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Paul Leroy Art

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Artiste: Paul Leroy
Peinture à l'huile sur toile datée de 1921, portrait militaire de Paul Leroy
Par Paul Leroy
"Peinture à l'huile sur toile datée de 1921, portrait militaire par Paul LeRoy". Paul Alexandre A. LeRoy (1860-1942), école française. Description : Très belle huile sur toile, repré...
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années 1920 École française Paul Leroy Art

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Feuille d'or

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Portrait d'une jeune fille
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années 1830 École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

Charles Fréchou - Portrait d'enfant avec un chat
Charles FRÉCHOU (Paris 1820 - Paris 1900) Portrait d'un enfant avec un chat Huile sur toile H. 41 cm ; L. 33 cm Signé en bas à gauche et daté 1849 Hormis sa participation au Salon e...
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années 1810 École française Paul Leroy Art

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Toile, Huile

Peinture d'une jeune femme, l'artiste, 19ème siècle peinture à l'huile de maître anonyme
Peint avec inspiration, sensibilité et grâce, ce tableau représente une jeune femme dont le bras droit est légèrement tendu. Bien que nous ne voyions pas sa main, elle doit manifeste...
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années 1870 École française Paul Leroy Art

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Toile, Huile

XVIIIe siècle École française, portrait d'une dame sous le nom de Flora par Robert Le Vrac Tournieres
Portrait d'une dame en Flora Robert Le Vrac Tournieres (1667-1752) Première moitié du XVIIIe siècle École française Huile sur toile ovale, Dimensions : h. 27.2 in, w. 21.7 in Magnifi...
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Milieu du XVIIIe siècle École française Paul Leroy Art

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Toile, Huile

Sketch d'un portrait dansant
École française vers 1840 Sketch d'un portrait dansant Huile sur toile montée sur carton H. 21 cm ; L. 20.5 cm
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années 1830 École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

MUSKETEERS - École française - Figuratif - Peinture à l'huile sur toile italienne
Par Eugenio De Blasi
Mousquetaires - Huile sur toile cm.90x80, Italie, 2006, Eugenio De Blasi (3c59a) La peinture d'Eugenio De Blasi s'inspire du genre néoclassique du peintre français Alex De Andreis q...
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Début des années 2000 École française Paul Leroy Art

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Huile, Toile

Roi de France Louis-Philippe - D'après le baron Gérard
D'après le baron Gérard, vers 1835 Portrait du roi Louis-Philippe Huile sur toile H. 79 cm ; L. 65 cm Collectional : Collection privée, Périgord, par filiation depuis le XIXe siècle...
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années 1830 École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

Jeune femme portrait avec son chien
Par Francois Kinsoen (Kinson)
François-Joseph KINSON (Bruges 1770 - Bruges 1839) Portrait d'une jeune femme près d'une source, accompagnée de son chien Huile sur toile H. 73 cm ; L. 60 cm vers 1815-1817 Nous dev...
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années 1810 École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

Portrait d'une dame . Louis Ferdinand Elle le Jeune. ( Paris, 1612-1689), attribué
Par Louis Elle (Ferdinand)
Portrait d'une dame . Louis Ferdinand Elle le Jeune. ( Paris, 1612-1689), attribué. Vers 1680. Huile sur toile, posée sur carton. Dans un cadre en bois doré du 19e siècle. Un po...
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1680s École française Paul Leroy Art

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Toile, Oil, Carton

Portraits de deux sœurs
Bernard GAILLOT (Versailles 1780 - Paris, 1847) Portraits de deux sœurs Paire d'huiles sur toile H. 92 cm ; L. 73 cm Une signature Élève de David, il présente ses premières œuvres a...
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Début des années 1800 École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

Portraits de deux sœurs
Portraits de deux sœurs
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H 36,23 po l 28,75 po
VESTALE-In the Manner of Bouguereau- Peinture figurative italienne à l'huile sur toile.
Par Giulio Di Sotto
VESTALE - Huile sur toile cm.90x60 de Giulio Di Sotto, Italie, 2011. Cadre en bois doré à la feuille d'or disponible sur demande Ce tableau est la réinterprétation personnelle du che...
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XXIe siècle et contemporain École française Paul Leroy Art

Matériaux

Toile, Huile

Modèle se déshabillant
Julius EXNER (Copenhague, 1825 - Copenhague, 1910) Modèle de dépouillement Huile sur toile H. 122 cm ; L. 74 cm Signé et daté 1842 en bas à droite Exposition : probablement le Salon de Charlottenborg de 1845, sous le numéro 110, intitulé Modelfigur, récompensé par une médaille d'argent. Provenance : Emilio Fernando Bolt (A.I.C. - 1944), acquis auprès de l'artiste vers 1900, puis par filiation. Notre tableau a été réalisé dans le cadre des sessions d'été organisées entre 1839 et 1850 par Christoffer Wilhelm Eckersberg (1783-1853), le maître de la peinture danoise de la première moitié du XIXe siècle, dans son studio-appartement privé situé au rez-de-chaussée. de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Copenhague. Le maître y réunit quelques étudiants entre juin et septembre, loue un ou deux modèles pour la saison, qui sont peints sous différents angles, les artistes (dont Eckersberg lui-même) étant assis côte à côte. Eckersberg avait l'habitude de peindre une version assez petite, les élèves des grands formats. L'œuvre s'inscrit plus généralement dans le contexte légendaire des recherches et réformes menées par Eckersberg concernant les études de nus et en particulier de nus féminins, pour faire de cet exercice un genre de peinture à part entière. Suite à son passage de deux ans dans l'atelier de Jacques-Louis David à Paris en 1811, Eckersberg avait été sensibilisé aux travaux sur le nu et notamment sur des modèles vivants, à la lumière naturelle, alors qu'au Danemark les dessins n'étaient alors réalisés qu'à partir de moulages de modèles antiques ou d'autres mannequins. En 1822, alors qu'il y est professeur depuis 1818, c'est lui qui fait autoriser par l'Académie royale de Copenhague l'étude des nus, non plus le soir à la bougie, mais à la lumière naturelle ; à partir de 1833, c'est encore lui qui permet aux étudiants de travailler sur des modèles féminins nus, même si l'autorisation officielle de l'Académie n'intervient qu'en 1839. C'est cette même année qu'il institue ses sessions d'été, à titre privé, pour orienter sa peinture et celle de ses élèves vers une nouvelle conception de la représentation des modèles : même si le nu reste le véritable thème, il ne s'agit cependant pas d'un simple exercice académique. Le sujet est placé dans un intérieur contemporain, au décor plutôt sophistiqué, et occupé à une activité intime (c'est ce type de veine intime que l'on retrouvera plus tard chez Dega ou Cassatt par exemple) ; ainsi dans notre tableau, la jeune femme est censée se déshabiller pour se laver. L'objectif est que le spectateur oublie que le maître et ses élèves sont en train de peindre un modèle lors d'une séance de pose, et qu'il ait plutôt l'impression d'être seul avec le modèle, mais invisible, presque comme un voyeur malgré lui. De plus, dans ces tableaux, le modèle ne regarde jamais vers le spectateur, induisant une distance psychologique avec lui, alors que modèle et artiste sont en réalité physiquement très proches. D'autre part, il ne s'agit pas non plus de nus idéalisés, même si Eckersberg, preuve de sa dette à l'égard de l'antique, choisit des modèles et des poses assez classiques. La sensualité est réelle et très présente, avec des expressions rêveuses, voire innocentes, et intemporelles (les modèles ne semblent pas avoir d'âge défini), des attitudes et des mouvements suaves et lents, et surtout avec des vêtements qui cachent ou révèlent habilement des parties du corps féminin : haut des fesses, hanches prononcées.... Réalisée par un artiste de moins de 20 ans, notre peinture sensuelle est probablement l'une des plus belles et des plus spectaculaires produites par les étudiants d'Eckersberg lors de ces sessions d'été. Avec un équilibre parfait entre la fermeté d'une statue antique (elle rappelle la Vénus de Milo) et la douceur des formes féminines, soulignée par une palette harmonieuse, elle capte l'attention par de nombreux détails : les plis presque photographiques vêtements blancs et tissu brun posés sur le fauteuil, le subtil dégradé de vert de la tenture murale, la teinte rose des extrémités (pieds, mains, visage) reflétant la gêne probable du modèle malgré son professionnalisme, les cheveux soigneusement peignés et plaqués selon la mode de l'époque (notamment au Danemark), le rendu très réaliste du tissu brillant de l'assise du fauteuil, le minuscule reflet de la fenêtre dans le vernis du pied en acajou de la table, le jeu d'ombres et de lumières sur les différents matériaux, et surtout le dialogue entre la sinuosité du dossier du fauteuil et celle du corps de la jeune femme. Il n'est pas étonnant qu'il ait reçu une médaille d'argent au Salon de Charlottenborg (l'équivalent de notre Salon des Beaux-Arts de Paris) en 1845. Julius Exner, fils d'un musicien tchèque émigré au Danemark à l'époque des guerres napoléoniennes, a été formé à la peinture d'histoire par Lund (1777-1867) et par Eckersberg, avant de devenir à partir des années 1850 le principal représentant du "romantisme danois", avec des scènes traditionnelles et folkloriques du peuple danois, notamment de l'île d'Amager. Il voyage en Europe (Allemagne, Autriche, Suisse, Italie) à la fin des années 1860, et notamment en France, où il a déjà envoyé deux tableaux à l'Exposition universelle de Paris de 1855 (il exposera encore à celle de Paris en 1878), et fait plusieurs séjours en Suède où il est reçu membre de l'Académie royale des arts de Stockholm en 1866. Il a occupé plusieurs postes au sein de l'administration des Beaux-Arts au Danemark. Le tableau le plus connu des premières années d'Exner est celui, daté de 1843, représentant des étudiants en art parmi les sculptures en plâtre de l'Academy Fine Paintings de Copenhague, et qui sera exposé au salon de Charlottenborg en 1844 (il se trouve aujourd'hui au Staten Museum for Kunst de Copenhague). Mais il semble qu'Exner ait également participé à l'édition de 1842 avec un dessin et qu'il y ait obtenu une médaille d'argent. La date de notre tableau présente une incertitude qui n'a pas encore été complètement résolue. D'après les journaux d'Eckersberg, généralement détaillés, il n'y a pas eu de session d'été en 1842 (comme en 1845 et 1846). En revanche, on retrouve le même modèle féminin avec une attitude similaire dans plusieurs œuvres produites par Eckersberg et ses élèves, a priori au cours de la session de 1844 (notons que cette session est la dernière pour laquelle nous connaissons des œuvres). Nous savons que cette session a eu lieu en août et septembre, sans que le nom du modèle soit précisé (voir note 1 pour le détail des modèles entre 1839 et 1843) et nous connaissons les élèves participants - Julius Exner, Joël Ballin (1822- 1885), Geskel Saloman (1821-1902), et une artiste femme, Caroline Behrens - ainsi que les œuvres qui s'y rapportent. Le petit tableau (34,2 x 30,2 cm) d'Eckersberg est conservé dans une collection privée danoise ; le maître s'est amusé à modifier le mobilier, et l'œuvre est traditionnellement décrite comme datant de 1844 ; mais est-ce parce que le tableau porte une inscription 1844 (et dans ce cas, notre œuvre aurait sans doute été réalisée la même année), ou est-ce uniquement par analogie avec le tableau (102 x 77 cm, collection privée) de Collection Sal, lui -même signé et daté de 1844 ? Mais la signature et la date de 1844 du tableau de Saloman ont été apposées plus tard, en 1898, et on peut se demander si Saloman, alors âgé de 77 ans, n'aurait pas fait une confusion avec la véritable année d'exécution de son tableau ? Quant à la version de Joël Ballin (117 x 92 cm, Loeb Danish Art Collection, USA), elle ne porte ni date ni signature, et a été donnée à l'artiste par élimination. En définitive, malgré les dates incertaines des versions d'Eckersberg et de Saloman, l'absence de références à une session d'été en 1842 nous fait penser que notre tableau d'Exner a été exécuté en 1844. Comment expliquer alors cette date ? de 1842 ? Peut-être Exner, à l'occasion du Salon de Charlottenborg de 1845, a-t-il voulu, en datant son tableau de 1842, démontrer un talent très précoce en faisant croire qu'il avait pu réaliser un petit chef-d'œuvre à seulement 17 ans ? Ou, comme on peut le supposer pour la version de Can, a-t-il apposé cette date par erreur dans ses vieux jours, par exemple lorsqu'il a donné son tableau à Fernando Bolt ? La famille de Fernando Bolt avait émigré en Amérique du Sud vers le milieu du XIXe siècle et lui-même, pâtissier de métier, était né au Pérou, d'où la consonance hispanique de son prénom. Il retourne régulièrement au Danemark, et c'est à Copenhague que naît son fils Niels Peter...
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années 1840 École française Paul Leroy Art

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Modèle se déshabillant
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