David Koppel

Vers la lumière

2024

David Koppel a fait son apprentissage de la photographie dans le monde agité des paparazzis de Fleet Street, dans le Londres des années 1980, lorsque ses talents ont permis de saisir l'essence même de la "Me Decade", qui a donné naissance à la culture de la célébrité d'aujourd'hui. Les photographies classiques de Koppel de Frank Sinatra, Marlon Brando, Jack Nicholson, les Rolling Stones, David Bowie, Paul McCartney, Eric Clapton et la famille royale ont été publiées dans tous les grands journaux et magazines et ont fait de lui une rareté parmi les photographes de presse : l'artiste avec un appareil photo. Fort de la réputation acquise grâce aux photographies du livre Still Waters, ses portraits en noir et blanc de gens ordinaires figurent désormais parmi les nombreux noms célèbres de son portfolio. Koppel est allé encore plus loin en achetant en 2002 la St Giles St Gallery, qui présente à Norwich le meilleur de l'art contemporain et de la photographie locale et internationale, notamment les œuvres de Sir Peter Blake, Terry O'Neill, David Bailey, Maggie Hambling, Storm Thorgersson, Tim Woolcock et Colin Kent, avec des expositions internationales telles que le $11 Million Picture Show (l'objet le plus cher des Beatles jamais mis en vente) et The Unseen Beatles de Frank Herrmann, ainsi que CREAM : le meilleur des photographes du Sunday Times. Son propre travail photographique avait déjà été reconnu par une exposition d'"Up&Up" - devenue une marque de fabrique de Koppel - à Zurich et par un article élogieux dans le magazine Sunday Times. Cela l'a amené à expérimenter des images numériques de ses photographies sur des canavs. Sa collaboration avec l'artiste John Kiki dans ce domaine a donné lieu à plusieurs expositions et continue de susciter l'intérêt tant au Royaume-Uni qu'à l'étranger, avec des expositions à Londres, Norwich et Zurich. Continuant à expérimenter et à explorer le collage, sous l'égide du Collectional Art, Koppel a commencé à remasteriser d'anciennes œuvres de "célébrités", en les fusionnant avec des souvenirs collectés pendant de nombreuses années, en rapport avec son travail de photographe intérimaire pour la presse.