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Peintures de Charles Ryan

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Artiste: Charles Ryan
Garçon et chien
Par Charles Ryan
Médium : Peinture à l'huile Signature : Signé en bas à gauche
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années 1930 Peintures de Charles Ryan

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Huile

L'angle le plus accueillant de Oakville
Par Charles Ryan
Médium : Huile sur toile Signature : Signé sur le devant de la toile et crayonné sur le châssis arrière Peut-être une illustration originale d'un magazine pour le Saturday Evening P...
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XVIIIe siècle Maîtres anciens Peintures de Charles Ryan

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Toile, Huile

Portrait masculin et féminin, tous deux dans un kimono en soie, probablement de marchands de textiles
Par Christoffel Lubieniecki
CHRISTOFFEL LUBIENIECKI (1659-1729) Paire de portraits d'un gentilhomme et d'une dame, tous deux en kimono de soie, devant une maison de campagne (vers 1680) Signature indistincte...
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1680 Maîtres anciens Peintures de Charles Ryan

Matériaux

Toile, Huile

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Par Andre Minaux
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Milieu du XXe siècle École française Peintures de Charles Ryan

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Toile de coton, Huile

Portrait du sénateur Bartolomeo Panciatichi par Santi di Tito (1574)
Ce portrait de Santi di Tito, récemment redécouvert, représente un sénateur de Florentine, avec une lettre à la main indiquant que le tableau a été exécuté en 1574, à l'âge de 66 ans. Sur la base de ces indices, il est tentant d'y voir un portrait de Bartolomeo Panciatichi, peint une trentaine d'années auparavant par Bronzino (1503 - 1572). Si le traitement des mains rappelle la tradition florentine des portraits maniéristes, la comparaison avec le portrait de Bronzino illustre la recherche d'un plus grand réalisme de la part de Santi di Tito, malgré une composition stéréotypée. 1. Santi di Tito, peintre et portraitiste de la Contre-Réforme Santi di Tito est le grand peintre de la Contre-Réforme florentine. Il propose un nouveau langage artistique en rupture avec le maniérisme. On sait peu de choses sur sa formation à Florence (peut-être aux côtés de Bronzino ou de Baccio Bandinelli), mais cette période de formation lui permet d'entrer en 1554 dans la Compagnie de Saint-Luc, la guilde des peintres de Florentine. Entre 1560 et 1564, Santi di Tito séjourne à Rome, où il fréquente l'atelier de Taddeo Zuccari. Ce séjour a eu une influence fondamentale sur son travail, grâce à la découverte de l'œuvre tardive de Raphael, mais aussi à ses rencontres avec les peintres Francesco Salviati et Federico Barocci. Vers 1565, Santi di Tito retourne à Florence, où il reste jusqu'à la fin de sa vie, partageant ses talents entre la réalisation d'importantes peintures religieuses et d'innombrables portraits. Il devient l'un des principaux peintres de la ville, se distinguant notamment par la création de grandes compositions religieuses dans lesquelles se reflète l'esprit de la Contre-Réforme. En 1568, Santi di Tito devient membre de la Confraternité de Saint Thomas d'Aquin, dont les membres sont de fidèles observateurs des principes élaborés lors du Concile de Trente. Vers 1574 (l'année de notre portrait), il réalise l'un de ses chefs-d'œuvre, La Résurrection, pour la basilique de Santa Croce à Florence dans laquelle il se démarque des œuvres florentines précédentes en proposant une représentation proche des textes sacrés, débarrassée de tout élément lascif ou purement ornemental. Son style, marqué par la préférence florentine pour le dessin, continue d'évoluer vers une peinture lumineuse et naturaliste qui inspirera les peintres de la génération suivante. 2. Santi di Tito en tant que portraitiste Malgré, ou peut-être à cause de l'ampleur de sa production et contrairement à ses peintures religieuses, les portraits de Santi di Tito n'ont pas fait l'objet d'une étude monographique à ce jour. Il a été établi que Santi di Tito dirigeait un atelier extrêmement actif dans la production de portraits, bénéficiant à la fois des commandes des Médicis et de celles des grandes familles de Florentine. L'inventaire des biens de Santi di Tito, dressé après sa mort le 5 novembre 1603. La liste des portraits qui témoignent de l'importance de cette activité est longue. Cette multiplication du portrait dans la seconde moitié du XVIe siècle reflète l'évolution politique de Florence où Cosimo 1er (mort en 1574, année de notre portrait) instaure une cour à l'organisation hiérarchique. D'une société républicaine et bourgeoise, la société florentine se transforme en une société aristocratique, dans laquelle les grandes familles imitent la famille grand-ducale des Médicis et commandent de nombreux portraits, souvent destinés à constituer des galeries d'ancêtres. L'une des caractéristiques des portraits de Santi di Tito est la description psychologique des personnages, au-delà de l'illustration du statut social par le choix des vêtements et des objets représentés. Deux autres portraits de sénateurs par Santi di Tito sont connus, démontrant l'intérêt de Florentine pour ces portraits d'apparat. 3. Description du portrait Notre sénateur est représenté de trois-quarts, dans un cadre architectural qui pourrait être son bureau. Il est vêtu de l'habit d'apparat des sénateurs de Florentine : une veste bleu nuit recouverte d'une chasuble à liseré rouge, composée d'une gaze transparente devant et d'un tissu de la même couleur que la veste, doublé d'une étoffe rouge, dans le dos. Le traitement de la gaze transparente est d'une grande fluidité. Par les ondulations qu'il donne à la chasuble, le peintre parvient à traduire la vie qui anime ce corps imposant. Notre sénateur tient une lettre pliée dans sa main droite ; son poignet repose sur une table drapée d'un tissu vert, tandis que dans sa main gauche il tient une paire de gants. Deux autres objets se trouvent sur la table à sa droite : un livre aux tranches ornées, dont on aperçoit le délicat fermoir, et sur lequel repose un béret quadrangulaire. Comme c'est souvent le cas avec des lettres similaires, elle nous fournit quelques informations sur le contexte de cette peinture. Bien que le nom du modèle ne soit pas indiqué, nous savons, grâce à l'inscription "annus aetatis suae 66 - PAD 1574", qu'il s'agit d'un homme de 66 ans, représenté en 1574. Notre attention est attirée par son regard impérieux ; la photographie rend son visage encore plus imposant, puisqu'il est légèrement allongé afin d'être vu sans déformation par le bas. Ce portrait est un équilibre entre l'imitation (imitare) et le portrait (ritrarre). La grande présence physique du modèle évoquée par sa stature imposante, la précision des proportions et la touche naturaliste du rendu de la barbe établissent un équilibre avec la signification symbolique du vêtement (qui indique clairement la fonction du modèle), et du seul élément de décoration (un livre posé sur la table, qui pourrait être une bible ou un livre de prière). 4. Analyse stylistique Si plusieurs éléments rattachent ce portrait à la tradition picturale florentine développée par les artistes maniéristes, le rendu plus naturaliste du visage témoigne de l'évolution stylistique de Santi di Tito. L'espace idéal dans lequel notre personnage est représenté est très moderne, plein de clarté et de simplicité parfaite, avec une certaine sophistication. Au-delà d'un premier plan délimité par un pilier à droite se trouve un espace concave qui enferme notre personnage. Cet espace architectural s'inscrit dans la tradition florentine développée au cours du XVIe siècle, selon laquelle les portraits se détachent sur un fond architectural, et non plus sur un paysage (comme, par exemple, dans le portrait de Bartolomeo Panciatichi par Bronzino, que nous présenterons plus loin). Le traitement très raffiné des mains rattache notre tableau à la tradition maniériste, et en particulier à l'art de Bronzino ou d'Alessandro Allori, comme l'illustre la comparaison entre la main droite de notre sénateur et la main gauche du jeune homme représenté vers 1560 par Alessandro Allori : La position de notre sénateur, le bras gauche légèrement replié le long du corps et la main droite posée sur la table, est le prototype d'une composition que Santi di Tito reprendra à plusieurs reprises pour des portraits officiels, comme ceux réalisés en 1589 pour Christine de Lorrain, à l'occasion de son mariage avec Ferdinand I+I, ou celui de Marie de Médicis, réalisé à la toute fin du XVIe siècle, avant son départ pour le trône de France. Un dernier détail est intéressant car il révèle l'évolution du style de Santi di Tito vers le naturalisme - et donc son éloignement du maniérisme. Le traitement de la barbe de notre sénateur, à la fois très élaboré et très libre, est proche de celui de l'un des deux fils de Guido Guardi, dans un célèbre portrait de Santi di Tito avec les trois hommes, probablement réalisé dans les années 1570-1580. 5. Proposition d'identification du modèle En 1722, Giuseppe Manni publie un recueil intitulé Serie de' senatori fiorentini, qui donne les principales références chronologiques de tous les membres du Sénat des Quarante-Huit depuis la création de cette institution en 1532. Seuls trois sénateurs remplissent les conditions et pourraient servir de modèle pour notre portrait : ils doivent être nés entre 1507 et 1508, pour avoir 66 ans en 1574. Le premier est Bartolomeo Panciatichi, né le 21 juin 1507 et décédé le 23 octobre 1582. L'autre est Giovanni Ugolini, né le 11 mai 1508 et décédé le 18 août 1588. Élu sénateur en 1540, il est commissaire de Tito et nommé ambassadeur auprès de Sa Sainteté le pape Grégoire XIII en 1572, ce qui semble exclure la réalisation de son portrait par Santi di Tito à Florence en 1574. Quant à Simone Corsi (8 décembre 1508 - 31 mars 1587, élu sénateur en 1556), son anniversaire semble trop proche de la fin de l'année pour permettre la livraison de son portrait en 1574. L'hypothèse Bartolomeo Panciatichi nous semble la plus intéressante, d'autant plus qu'il a posé vers 1545 pour un célèbre portrait de Bronzino (dernier tableau de la galerie) dans lequel on retrouve un certain nombre de traits caractéristiques communs. S'il est toujours difficile de reconnaître un ami sur une photo prise trente ans plus tôt, il est certainement encore plus difficile de reconnaître un inconnu, représenté par deux peintres différents à trente ans d'intervalle. On reconnaît cependant la forme du nez, les pommettes assez hautes, les sourcils finement arqués et la même position de l'oreille dans les deux portraits, malgré la différence de pose, plus frontale chez Bronzino. On retrouve également la même barbe bifide, blanchie par le temps. On peut se demander si l'élégant chapeau du portrait de Bronzino ne cache pas une calvitie naissante. Le béret posé sur la table trente ans plus tard pourrait alors être interprété comme un autre élément naturaliste, le modèle s'acceptant tel qu'il est et acceptant de donner une image la plus proche possible de la réalité physique. Enfin, il est intéressant de comparer les deux expressions, et l'évolution entre le regard distancié et interrogateur du jeune homme peint par Bronzino et le regard intense et légèrement angoissé de l'homme âgé peint par Tito. 6. Quelques informations biographiques sur Bartolomeo Panciatichi Né le 21 juin 1507 à Lyon, où son père avait des intérêts commerciaux, le jeune Bartolomeo entre comme page à la cour de François Ier. Ses liens avec la France sont destinés à durer, puisque Cosimo I+I nomme plus tard Bartolomeo ambassadeur en mission diplomatique auprès du roi qu'il avait autrefois servi, puis auprès d'Henri II. Bartolomeo étudie à Padua entre 1529 et 1531, puis à Lyon, où il entre en contact avec les milieux réformateurs français. En 1534, Bartolomeo épouse Lucrezia di Gismondo Pucci et le couple s'installe à Lyon, ne revenant à Florence qu'à la fin des années 1530. Les voyages entre Florence et la France sont documentés en 1539, 1547, 1549 et 1552, mais ils étaient sans doute plus fréquents. L'intérêt du couple Panciatichi pour les doctrines de la Réforme leur a valu d'être jugés pour hérésie luthérienne en 1552 et de devoir se rétracter publiquement. Ils ont adhéré à une stricte orthodoxie catholique après leur abjuration. Bartolomeo Panciatichi a développé des contacts assez étroits avec le monde littéraire, qui ne se limitait pas à Florence, comme en témoigne son amitié avec Pietro Aretino, établi à Venise. Connu de ses contemporains principalement comme poète latin, Bartolomeo rejoint l'Accademia degli Umidi le 2 janvier 1541, quelques semaines avant Bronzino, et peu avant que le groupe ne devienne l'Accademia Fiorentina. Son portrait fait partie d'un groupe de cinq tableaux commandés par Bartolomeo à Bronzino entre 1540 et 1545 : trois scènes religieuses, deux Saintes Familles et un Christ crucifié inspirés par des idées réformistes, et deux portraits de lui et de sa femme. Nommé sénateur en 1567, Bartolomeo Panciatichi poursuit ensuite une carrière politique, devenant commissaire de Pistoia en 1568 et de Pise en 1578. Le choix d'un livre comme seul accessoire dans son portrait par Santi di Tito est doublement émouvant : il évoque évidemment l'intellectuel, mais la présence de fermoirs sur les côtés indique qu'il s'agit probablement plutôt d'un livre religieux et témoigne de sa profonde foi chrétienne. La majesté de ce portrait est rehaussée par son encadrement dans un magnifique cadre à cassettes en bois doré de la fin du XVIe siècle, qui est probablement son cadre d'origine. L'identification de l'auteur de ce portrait comme étant Bartolomeo Panciatichi ouvre un champ d'analyse fascinant. S'il est tout à fait exceptionnel d'avoir deux portraits d'un homme de la Renaissance peints à moins de 30 ans d'intervalle, le parcours de Santi di Tito, qui s'éloigne des séductions du maniérisme pour aller vers des images plus réalistes, suit l'évolution personnelle du modèle. De l'apparence hautaine et séduisante d'un homme d'une trentaine d'années, il devient un vieillard qui affiche devant nous sa pleine humanité, malgré son pouvoir politique. Principales références bibliographiques : Giuseppe Manni Serie...
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XVIe siècle Maîtres anciens Peintures de Charles Ryan

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Début du 20ème siècle Impressionnisme Peintures de Charles Ryan

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Milieu du XXe siècle Peintures de Charles Ryan

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17ème siècle Maîtres anciens Peintures de Charles Ryan

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Huile

Huile sur toile portrait de la famille noble italienne du comte Zanardi
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Cette huile sur toile de qualité muséale représentant la famille du comte Zanardi est signée par l'artiste - la femme peintre Lucia Casalini Torelli - et publiée dans un livre consacré à l'atelier et à l'académie de Casalini Torelli. Ce chef-d'œuvre palatial provient directement de l'ancienne Villa Maraini Guerrieri - Palidano di Gonzaga (Mantoue), un bâtiment historique du patrimoine italien appartenant aux descendants de la famille représentée pendant plus de deux siècles, jusqu'en 1998. La grande échelle de ce chef-d'œuvre à l'huile sur toile affirme la pertinence de Lucia BIGLI en tant que peintre. La présente œuvre d'art est un portrait de famille formel qui vise à présenter les personnages représentés en fonction de leur rôle social dans la société. La famille noble est rassemblée sous une loggia donnant sur un parc, le paysage à l'arrière-plan est partiellement couvert par un beau tissu rouge sur le côté droit. Le père se lève et tient la main de son fils aîné, présentant fièrement son futur héritier. Le fils porte une robe bleu clair et des bottes rouges, il est représenté dans une pose sérieuse, tenant un chapeau tricorne noir sous le bras et une épée à la ceinture. La mère porte une élégante robe de brocart or et vert foncé, elle est assise avec sa fille cadette sur les genoux tandis que son second fils est à ses côtés. La petite fille porte une belle et longue robe rouge et dentelle blanche et tient une pomme à la main. Le fils se tient à côté de sa mère et est vêtu d'un habit sacerdotal marron. Cette œuvre palatiale de maîtres anciens a probablement été peinte en 1740 en raison de ses similitudes avec le portrait du cardinal Doria, aujourd'hui exposé au musée du palais Doria, la résidence officielle du prince de Gênes. Le tableau présente une toile originale ("prima tela") et une patine d'origine antique. Il est en excellent état général compte tenu de son âge, de son utilisation et de sa grande taille. Un rapport d'état formel détaillé et les résultats de l'inspection avec la lampe UV accompagnés de photos sont disponibles sur demande. Outre sa qualité exceptionnelle et son état de conservation assez parfait, ce tableau est particulièrement important et encore plus précieux tant pour l'artiste qui l'a peint que pour sa provenance absolument exclusive. Collectional a peint les familles nobles les plus importantes et les plus puissantes de son époque. La localisation de ces peintures est inconnue du marché de l'art, car il est extrêmement probable que les portraits soient encore conservés dans des collections privées. En outre, Lucia était l'une des artistes les plus appréciées de son temps, si importante qu'elle a été admise comme membre de l'académie à une époque où les femmes étaient interdites de fréquenter ces études. En 1706, Felice Torelli...
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XVIIIe siècle Maîtres anciens Peintures de Charles Ryan

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Toile, Huile

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Années 2010 Abstrait Peintures de Charles Ryan

Matériaux

Toile, Huile

Caissier 3
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Années 1820 Romantique Peintures de Charles Ryan

Matériaux

Toile, Huile

Self-portrait dans un paysage indonésien
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années 1930 Expressionniste Peintures de Charles Ryan

Matériaux

Feuille d'or

Portrait d'une Geisha
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