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Ben Vautier Art

Français, 1935-2024

Benjamin Vautier est né en 1935 à Naples, en Italie, dans une famille française. Il était l'arrière-petit-fils du peintre suisse Marc Louis Benjamin Vautier (1829-98). Il découvre Yves Klein et le Nouveau Réalisme dans les années 1950, mais il s'intéresse rapidement à l'artiste français DADA Marcel Duchamp et à la musique de John Cage. 

En 1959, Vautier fonde la revue Ben Dieu. En 1960, il présente sa première exposition personnelle, Rien et tout, au Laboratoire 32.

Vautier rejoint George Maciunas dans le mouvement artistique Fluxus, en octobre 1962. Il était également actif dans le Mail-Art et était surtout connu pour ses peintures ou écritures basées sur des textes, qui ont commencé en 1953, avec son œuvre Il faut manger. Il faut dormir. Un autre exemple de ce dernier est L'art est inutile. Rentrez chez vous (Art is Useless, Go Home). Une œuvre remarquable réalisée pour l'exposition Documenta 5 de Harald Szeemann en 1972 s'écrie "KUNST IST ÜBERFLÜSSIG" (en anglais : "Art is Superfluous") et a été installée au sommet du musée Fridericianum à Kassel, en Allemagne. 

Vautier a longtemps défendu les droits des minorités dans tous les pays et a été influencé par les théories de François Fontan sur l'ethnisme. Il a par exemple défendu la langue occitane (sud de la France). En 1981, il invente le nom du mouvement artistique français des années 1980, la Figuration Libre.

Trouvez des œuvres d'art de Benjamin Vautier sur 1stDibs.

(Biographie fournie par Gallery 55 TLV)

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Artiste: Ben Vautier
Acheter Dieu, 1961, technique mixte, 44x33 cm, encadré
Par Ben Vautier
Gouache et technique mixte sur papier, signée dans le texte. Benjamin Vautier est né le 18 juillet 1935 à Naples, en Italie, dans une famille française. Il est l'arrière-petit-fils ...
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années 1960 Conceptuel Ben Vautier Art

Matériaux

Technique mixte

Au bout des yeux
Par Ben Vautier
Acrylique sur toile peinture originale 40 x 70 cm (Encadrée) 38 x 61 cm 15.75 x 27.56 in
Catégorie

années 1990 École française Ben Vautier Art

Matériaux

Acrylique

Prise de Possession Du Tout, 1960 - techniques mixtes, 33x34 cm, encadré
Par Ben Vautier
Gouche et technique mixte sur papier.signé dans le texte. Benjamin Vautier est né le 18 juillet 1935 à Naples, en Italie, dans une famille française. Il est l'arrière-petit-fils du p...
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années 1960 Conceptuel Ben Vautier Art

Matériaux

Technique mixte

Affiche « Nos vaincrons » de 1993 par Ben, Images for the Fight Against AIDS
Par Ben Vautier
L'affiche de 1993 "Nous vaincrons" de Ben Vautier, plus connu sous le nom de Ben, représente une œuvre d'art marquante et socialement consciente consacrée à la lutte contre le SIDA. ...
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années 1990 Ben Vautier Art

Matériaux

Écran

Articles apparentés
Portrait d'un actrice avec des fleurs de l'école française du 18e siècle
École française du XVIIIe siècle Portrait d'une actrice Huile sur toile 30 x 23 pouces 36 x 30 pouces, encadré
Catégorie

XVIIIe siècle École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

Yayoi Kusama - Escarpins en peluche (kusama grand modèle)
Par Yayoi Kusama
Citrouille Yayoi Kusama (peluche) : Œuvre pop art emblématique aux couleurs vives, cette grande citrouille en peluche de Kusama (21,5 x 21,5 po) présente les motifs universels à pois...
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années 1960 Contemporain Ben Vautier Art

Matériaux

Nylon, Écran

Comeals à Istanbul, huile sur papier de Françoise Juvin
Françoise Juvin - Comeals à Istanbul, Turquie Numéro de référence FJ148 Encadré d'une belle feuille d'or et d'argent cadre en bois avec un effet de vieillissement. 30,5 x 36,5 cm cadre inclus (14 x 16 cm sans cadre) Cette œuvre est peinte à l'huile sur un papier. Il est présenté avec un passe-partout biseauté de 5 cm et sous un verre. Il est signé en bas à droite. Françoise Juvin (1926-2010) est une artiste française née à Nancy. Elle entre à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon en 1941 où elle rencontre plusieurs artistes tels que Jacques Truphémus...
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Années 1980 École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

École française fin du 19e siècle, Une bordure de mer avec deux personnages, huile sur papier
L'école française fin du 19ème siècle Bord de mer avec deux personnages, huile sur papier 27 x 49 cm En bon état. Dans un cadre moderne : 35 x 57 cm
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années 1890 École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

Bateaux dans la baie de Cannes, Paysage, peinture à l'huile sur toile de Françoise Juvin
Françoise Juvin - Bateaux dans la baie de Cannes, Sud de la France Numéro de référence FJ62 Encadré avec un cadre flottant en chêne naturel. 23,5 x 34 cm cadre inclus (18 x 26 cm san...
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Années 1980 École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

Portrait du colonel Charles-Louis-Prosper marquis de Chérisey (1786-1837)
D'après Louis-Stanislas MARIN-LAVIGNE (Paris, 1797 - Paris, 1860) Portrait du colonel Charles-Louis-Prosper marquis de Chérisey (1786-1837) en uniforme de commandant du 38e régiment...
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Milieu du XIXe siècle École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

Toronto 20
Par Jack Bush
Jack Bush (1909-1977) est connu comme l'un des artistes abstraits canadiens les plus performants du XXe siècle. Dans les années 1960, il obtient une reconnaissance internationale pou...
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années 1960 Colorfield Ben Vautier Art

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Écran

Toronto 20
Toronto 20
H 26 po l 20 po
Portrait complet d'un enfant avec son chien
Benjamin Théophile CHARON-LÉMERILLON (Paris, 1807 - Bouzareah (Alger), 1873) Portrait complet d'un enfant avec son chien Huile sur toile Signé et daté en bas à droite 36 x 28 cm 18...
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Milieu du XIXe siècle École française Ben Vautier Art

Matériaux

Huile

Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854)
François Jean SABLET (Morges, 1745 - Nantes, 1819) Portrait de Jean Claude Pellegrini (1787-1854) Inspecteur divisionnaire honoraire des ponts et chaussées. Huile sur toile Monogrammé et daté en bas à droite 30x25cm 1819 Peintre de portraits, Jean François Sablet, originaire de Morges, né le 23 novembre 1745, est le fils aîné de Jacob Sablet (1720-1798), bourgeois de cette ville, peintre en bâtiment, doreur, marchand d'art, et de Suzanne Dupuis (1722-1775), établie à Lausanne dès 1754. En 1767, le 8 juin, il se prépare à partir pour "se perfectionner dans l'art de la peinture" avec un viatique du Conseil de Morges et une bourse de Berne. À Paris, il est l'élève de Joseph-Marie Vien à l'Académie royale (1768-73). En 1772, il est rejoint par son jeune frère Jacques qui, en 1776, part à Rome pour y poursuivre une brillante carrière. François, lui, reste à Paris, y passe presque inaperçu, n'ayant ni concouru, ni reçu de prix, ni même exposé. En 1774, il signe et date le Portrait du comte d'Artois, en tant que colonel général des Suisses et des Grisons. En 1777, il épouse Marie Madeleine Borel, fille d'un marchand de bois, et s'installe près des Quinze-Vingt à la Bastille, comme portraitiste. Il est entré dans la loge maçonnique de l'Amitié céleste et a donc bénéficié d'une certaine notoriété. Il a exécuté le portrait de Charles-Henri, comte d'Estaing, gravé par Charles-Etienne Gaucher (1779). En 1781, L. Perrot reproduit deux de ses œuvres du cabinet de Madame de Saint-Maurice, Enfance à la campagne et Visite à la nourrice, pour la société philanthropique fondée notamment par Louis d'Affry, capitaine des Gardes suisses. . Outre le fait que ces sujets dénotent un idéal de bienveillance sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau, ils témoignent de relations avec le milieu suisse. Enfin, le format et la qualité de deux grands portraits en pied, la Vestale versant de l'encens (1781) et l'Offrande à Hymen (1783), reflètent sa faveur dans la société à la veille de la Révolution et, bien que dans l'ombre, il est capable de se constituer des rentes viagères. De cette première étape sont datés deux carnets de croquis à la craie noire et à la craie rouge de personnages, de scènes d'intérieur, d'évocations théâtrales, dont la Vierge vestale versant de l'encens. Il a également signé une série d'illustrations de lavis portant sur la mythologie et d'autres sujets tirés d'Ovide. En 1789, le climat politique s'assombrit soudainement, les amateurs partent, entraînant les artistes avec eux. François Sablet prend la route de la Suisse et, en janvier 1792, rejoint à Rome son frère, peintre de genre en costumes italiens et de portraits dans la nature appelés "sujets de conversation", modèles dont François va s'inspirer. François passe l'été à Genzano, dans la campagne romaine, où il se consacre également au paysage et aux costumes populaires. Beat d'Hennezel, leur compatriote, évoque les soirées chez les Sablets avec leurs amis artistes, occupés à dessiner des portraits tout en échangeant des remarques enflammées sur la situation politique. Cependant, les événements de Paris ont eu des répercussions à Rome. En janvier 1793, le représentant français est assassiné, les Français et autres francophones sont en danger et doivent quitter les États pontificaux. Les artistes retournent à Florence, mais tous ne peuvent pas y rester et continuent en France ; les Sablet se dirigent vers Lausanne. De retour à Paris, il est reçu le 1er octobre 1793 à la Commune des Arts et le 28 mai suivant, il soumet son croquis des charrettes de foin traînées par les sans-culottes de la Commune de Chaussière, faute de chevaux pour le concours de l'an II. Il a fourni trois portraits au graveur Pierre-Michel Alix pour sa Galerie des Grands Hommes : Viala, Guillaume Tell et Lycurgue. Ce n'est qu'en 1795 qu'il expose pour la première fois deux portraits au Salon, puis ne signe plus aucune œuvre jusqu'en 1799. Pendant toute cette période, il vit à Vernonet en Normandie avec l'acteur Simon Chenard et semble prendre ses distances avec Paris contrairement à son frère qui, logé au Louvre, expose ses œuvres avec succès. En 1799, il présente au Salon deux paysages, deux intérieurs et deux portraits. En 1802, les frères Piranèse, protégés par Lucien Bonaparte, créent une Académie des Beaux-Arts au Collège de Navarre, où François Sablet se distingue dans la chalcographie : Vue du cloître de la Chartreuse dans les thermes de Dioclétien, Illumination du Pont des Tuilerie et Illumination de la Concorde et six Vues des jardins de la Villa Borghèse. En 1804, il expose au Salon deux paysages, dont La Voie Appienne au bas de la Riccia et deux portraits. Un décret du 30 mars 1805 installe cependant l'École polytechnique au Collège de Navarre, obligeant la chalcographie piranésienne à déménager tout en accordant une compensation aux artistes. François Sablet décide alors de s'installer à Nantes où il a de nombreux amis. C'est, outre les frères Cacault avec leur riche collection à Clisson, l'architecte Mathurin Crucy, compagnon d'études, le sculpteur François-Frédéric Lemot qui y crée une nouvelle "Arcadie", tous très proches et à l'origine du développement du port et de la ville de Nantes. François Sablet y poursuit sa carrière de portraitiste avec beaucoup de succès. Il a une vitrine, tout le monde défile dans son studio, il y a une file d'attente. Suit une étonnante production de petits portraits "à la Boilly", très naturels, parfois incisifs, comme son Autoportrait, dédié au musée d'art de Nantes. François Cacault meurt en 1805 et Sablet est chargé de l'inventaire de la collection pour le musée. Son œuvre ne se limite cependant pas aux petits portraits : pour Crucy, il peint le salon, où apparaissent l'architecte et sa femme, et divers paysages, notamment le Portrait de la famille de la Roche, que l'on n'hésite pas à attribuer à Jacques Sablet. Et c'est bien là le problème si difficile à élucider, car non seulement François est surnommé à tort "le Romain" ou "le Jeune", mais il peint à la manière de Jacques. Il exécutait des paysages des environs ou des souvenirs d'Italie, mais son activité principale était la décoration de la Bourse. Son architecte Mathurin Crucy a fixé le programme : six grandes grisailles évoquant la visite de Napoléon à Nantes en août 1808. François Sablet se met au travail en juillet 1810 et la Bourse est inaugurée le 15 août 1812. Quant aux grisailles, elles sont recouvertes à la Restauration, puis retirées et vendues. Il ne reste que les dessins préparatoires et 123 portraits légués à la Société archéologique de Nantes en 1862. En avril 1817, François expose au Salon une grande vue du port de Nantes qu'il peut contempler depuis son domicile. L'année suivante, il signe et date une Sainte Famille, l'œuvre ultime du peintre. Ainsi, peu à peu, se dessinent l'art et la personnalité de François Sablet, essentiellement peintre de portraits et de paysages, suivant tous les styles, traversant avec souplesse les aléas de l'histoire, de belles effigies au pied de l'Ancien régime à la suite de Vien et de petites scènes champêtres, à la mode, comme L'escarpolette puis converti à Nantes avec de petits portraits illustrant la bourgeoisie locale, sachant toujours répondre aux différents patronages avec un égal bonheur, se montrant à la hauteur d'une grande commande municipale comme la décoration de la Bourse, ou encore retrouvant le style du XVIIe siècle italien pour un tableau d'église. Musées : Nantes, Brest, Melbourne, New York (Met.), Fribourg, Lausanne.. Bibliographie : SIKART - Anne van de Sandt - 1998 et 2018 Jean Claude Frédéric Alexis Pellegrini, né le 22 juillet 1787 à Chambéry (Mont-Blanc) et mort le 27 mars 1854, est un inspecteur divisionnaire honoraire des Ponts et Chaussées. Il réalise les travaux d'amélioration de la navigabilité du Lot et étudie le projet d'un canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Il a participé à la construction du pont Vittorio Emanuele I sur le Pô à Turin et du pont sur la Garonne à Moissac Il est le fils de Bernard Pellegrini, originaire de Castelrotto dans la commune de Croglio, au Tessin (Suisse), et de Marguerite Berthet. Il est le frère de Charles Henri Pellegrini. Il entre à l'école polytechnique le 20 novembre 1806 et en sort le 1er septembre 1808. Il entre dans la fonction publique et poursuit ses études à l'École des Ponts et Chaussées. Pendant ses études, il fait des stages dans le département de l'Ain, en 1809, et dans le département du Pô, à Turin, en 1810, où il participe aux travaux du grand pont de pierre sur le Pô, à Turin. Bien qu'il n'ait fréquenté l'école des Ponts et Chaussées que pendant deux ans au lieu de trois, il est nommé ingénieur en herbe et reste attaché à la construction du pont sur le Pô. Il est nommé ingénieur civil de 2e classe le 1er septembre 1811. En 1812 et 1813, il est chargé des travaux hydrauliques sur la Stura. Il est responsable des travaux de la citadelle de Turin. Sa fonction d'officier du génie militaire a cessé après la reddition de la citadelle. Mis ensuite à la disposition du ministère de l'Intérieur le 4 mai 1814, il est mis à la disposition du roi de Sardaigne pour poursuivre les travaux du pont sur le Pô jusqu'en octobre 1814. Il est ensuite nommé ingénieur des ponts et chaussées dans le département de la Lozère où il entreprend les démarches nécessaires à la construction du pont sur le Tarn à Florac. Il est nommé chef de service d'un arrondissement du département du Gers, entre le 1er décembre 1814 et le 1er octobre 1821. Il a travaillé à la construction d'un pont de pierre à trois travées sur la Baïse à Condom. Il a restauré le réseau routier du Gers en utilisant un procédé identique à celui mis au point par MacAdam. Le 1er octobre 1821, il est nommé chef de service de l'arrondissement de Moissac dans le département du Tarn-et-Garonne où il est chargé de la construction du pont de Moissac. Il est nommé ingénieur civil de 1ère classe le 1er juin 1824. Le 15 juillet 1825, il est chargé d'achever le projet de canal entre Toulouse et Montauban. Il a donné les projets de toutes les œuvres d'art à construire avec leurs estimations. Le 6 février 1826, il est chargé des études pour le projet de canal latéral à la Garonne entre Toulouse et le Tarn. Le 17 juillet 1827, il est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées par intérim pour le département du Tarn-et-Garonne jusqu'à la fin du mois d'octobre 1828. Le 28 octobre 1828, il est nommé ingénieur en chef du département du Lot. Il est nommé chef mécanicien de 2e classe le 25 octobre 1829. Il est nommé ingénieur en chef de 1ère classe des ponts et chaussées le 28 août 1835, ingénieur en chef directeur le 3 juin 1839. Après 1830, l'industrialisation du bassin Aubin-Decazeville rend nécessaire la navigabilité du Lot, seule voie d'eau permettant le transport du charbon et des produits métallurgiques. Le 27 novembre 1832, le directeur général des ponts et chaussées lui confie l'étude du projet d'amélioration de la navigation du Lot entre Livinhac-le-Haut et la limite du département de Lot-et-Garonne. Ces travaux commenceront à partir de 1838 et dureront jusqu'en 1848. Les travaux spectaculaires se feront en amont de Cahors avec une série de canaux de dérivation souterrains comme celui de Capdenac et des digues rétrécies. Pellegrini a restauré les écluses construites sous le règne de Louis XIV dans la basse vallée du Lot...
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Début du XIXe siècle École française Ben Vautier Art

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Huile

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