Passer au contenu principal
Vous voulez plus d'images ou de vidéos ?
Demander au vendeur plus d'images ou de vidéos

Très beau buste d'une jeune beauté en marbre blanc du XIXe siècle par René Rozet

À propos de cet article

Très beau et grand buste en marbre blanc du XIXe siècle représentant une jeune beauté, supposée être une jeune "Marie Antoinette" (Reine de France 1755-1793), par René Rozet (Français, 1859-1939). Le magnifique buste en marbre, délicatement sculpté et sensuel, de la jeune beauté posant avec un regard de profil et des cheveux bouclés tirés en arrière, couronné d'une guirlande florale, sa robe enveloppée avec de la dentelle et des franges attachée avec un bouton central, sur un socle en marbre rose Brocatelle et reposant sur un piédestal cylindrique en marbre jaune de sienne tacheté avec un socle carré en marbre blanc. Signé : R. Rozet. Circa : Paris, 1870-1880. Le sculpteur René Rozet (1859-1939), né à Paris, a été formé à l'Académie des Beaux-Arts avec son camarade Louis Majorelle auprès du célèbre sculpteur Aimé Millet. Il expose régulièrement au Salon de Paris ainsi qu'au Salon des Artistes Français, où il est récompensé Hors Concours et d'une médaille d'or en 1927. Il a été décoré de la Légion d'honneur en 1912. Littérature : BENEZIT, E., Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, tome 12, Paris, 1999, S. 63. Marie-Antoinette (/m?'ri ? æntw?'n?t/ ou /æntw??'n?t/ ; français : [ma?i ?~twan?t] ; baptisée Maria Antonia Josepha Johanna (2 novembre 1755-16 octobre 1793), née archiduchesse d'Autriche, est dauphine de France de 1770 à 1774 et reine de France et de Navarre de 1774 à 1792. Elle est le quinzième et avant-dernier enfant de Marie-Thérèse d'Autriche et de François Ier, empereur du Saint Empire romain. En avril 1770, lors de son mariage avec Louis-Auguste, Dauphin de France, elle devient Dauphine de France. Elle a pris le titre de Queen of France et de Navarre lorsque son mari est monté sur le trône sous le nom de Louis XVI, à la mort de son grand-père Louis XV, le 10 mai 1774. Après sept ans de mariage, elle donne naissance à une fille, Marie-Thérèse Charlotte, la première de ses quatre enfants. Les Français ont fini par la détester, accusant "l'Autrichienne" (qui signifie littéralement la femme autrichienne, mais qui suggère aussi le mot français "chienne") d'être prodigue, d'avoir des mœurs légères et de nourrir des sympathies pour les ennemis de la France, en particulier l'Autriche, son pays d'origine. L'incident du collier de diamants a encore terni sa réputation. Elle est ensuite surnommée Madame Déficit, car la crise financière de la France est imputée à ses dépenses somptuaires et à son opposition aux réformes sociales et financières de Turgot et de Necker. Après l'assignation à résidence de la famille royale à Paris par les révolutionnaires, une tentative de fuite (la fuite à Varennes) a des effets désastreux sur l'opinion publique française : Louis XVI est déposé et la monarchie abolie le 21 septembre 1792 ; la famille royale est ensuite emprisonnée à la prison du Temple. Neuf mois après l'exécution de son mari, Marie-Antoinette est elle-même jugée, condamnée par le Tribunal révolutionnaire pour trahison des principes de la Révolution et exécutée par la guillotine le 16 octobre 1793. Longtemps après sa mort, Marie-Antoinette reste une figure historique majeure liée aux positions conservatrices et à celles de l'Église catholique ; et une icône culturelle majeure associée au glamour, à la richesse et à un certain style de vie basé sur le luxe et la célébrité, qui séduit aujourd'hui les élites sociales et culturelles ; fréquemment citée dans la culture populaire, elle a fait l'objet de plusieurs livres, films et autres formes de médias. La plupart des universitaires et des chercheurs l'ont considérée comme la représentante par excellence du conflit des classes, de l'aristocratie occidentale et du gouvernement absolutiste, en plus d'être frivole et superficielle ; ils lui ont attribué le début de la Révolution française, ainsi que le début des guerres révolutionnaires françaises de 1792, qui se sont terminées par le Congrès de Vienne avec ses millions de victimes et l'introduction d'idées nationalistes et modernes. D'autre part, Marie-Antoinette a soutenu la Révolution américaine de 1776 et la guerre d'Indépendance américaine, et a contribué à inspirer une réaction conservatrice en France après 1791, qui a vu sa plus grande manifestation dans la guerre de Vendée qui a conduit, plusieurs années après la mort de la reine, à la fin de la Révolution et au retour des idées conservatrices et religieuses en France et en Europe. Cette tendance s'est manifestée pour la première fois sous la plume d'Edmund Burke, le plus important théoricien de la pensée conservatrice moderne, qui a critiqué la Révolution dès 1790 et défendu Marie-Antoinette dans ses différents ouvrages. Pour certains, Marie-Antoinette a été victime de l'ambition de sa famille et de la situation générale en France. Par ailleurs, même certains de ses détracteurs reconnaissent ses qualités de mère, son courage dans la mort, voire son charisme. Elle a également soutenu les arts, les sciences et la mode. Les débuts de la vie Marie-Antoinette est née le 2 novembre 1755 à Vienne. Elle est la fille cadette de l'impératrice Marie-Thérèse et de l'empereur François Ier. Marie-Antoinette n'est pas une enfant solitaire. Ceci est évident dans ses relations avec sa sœur, Maria Carolina. La scolarité d'Antonia a été plutôt médiocre. À l'âge de dix ans, elle avait encore du mal à écrire correctement. Les conversations avec elle étaient guindées. Antonia a appris à jouer de la harpe et du clavecin. Lors des réunions familiales du soir, elle chantait, car elle avait une belle voix. Elle excellait également en danse, avait une prestance "exquise" et adorait les poupées. Ses relations avec sa famille sont assez complexes, surtout avec sa mère, qui l'aime, mais l'élève strictement avec la ferme intention que sa fille cadette devienne reine. Marie-Antoinette déclara un jour, alors qu'elle était reine de France : "J'aime l'impératrice, mais elle me fait peur, même à distance ; quand je lui écris, je ne me sens jamais tout à fait à l'aise" Mariage avec Louis : 1770-1793 Maria Antonia se marie par procuration le 19 avril à Vienne avec le Dauphin. Marie-Antoinette est officiellement confiée à la comtesse de Noailles, sa dame d'honneur jusqu'en 1775, chargée de veiller à ce que Marie-Antoinette se comporte correctement à la cour. Avant d'arriver à Versailles, elle rencontre également ses beaux-frères, Louis Stanislas Xavier, comte de Provence, et Charles Philippe, comte d'Artois. Plus tard, elle rencontre la plus jeune sœur de son mari, Madame Élisabeth. Médaillon de profil de Marie-Antoinette en tant que Dauphine de France en 1770, allégorie de son mariage. La cérémonie du mariage a eu lieu le 16 mai 1770, au château de Versailles, après quoi a eu lieu le rituel de la mise au lit. L'absence de consommation du mariage a entaché la réputation de Louis-Auguste et de Marie-Antoinette pendant les sept années à venir. Le mariage de Marie-Antoinette et de Louis-Auguste a suscité des réactions mitigées. D'une part, la Dauphine elle-même était populaire auprès du peuple. Sa première apparition officielle à Paris, le 8 juin 1773 aux Tuileries, est considérée par de nombreux témoins comme un succès retentissant. Les gens étaient facilement charmés par sa personnalité et sa beauté. Elle avait la peau claire, des cheveux blond paille, des yeux bleus et, avec ses talons hauts et sa grande silhouette majestueuse, elle dépassait d'une tête ses connaissances de la cour, y compris sa famille. D'autre part, les opposants à l'alliance avec l'Autriche et d'autres, comme la comtesse du Barry, entretiennent des relations ténues avec le Dauphiné. Il était important pour elle d'améliorer sa relation avec la comtesse du Barry, du moins en apparence, car Madame du Barry était la maîtresse de Louis XV et avait donc une influence politique considérable sur le roi. En fait, du Barry avait contribué à évincer le duc de Choiseul, qui avait aidé à orchestrer l'alliance franco-autrichienne ainsi que le mariage de Marie-Antoinette. Après des mois de pression continue de la part de sa mère et du ministre autrichien, le comte de Mercy-Argenteau, Marie-Antoinette accepte à contrecœur de parler à Mme du Barry le jour de l'an 1772 afin de mettre fin à toute protestation française concernant le partage de la Pologne. Bien que leur conversation se soit limitée à un commentaire banal de Marie-Antoinette à la maîtresse royale selon lequel "il y a beaucoup de monde à Versailles aujourd'hui", Mme du Barry est satisfaite de sa victoire, car elle contrôle la vie quotidienne de Marie-Antoinette jusqu'en 1774, faisant d'elle une prisonnière virtuelle à la cour, sous son contrôle, et la crise est en grande partie dissipée. Plus tard, Marie-Antoinette devient plus polie envers la comtesse parce qu'elle a besoin de son approbation avant de faire quoi que ce soit d'important, ce qui plaît à Louis XV, mais aussi particulièrement à sa mère. Dès le début, la Dauphine doit faire face aux lettres incessantes de sa mère, qui reçoit de Mercy d'Argenteau des rapports secrets sur le comportement de sa fille. Marie-Antoinette a également commencé à former des amitiés profondes avec diverses dames de sa suite. La princesse de Lamballe, qu'elle nomme surintendante de sa maison, est la plus connue. Parmi les autres personnes mises dans sa confidence à cette époque figure Christophe Willibald Gluck, son ancien professeur de musique, qu'elle prend sous son patronage. Le 10 mai 1774, Louis XV meurt. Le 12 mai, le nouveau roi Louis XVI sous l'influence de la reine, par lettre de cachet, exile Mme du Barry. Le 14 mai, Marie-Antoinette écrit à sa mère : " Le public s'attendait à beaucoup de changements dans le moment ; : le roi s'est contenté d'envoyer la créature au couvent et de chasser de la cour tous ceux qui portent ce nom de scandale. (Dans une lettre à Mercy datée du 18 mai, Marie-Thérèse mentionne la lettre que Marie-Antoinette lui a adressée : "elle m'en a écrit avec véhémence, la traitant de créature..."). Le 11 juin 1775, Louis est couronné roi Louis XVI de France à la cathédrale de Reims. Selon la coutume, Marie-Antoinette n'a pas été couronnée à ses côtés. Si elle avait été couronnée reine de France, la cérémonie aurait eu lieu à la basilique de Saint-Denis. Reine : 1774-1792 1774-1778 : Premières années Au départ, la nouvelle reine n'a qu'une influence politique limitée auprès de son mari. Louis empêche plusieurs de ses candidats, dont Choiseul[43], d'accéder à des postes importants, avec l'aide de ses deux ministres les plus importants, le ministre principal Maurepas et le ministre des Affaires étrangères Vergennes. Malgré cela, la reine joue un rôle décisif dans la disgrâce et l'exil du plus puissant des ministres de Louis XV, le duc d'Aiguillon. La reine s'enfonce encore davantage dans les divertissements coûteux que sont l'achat de ses robes chez Rose Bertin et les jeux d'argent à grande échelle. Pour les occasions officielles, elle adopte une coiffure, le pouf, qui la fait paraître plus grande d'un pied, en plus de ses hauts talons, lui donnant une présence majestueuse et dominante sur les têtes de sa cour, faisant d'elle le centre de la vie sociale à Versailles. Cette coiffure a été créée peu de temps auparavant par son coiffeur, Léonard Autié. Elle commence également à attirer divers admirateurs masculins, dont le baron de Besenval, le duc de Coigny et le comte Valentin Esterházy. Elle a eu toute latitude pour rénover le Petit Trianon, qui lui avait été offert par Louis XVI le 15 août 1774. Le Petit Trianon a été associé à l'extravagance perçue de Marie-Antoinette. Avec le "jardin anglais", Marie-Antoinette et sa cour adoptent la robe anglaise d'indienne, de percale ou de mousseline. La tradition du costume à la cour de Versailles a été rompue après plus de dix ans. Des rumeurs circulent selon lesquelles elle aurait recouvert les murs d'or et de diamants. Sa dame d'honneur Jeanne-Louise-Henriette Campan a défendu sa réputation et sa simplicité. Le remboursement de la dette française reste un problème difficile, encore aggravé par les pressions exercées par Vergennes et surtout par Marie-Antoinette sur Louis XVI pour qu'il implique la France dans la guerre de la Grande-Bretagne contre ses colonies d'Amérique du Nord ; la reine joue un rôle très important dans le soutien de la Révolution américaine en obtenant tout d'abord le soutien de l'Autriche et de la Russie à la France, ce qui aboutit à l'établissement d'une ligue neutre qui met fin aux attaques de l'Angleterre contre le commerce international ; Deuxièmement, la reine a envoyé une grande partie de sa suite combattre en Amérique ; troisièmement, Marie-Antoinette a soutenu Franklin et Jefferson dans leur vie sociale à Paris et à Versailles, dans leur travail de ministres en France ; enfin, la reine a nommé les ministres de la guerre et de la marine en 1780, qui ont réussi à aider George Washington à vaincre les Britanniques dans la guerre révolutionnaire américaine et à mettre fin à la guerre en 1783. Dans l'atmosphère de la première vague de libelles, l'empereur du Saint-Empire romain germanique Joseph vient rendre visite à sa sœur et à son beau-frère le 18 avril 1777. Au cours des six semaines de visite à Versailles qui ont suivi, Joseph a cherché à savoir pourquoi le mariage royal n'avait pas été consommé. Il arrive rapidement à la conclusion qu'il n'existe aucun obstacle aux relations conjugales du couple, si ce n'est le manque d'intérêt de la reine et la réticence du roi à s'investir dans ce domaine. Dans une lettre à son frère Léopold, Joseph les a décrits de manière imagée comme "un couple de parfaits gaffeurs". Grâce à l'intervention de Joseph, le mariage est finalement consommé en août 1777. Huit mois plus tard, en avril, on soupçonne que la reine est finalement enceinte de son premier enfant, ce qui est confirmé le 16 mai 1778. Mesures : Hauteur totale : 81 1/2 pouces (207 cm) Hauteur du buste : 33 1/8 pouces (84 cm) Largeur du buste : 28 3/8 pouces (72 cm) Profondeur du buste : 12 5/8 pouces (32 cm) Hauteur du piédestal : 48 3/8 pouces (123 cm) Largeur du piédestal : 14 5/8 pouces (37 cm) Profondeur du piédestal : 38 cm.
  • Créateur:
    René Rozet 1 (Sculpteur)
  • Dimensions:
    Hauteur : 207,01 cm (81,5 po)Largeur : 59,39 cm (23,38 po)Profondeur : 37,17 cm (14,63 po)
  • Style:
    Rococo (Dans le style de)
  • Matériaux et techniques:
  • Lieu d'origine:
  • Période:
  • Date de fabrication:
    vers 1870-1880
  • État:
    Usure conforme à l'âge et à l'utilisation. Défauts mineurs. Un buste vraiment étonnant. L'état général est très bon. Quelques frottements d'âge, trous d'épingle et rayures de surface d'âge, légères pertes de sculpture sur les fleurs. Un peu de ponçage doux au dos. La base blanche du piédestal présente des entailles, des pertes et des usures. Veuillez regarder toutes les images.
  • Adresse du vendeur:
    Los Angeles, CA
  • Numéro de référence:
    Vendeur : Ref.: A2599 - Lot 114081stDibs : LU1796227695992
Plus d'articles de ce vendeurTout afficher
  • Buste italien sculpté en albâtre bicolore d'une jeune beauté du 19e-20e siècle
    Buste italien en albâtre coloré du 19e au 20e siècle représentant une jeune beauté. Le buste en albâtre bicolore, finement sculpté, représente une jeune fille posant avec un regard d...
    Catégorie

    Antiquités, Début des années 1900, italien, Country, Bustes

    Matériaux

    Albâtre

  • Sculpture en marbre sculpté du XIXe siècle représentant un jeune garçon Prince sur un oreiller
    Par Jean-Baptiste Pigalle
    Très belle et charmante sculpture française du XIXe siècle en marbre blanc sculpté représentant un jeune prince assis sur un coussin à glands. À la manière de Jean-Baptiste Pigalle (...
    Catégorie

    Antiquités, XIXe siècle, Français, Rococo, Sculptures - Figuratif

    Matériaux

    Marbre

  • Belle commode italienne grandeur nature en marbre sculpté représentant une femme en position de repos, datant du 19ème-20ème siècle
    Par Antonio Frilli
    Buste en marbre italien du 19e au 20e siècle représentant une dame portant un chapeau. Le buste en marbre magnifiquement sculpté représente une dame posant avec un regard à sa droite...
    Catégorie

    Antiquités, Début des années 1900, italien, Romantique, Bustes

    Matériaux

    Marbre

  • Paire monumentale françaises d'urnes torchères à flambeaux Putto du XIXe - XXe siècle
    Par René Rozet 1
    Paire monumentale de torchères flambeaux en bronze doré et patiné Rosso Granite du XIXe siècle, chacune représentant une paire de Putti (enfants) allégoriques tenant une urne enflamm...
    Catégorie

    Antiquités, années 1890, Français, Louis XV, Sculptures - Figuratif

    Matériaux

    Granit, Bronze

  • Buste de Marianne en toute armure du 19ème siècle en bronze et marbre blanc
    Buste en bronze et en marbre de Marianne en armure, datant du XIXe siècle. La figure de Marianne, personnification allégorique de la République française, joliment moulée en bronze p...
    Catégorie

    Antiquités, XIXe siècle, Français, Néo-baroque, Sculptures - Figuratif

    Matériaux

    Marbre, Bronze

  • Belle sculpture en marbre blanc du 19ème siècle représentant Rebecca au puits
    Belle sculpture en marbre blanc du XIXe siècle représentant "Rebecca au puits", une jeune fille classique vêtue d'une robe, un sein semi-exposé, debout près d'un puits tenant une urn...
    Catégorie

    Antiquités, Fin du XIXe siècle, Inconnu, Néoclassique, Sculptures - Figu...

    Matériaux

    Marbre

Suggestions
  • Rozet René, ""Musicien"". Sculpture en marbre de Carrare, Période 19ème siècle
    Par René Rozet 1
    Cette sculpture statuaire en marbre a été réalisée dans les dernières décennies du XIXe siècle par le sculpteur français René Rozet. Il est passé maître dans l'art du portrait en bus...
    Catégorie

    Antiquités, Fin du XIXe siècle, Français, Romantique, Sculptures - Figur...

    Matériaux

    Marbre, Marbre de Carrare

  • Buste de jeune beauté en marbre blanc sculpté du 19ème siècle
    Fabriquée en France vers 1890, cette sculpture ancienne en marbre repose sur une base carrée et représente une jeune fille avec une guitare drapée devant elle. Le buste, signé au dos...
    Catégorie

    Antiquités, Fin du XIXe siècle, Français, Bustes

    Matériaux

    Marbre

  • Buste de jeune beauté française du 19ème siècle en marbre blanc bicolore sculpté
    Fabriqué en France vers 1890, ce buste antique en marbre est une véritable représentation de l'élégance française. La sculpture figurative repose sur une base carrée blanche et grise...
    Catégorie

    Antiquités, Fin du XIXe siècle, Français, Bustes

    Matériaux

    Marbre

  • Buste italien en marbre blanc de Carrare du 19ème siècle représentant un jeune chasseur
    Un buste impressionnant et merveilleusement exécuté en marbre blanc de Carrare italien du XIXe siècle représentant un jeune chasseur. Le buste est surélevé par un piédestal circulair...
    Catégorie

    Antiquités, XIXe siècle, italien, Bustes

    Matériaux

    Marbre de Carrare

  • Buste d'une jeune fille en marbre blanc de Carrare italien du 19e siècle
    Magnifique buste de jeune fille en marbre blanc de Carrare, signé R. Batelli, datant du XIXe siècle. Cette statue merveilleusement charmante représente une jeune fille portant une ro...
    Catégorie

    Antiquités, XIXe siècle, italien, Sculptures - Figuratif

    Matériaux

    Marbre de Carrare

  • Buste italien d'un jeune garçon en marbre blanc de Carrare du XIXe siècle
    Un beau buste en marbre blanc de Carrare du 19ème siècle, de très haute qualité, représentant un jeune garçon. Le buste est surélevé par un élégant support de piédestal en forme de s...
    Catégorie

    Antiquités, XIXe siècle, italien, Bustes

    Matériaux

    Marbre de Carrare

Récemment consulté

Tout afficher