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Édouard Loyal Field Art

Américain, 1856-1914

Né dans l'Illinois, Edward Loyal Field peignait fréquemment dans l'esthétique tonaliste, où l'artiste imprégnait toute la scène d'une certaine couleur pour suggérer une brume ou une atmosphère. Ses paysages sont souvent empreints d'un sentiment de nostalgie et d'admiration pour la vie rurale. C'est exactement ce que fait The Boat House, mais sans la couleur de nombreuses compositions tonales. Même sans cette teinte unificatrice, Field a créé un sentiment d'atmosphère et de profondeur en manipulant les valeurs et les marques, ainsi qu'en commençant à estomper tous les objets au loin.

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Artiste: Edward Loyal Field
Village européen
Par Edward Loyal Field
Aquarelle originale de l'artiste américain Edward Loyal Field, réalisée sur du papier d'archives et fixée sur du papier cartonné épais. L'aquarelle représente une scène européenne, p...
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années 1870 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Aquarelle, Papier d'archives

Village européen
Village européen
686 € Prix de vente
20 % de remise
Gravure à l'eau-forte en noir et blanc du 19e siècle, paysage, gravure circulaire, rivière, signée
Par Edward Loyal Field
"The Boat House" est une gravure signée (en bas au centre) par Edward Loyal Field. Elle représente une scène surplombant une rivière au premier plan, où se trouve un ensemble de mais...
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années 1880 Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Eau-forte

Articles apparentés
Portrait de la beauté de la société parisienne du 19ème siècle, période romantique et des années 1830
Par Adele Grasset
Un étonnant portrait d'une beauté mondaine par Adèle Grasset (active vers 1830-1850). Le visage ouvert et les lèvres légèrement souriantes, elle porte une robe typique de la période romantique. Dessiné à la mine de plomb et rehaussé de blanc, le dessin est daté de 1836 Comme comme c'est souvent le cas pour les femmes artistes des XVIIIe et XIXe siècles, il existe peu d'informations biographiques sur Adèle Grasset. Nous savons cependant qu'elle a étudié avec le célèbre artiste François Gérard...
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années 1830 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Papier, Fusain, Gouache

MB 017 (Dessin d'après nature d'un nu féminin par Mark Beard)
Par Mark Beard
Dessin de style académique d'un nu féminin au fusain et à la mine de plomb par Mark Beard, "MB 017". graphite, crayon de Conte et fusain sur papier Arches 30 x 22 pouces sans cadre S...
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années 2010 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Conté, Fusain, Papier d'archives, Graphite

Gravure d'un paysage d'automne à la fin du mois de septembre
Par Federica Galli
Fine di settembre (Albairate, Pisani Dossi) Réf. 395 Gravure originale, signée et numérotée. Edition limitée à 90 exemplaires. Federica Galli était l'une des principales graveuses ...
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années 1980 Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Eau-forte

Gravure d'un paysage d'automne à la fin du mois de septembre
Gravure d'un paysage d'automne à la fin du mois de septembre
560 € Prix de vente
20 % de remise
H 15,48 po l 15,6 po
Portrait d'un garçon tenant un livre, dessin de l'école française, circa 1880
École française vers 1880 Portrait d'un garçon tenant un livre graphite et gouache blanche sur papier 39,5 x 32 cm vue ovale en bon état, légèrement jauni par l'âge Dans son cadre ov...
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années 1880 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Gouache, Crayon

Portrait d'un garçon tenant un livre, dessin de l'école française, circa 1880
Portrait d'un garçon tenant un livre, dessin de l'école française, circa 1880
476 € Prix de vente
20 % de remise
H 15,56 po l 12,6 po
The Carpet Seller, peinture à l'aquarelle orientaliste ancienne du 19ème siècle sur papier
Par Federico Bartolini
Provenance John Welles Hollenback, New York La peinture est signée FBartolini en bas à droite. Federico Bartolini (Italien, 1861 - 1908) Description : Federico Bartolini était un ...
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XIXe siècle Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Papier, Aquarelle

Peonies, aquatinte réaliste de Jane Freilicher
Par Jane Freilicher
Artistics : Jane Freilicher, Américaine (1924 - 2014) Titre : Pivoines Année : 1989 Moyen : Eau-forte avec aquatinte, signée et numérotée au crayon Edition : 25 Taille : 29.5 x 22 in...
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années 1980 Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Eau-forte, Aquatinte

LE PONT AU CHANGE
Par Charles Meryon
Meryon, Charles. LE PONT AU CHANGE. S.40(v), DW.34. Gravure à l'eau-forte avec pointe sèche, 1854. Cinquième état sur douze, avec les inscriptions en cursive, "A.I.C. Meryon del. sc...
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années 1850 Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Pointe sèche, Eau-forte

LE PONT AU CHANGE
LE PONT AU CHANGE
7 480 €
H 12 po l 18 po P 1 po
Vue d'une ville côtière / - La vue des pèlerins
Albert Ernst (1909 Fronhofen - 1996 Hambourg), Vue d'une ville côtière, eau-forte, 30 x 37 cm (image), 45 x 50,5 cm (cadre), signée au crayon en bas à droite " Albert Ernst ", encadr...
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Milieu du XXe siècle Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Eau-forte

Vue d'une ville côtière / - La vue des pèlerins
Vue d'une ville côtière / - La vue des pèlerins
200 € Prix de vente
20 % de remise
H 17,72 po l 20,08 po P 0,79 po
Étude pour Alyssa II
Par Stephen Bauman
Portrait d'une jeune femme dessiné au fusain. "L'intensité émotionnelle que l'on retrouve dans le travail figuratif de Bauman est stupéfiante. L'une des caractéristiques des portra...
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années 2010 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Fusain, Papier d'archives

Étude pour Alyssa II
Étude pour Alyssa II
2 640 €
H 10 po l 10 po
« Nymphe avec un Centaure », école française, académique, Grisaille mythologique grecque
Une étude figurative mythologique d'une qualité exceptionnelle, réalisée au pinceau et au lavis, montrant un centaure interrompant le jeu de ses flûtes de Pan pour jeter un regard sp...
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Début des années 1900 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Papier, Aquarelle, Carton à dessin

Une scène orientaliste, aquarelle signée Isidore Pils (1813-1875)
Par Isidore Alexandre Augustin Pils
Isidore Pils (1813-1875) Une scène orientaliste Signé en bas à gauche Crayon et rehauts d'aquarelle sur papier ​​​​​​​15 x 24 cm papier jauni par le temps, taches et une petite déchirure réparée sur le bord supérieur droit. Dans un support moderne 40,5 x 53 cm Isidore-Alexandre-Augustin Pils (1815-1875) était un peintre académique français de sujets religieux et militaires. Pils est né à Paris, fils du soldat François Pils. À l'âge de douze ans, il a étudié avec Guillaume Guillon-Lethière pendant quatre ans. En 1831, il devient élève de l'École des Beaux-Arts et étudie auprès de François-Édouard Picot. Il a concouru pour le Prix de Rome, qu'il a remporté en 1838 pour une peinture d'histoire, Saint Pierre guérissant un homme boiteux à la porte du Temple. Bien que de santé fragile, Pils passe ensuite les trois années habituelles à l'Académie française de Rome, à la Villa Médicis, qui a alors pour directeur Jean Auguste Dominique Ingres. Pendant son séjour en Italie, il a visité Naples, Venise et Florence. Les premières peintures de Pils ont des thèmes religieux. En 1849, il achève son œuvre la plus célèbre, Rouget de L'Isle chantant la Marseillaise, qui se trouve aujourd'hui au Musée historique de Strasbourg. Après avoir voyagé avec les troupes françaises en Crimée, ses thèmes se sont orientés vers des sujets militaires et nationalistes. Il a ensuite réalisé de nombreuses scènes militaires lors du siège de Paris pendant la guerre franco-prussienne de 1870. Pils est nommé professeur de peinture à l'École des Beaux-Arts en 1863, mais part la même année pour deux ans en Algérie. En 1868, il est élu au siège n°14 de l'Académie des Beaux-Arts. Parmi ses élèves figurent Adrien Moreau, Paul Adolphe Rajon, Julien Dupré, Luc-Olivier Merson, Ludovic Piette, Édouard Joseph Dantan et László Mednyánszky...
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années 1870 Académique Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Aquarelle

Soir - La profondeur du visible -
Max Clarenbach (1880 Neuss - Cologne 1952), Soirée. Gravure, 18 x 41 cm (plaque), 33,5 x 57 cm (cadre), portant l'inscription "Abend" au crayon en bas à gauche, signée et datée "M. Clarenbach. 28.III.[19]09". Encadré et monté sous verre. - Légèrement bruni et légèrement roussi. À propos de l'œuvre d'art La gravure allongée horizontalement représente la vue panoramique d'une petite ville vue de l'autre côté de la rivière. Il y a des maisons à pignons sur la gauche et une puissante flèche d'église sur la droite. Les maisons bourgeoises et le grand édifice religieux indiquent le caractère urbain. Ces bâtiments sont rendus dans des tons sombres pour mettre en valeur la rangée de maisons plus claires au centre de l'image, plus proche de l'eau. Le contraste de clair-obscur crée deux plans parallèles qui ouvrent un espace à l'imagination de ce que pourrait être la ville. L'imagination est stimulée par les bâtiments presque entièrement sombres et à peine reconnaissables, tandis que le bras de la rivière qui mène à la ville stimule encore plus l'imagination. Cependant, comme la silhouette de la ville dans son ensemble se reflète dans l'eau, les plans parallèles sont perçus comme une bande de maisons qui s'étend sur toute l'horizontalité de la gravure et semble se poursuivre au-delà des limites de l'image. Le reflet a presque la même intensité que les maisons elles-mêmes, de sorte que la bande de bâtiments se confond avec leur reflet pour former l'unité formelle dominante de l'image. Seules les hachures horizontales parallèles donnent l'impression convaincante de voir de l'eau, démontrant la maîtrise de Max Parallele de l'aiguille à graver. L'eau est totalement immobile, le reflet n'est pas troublé par le moindre mouvement des vagues, ce qui crée une symétrie dans l'unité formelle du paysage urbain et de son reflet qui va au-delà du motif d'un simple paysage urbain. Un ordre pictural est établi qui intègre tout ce qui se trouve dans l'image et qui a un caractère métaphysique en tant que structure d'ordre qui transcende les choses individuelles. Cet ordre pictural n'est pas seulement pertinent dans le monde pictural, mais l'image elle-même révèle l'ordre de la réalité qu'elle dépeint. Révéler l'ordre métaphysique de la réalité dans les structures de sa visibilité est ce qui anime Clarenbach en tant qu'artiste et le motive à revenir au même cercle de motifs. La symétrie décrite est en même temps une asymétrie inhérente qui est une réflexion sur l'art : Alors que le paysage urbain réel est coupé en haut de l'image, que deux cheminées et surtout le clocher de l'église ne sont pas visibles, le reflet illustre la réalité dans son intégralité. Le reflet occupe une place beaucoup plus importante dans l'image que la réalité elle-même. Depuis l'Antiquité, l'art a été compris principalement comme un reflet de la réalité, mais ici Clarenbach montre clairement que l'art n'est pas une simple apparence, qui peut au mieux être un reflet de la réalité, mais que l'art a le potentiel de révéler la réalité elle-même. La structure d'ordre révélée n'est en rien purement formaliste, elle apparaît en même temps que l'ambiance du paysage. L'image est remplie d'un silence presque sacré. Rien dans l'image n'évoque un son, et l'immobilité est totale. Dans les paysages peints par Clarenbach, il n'y a pas de personnes qui apportent de l'action dans l'image. Nous ne nous voyons pas non plus attribuer une position de spectateur dans l'image, de sorte que nous ne devenons pas des sujets thématiques de l'action. Clarenbach s'abstient également de présenter des réalisations techniques. L'absence de l'homme et de la technologie crée une atmosphère intemporelle. Même si la date précise prouve que Clarenbach dépeint un événement qui s'est déroulé sous ses yeux, sans cette date, nous ne pourrions pas dire dans quelle décennie, ni même dans quel siècle, nous nous trouvons. L'immobilité n'a donc pas pour effet de figer le temps dans l'image, mais d'instaurer une éternité intemporelle qui n'en est pas moins, comme l'indique le titre "Abend" (soir) ajouté par Clarenbach lui-même, un phénomène de transition. Le paysage des étals est sur le point d'être complètement plongé dans l'obscurité, les bâtiments derrière lui n'étant que faiblement discernables. L'état légèrement assombri de la feuille est en accord avec cette qualité de transition, qui confère également à la scène une qualité sépia qui souligne son intemporalité. Et pourtant, la représentation est liée à une époque très précise. Clarenbach date l'image du soir du 28 mars 1909, ce qui ne renvoie pas à la réalisation de la gravure, mais à la capture de l'essence du paysage dans le paysage lui-même. Si le paysage réel est donc dans un état de transition, et donc quelque chose d'éphémère, l'art révèle sa véritable nature en ce que la réalité, soumise au flux des phénomènes, est transférée à un moment éternel, soumis à une structure d'ordre supra-temporelle - révélée par l'art. Malgré cette supratemporalité, le tableau montre également les signes avant-coureurs de la nuit comme l'obscurcissement à venir du monde, ce qui confère au tableau un caractère profondément mélancolique, renforcé par le brunissement de la feuille. C'est le contenu philosophique et l'effet lyrico-mélancolique du graphisme qui lui confèrent son pouvoir d'enchantement. Une fois que nous sommes immergés dans l'image, il faut littéralement une secousse pour s'en détacher. Cette gravure, si caractéristique de l'art de Max Clarenbach, est - notamment en raison de ses dimensions - une œuvre majeure de son œuvre graphique. A propos de l'artiste Né dans la pauvreté et orphelin dès son plus jeune âge, le jeune Max Clarenbach, doué pour les arts, a été découvert par Andreas Achenbach et admis à l'Académie des arts de Düsseldorf à l'âge de 13 ans. "Complètement désargenté, je travaillais pour un oncle dans une usine de carton le soir pour payer mes études". - Max Clarenbach À l'académie, il étudie notamment avec Arthur Kampf et, en 1897, il est admis dans la classe de peinture de paysage d'Eugen Dücker. Clarenbach a percé en 1902, lorsque son œuvre Der stille Tag a été présentée à l'exposition de Düsseldorf. Le tableau est acheté par la galerie de Düsseldorf et Clarenbach se fait soudain connaître en tant qu'artiste. L'année suivante, en 1903, il achève sa formation académique et, après s'être marié, s'installe à Bockum, où il travaillait depuis 1901 dans l'ancien Studio d'Arthur Kampf, qui avait déménagé à l'Académie de Berlin. À Bockum, Clarenbach se consacre à l'étude artistique du paysage du Bas-Rhin et développe son style caractéristique. Ce style a également été influencé par ses séjours aux Pays-Bas. Il y étudie les artistes de l'école de La Haye et possède un studio à Flessingue. Lors d'un voyage à Paris, il s'inspire également de l'école de Barbizon. Ainsi influencé, Clarenbach s'est intéressé au paysage lui-même, ce qui l'a amené à développer son propre style de peinture. "La Nature dit tout, il suffit de la laisser parler tranquillement. Chaque arbre a quelque chose à dire. C'est merveilleux, mais très difficile de capter et de reproduire ce qui se dit". - Max Clarenbach En 1908, les Clarenbach s'installent dans la maison Clarenbach à Wittlaer, conçue par Joseph Maria/One pour le peintre, en pleine nature. "Parce que Clarenbach voulait vivre en permanence dans et avec la nature du Rhin inférieur, il fit construire par son ami Olbrich la maison qui correspondait à ses idées de beauté et d'harmonie, au milieu des champs et des prairies traversés par le Schwarzbach". - Ellen Clarenbach Le séjour à Paris est aussi l'occasion de découvrir l'art français le plus récent, qui n'a pas encore été reconnu en Rhénanie. En 1909, Clarenbach et ses anciens amis de l'académie, Julius Bretz, August Deusser, Walter Ophey, Wilhelm Schmurr et les frères Alfred et Otto Sohn, fondent le Sonderbund Westdeutscher Kunstfreunde und Künstler, qui durera jusqu'en 1915. Cezanne, Monet, Renoir, Rodin, Seurat, Signac, Sisley, Vuillard, van Gogh et Picasso étaient représentés dans les expositions. En 1910 et 1911, Kandinsky, Jawlensky, Purrmann, Kirchner et Schmidt-Rottluff les rejoignent. Les expositions progressistes du Sonderbund ont eu l'effet d'une attaque contre les cercles artistiques établis qui n'est pas restée sans récompense. Sous la direction du peintre Carl Vinnen, une "protestation des artistes allemands" est lancée contre "la favorisation antipatriotique des peintres français". La réponse, à laquelle Clarenbach a également participé, a été publiée sous le titre "Im Kampf um die Kunst". Après cette période mouvementée de la vie de Clarenbach, sa carrière artistique a pris un cours plus calme, lui permettant de se concentrer sur son art à l'écart de l'agitation politique. En 1917 - Clarenbach avait déjà reçu de nombreux prix - il succède à Eugen Dücker comme professeur à l'Académie des beaux-arts de Düsseldorf, poste qu'il occupe jusqu'en 1945. Pendant les années sombres du régime nazi, Calle a été représenté à la grande exposition d'art allemand à la Haus der Deutschen Kunst à Munich entre 1938 et 1943 et, bien que son intégrité artistique ait été considérée comme douteuse, il a été inclus dans la liste des artistes indispensables dite "Gottbegnadeten" en 1944. Il a formulé sa démarche artistique en ces termes : "Peu de couleurs, peu de pinceaux. Faites ressortir toutes les formes avec le pinceau plein, large et plat, ne dessinez pas les contours avec le pinceau, ce serait absolument faux. Chaque trait a quelque chose à exprimer, il ne faut jamais surpeindre. Cela demande de la concentration et une grande joie dans le processus". En fin de compte, c'est le même cercle de motifs paysagers qui a attiré Clarenbach tout au long de sa carrière artistique. "Faisant le pont entre tous les bouleversements artistiques et sociopolitiques de l'époque, l'œuvre picturale se révèle être l'expression continue d'une relation profondément ancrée avec la nature et d'un amour durable pour les paysages du Bas-Rhin." - Dietrich Clarenbach Clarenbach n'était pas imprévisible, mais, selon ses propres termes, "concentré" dans son art. Une œuvre comme un processus constant d'approfondissement. Grâce à sa concentration persistante, il a ouvert artistiquement le paysage encore et encore, créant des œuvres qui ne manquent jamais de captiver le spectateur. "Eh bien, à "l'écoute" correspond le "silence", et il nous semble que c'est le motif de base de toutes les peintures de Clarenbach". - Marie-Luise Baume Littérature utilisée Auss-Kat : Max Clarenbach, ein Repräsentant rheinischer Kunst, Schloß Kalkum, Landkreis Düsseldorf-Mettmann, 196. Clarenbach, Dietrich : "Wenn man Rheinländer und dazu noch 'Nüsser' ist, kann man, was man will...
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Début des années 1900 Réalisme Édouard Loyal Field Art

Matériaux

Eau-forte

Soir - La profondeur du visible -
Soir - La profondeur du visible -
464 € Prix de vente
20 % de remise
H 7,09 po l 16,15 po

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