccupation artistique n'est nulle part plus évidente que dans ses baigneuses du XXe siècle. Les nus rubéniques qu'il avait peints ont atteint un niveau d'exagération sans précédent au XXe siècle, culminant avec les immenses Baigneuses du musée d'Orsay.
Plus d'articles de ce vendeurTout afficher
Suggestions

Récemment consulté

Tout afficher