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Théodore Rousseau
Coucher de soleil, tableau emblématique de Théodore Rousseau inspiré de Barbizon

À propos de cet article

Alors qu'une exposition célèbre actuellement l'œuvre de Théodore Rousseau au Petit-Palais à Paris, nous sommes ravis de présenter cette œuvre tout à fait emblématique de son art : à partir de 1847, la représentation d'une forêt dense à l'état primitif devient l'un des sujets de prédilection de l'artiste. Le titre "Sunset" souligne le rôle de la lumière automnale qui illumine une clairière en fin d'après-midi. Dans cette vue, probablement inspirée par la forêt des environs de Barbizon, la palette de Rousseau offre une riche gamme chromatique, rehaussant les bruns dorés de noirs puissants soulignés par quelques touches claires. S'inspirant du regard neuf de ROUSSEAU sur la Nature, et poursuivant ses recherches sur la lumière, la nouvelle génération d'artistes va inventer l'Impressionnisme. 1. Théodore Rousseau, la voix de la forêt Théodore Rousseau est né en 1812 à Paris, fils d'un tailleur jurassien. Envoyé à treize ans dans la province natale de son père, il apprend à connaître et à aimer les forêts du Jura. De retour à Paris, décidé à devenir paysagiste, il étudie brièvement avec Charles Rémond (1795-1875), peintre de paysages historiques, dont l'enseignement ne lui est pas utile et qu'il quitte, en 1828, pour un autre maître, non moins académique, le peintre d'histoire Guillon-Lethière (1760-1832). En 1829, il tente en vain de participer au concours académique du prix de Rome pour le paysage historique. L'année suivante, lors d'une tournée en Auvergne, il peint ses premières études de paysages, très personnelles, sur lesquelles il fonde sa première inscription au Salon en 1831. En 1834, un paysage de caractère "hollandais", Bordure de la forêt de Pierrefonds, est acheté par le duc d'Orléans et lui vaut une médaille au Salon. Entre-temps, il a rejoint une clique de bohèmes réunie autour de Théophile Thoré, socialiste de la première heure et futur critique d'art. L'association de Rousseau avec ces excentriques et dissidents irrite les autorités du Salon, qui se vengent en rejetant ses soumissions. Lors d'une tournée dans le Jura en 1835, il conçoit une vaste composition encombrée, La Descente du bétail des prés, qui l'occupe pendant un an ; elle est catégoriquement rejetée par le Salon de 1836. D'autres refus dans les années suivantes l'ont dissuadé de poursuivre son travail. Le Salon lui étant fermé, il se tourne vers des sujets vendables de taille modeste, traités dans un style naturaliste. À la recherche de motifs, il visite la forêt de Fontainebleau, séjourne à Chailly en 1834 et à Barbizon en 1836. Dans L'Avenue des marrons (Louvre - cinquième tableau de la galerie), peinte au cours des années 1837-1840, il compose une vue symétrique, animée par les torsions des branches entrelacées qui forment une architecture naturelle. Avec Jules Dupré (1811-1889), son ami et compagnon de peinture dans les années 1840, il explore les vastes plaines du Berry et des Landes. En 1845 et 1846, il partage un studio avec Dupré à L'Isle-Adam. Célibataire comblé jusqu'alors, il est conduit au bord du mariage en 1847 par la romancière George Sand qui lui offre la main de sa fille adoptive. Les commérages, que ROUSSEAU impute à Dupré, contrarient la rencontre. Profondément rancunier, il se retire dans le village de Barbizon, à l'orée de la forêt de Fontainebleau, accompagné d'une femme malade, Eliza Gros, avec laquelle il partagera le reste de sa vie. Pour des raisons professionnelles, il a conservé une adresse à Paris. La révolution de 1848, à laquelle il n'a pas pris une part active, a temporairement brisé le pouvoir des jurys académiques. Un comité d'artistes, dont ROUSSEAU, prend en charge le Salon libéré. Le gouvernement de la nouvelle République, pour se faire pardonner sa négligence passée, lui demande un tableau sur un sujet de son choix. Le résultat fut la grande et plutôt formelle Vue de la forêt de Fontainebleau : Coucher de soleil (Louvre - 6e image dans la Gallery). En 1849, à son premier Salon depuis quatorze ans, il expose trois tableaux et reçoit une médaille d'or ; mais Dupré, qui n'a rien exposé, reçoit la croix de la Légion d'honneur. Cela a mis fin à leur amitié. Jean-François Millet, qui s'est installé à Barbizon en 1849, prend désormais la place de Dupré dans la vie de ROUSSEAU. Nommé membre du jury du Salon en 1850, Rousseau expose sept tableaux cette année-là. La Légion d'honneur l'a enfin accepté à la suite du Salon de 1852. Les années suivantes ont été une parenthèse de prospérité dans sa vie. Lors de l'Exposition universelle de 1855, dont il avait participé au jury, sa participation de treize tableaux remporta un succès triomphal. Mais une réaction ne tarde pas à se manifester. Aux Salons de 1857-1863, ses peintures sont accueillies froidement. La demande pour ses œuvres se ralentit ; les ventes organisées en 1861 et 1863 ne donnent que de maigres résultats. Rousseau vit dans un état d'excitation nerveuse, hanté par les créanciers et déprimé par le déclin progressif de sa femme vers la folie. En 1866, des achats importants par les marchands Brame et Durand-Ruel rétablissent temporairement ses finances. La même année, il est élu président du jury artistique de l'Exposition universelle de 1867 et reçoit à l'issue de celle-ci la Grande Médaille d'honneur. Mais, contrairement aux autres membres du jury, il n'a pas été fait officier de la Légion d'honneur. L'empereur lui-même finit par réparer cet affront, mais l'exaspération qu'il avait causée à ROUSSEAU lui brisa la santé. Soigné par Millet, il meurt dans sa chaumière de Barbizon en décembre 1867. Le naturalisme de Rousseau est le fruit d'une étude méditative et non d'une transcription rapide : incapable de spontanéité, il retravaille obstinément ses images en studio. Il concevait la Nature comme un processus de croissance et de dissolution constantes et considérait les arbres comme des créatures semblables, chacune marquée par son propre destin et sa propre lutte. Solitaire, pieux sans religion, matérialiste romantiquement amoureux de la nature, il a cherché dans son œuvre à concilier l'empathie émotionnelle et la vision objective. 2. Description de l'œuvre d'art Le tableau que nous présentons est caractéristique des recherches de ROUSSEAU sur la représentation de la forêt, et plus particulièrement de la forêt dense et peu développée, qui devient l'un de ses sujets de prédilection à partir de 1847. Au-delà d'une clairière avec un étang scintillant au premier plan, un sentier s'enfonce dans la forêt entre deux grands arbres cassés. Un promeneur, peut-être en train de ramasser des fagots de bois, est évoqué par une tache rouge, nous donnant l'échelle de ces troncs imposants. En réduisant la taille de cette figure humaine et en monumentalisant la nature qui l'entoure, Rousseau démontre une nouvelle compréhension de la place de l'homme dans le cosmos. Sur la gauche, un gros rocher à côté d'un groupe de chênes aux branches noueuses indique que nous sommes dans la forêt de Fontainebleau ; c'est l'un des motifs favoris de l'artiste, que l'on retrouve par exemple dans La forêt en hiver au coucher du soleil (dernière image de la galerie). Cette peinture, inspirée par la forêt du Bas-Bréau près de Barbizon, a probablement été commencée vers 1845-1847, mais est restée inachevée dans l'atelier de l'artiste au moment de sa mort. Notre tableau témoigne de la conception unitaire et panthéiste de ROUSSEAU, qui vivait en communion mystique avec la forêt. "Pour lui, les arbres ont une âme, à tel point qu'il considère les dessins qu'il en fait comme des portraits" . Ce souci naturaliste se retrouve ici dans la description minutieuse des deux arbres cassés au centre de la composition, qui contrastent par leur tragique dépouillement avec la majesté des deux chênes sur la gauche, comme abrités derrière un gros rocher. 3. Provenance et encadrement Ce tableau provient de la collection personnelle de Paul Touzet (1898 - 1981). Dans l'entre-deux-guerres, il ouvre sa première galerie rue de l'Université. Il s'installe ensuite rue des Beaux-Arts, où il expose principalement des peintures hollandaises et flamandes. Dans les années 1960, son activité principale devient celle d'expert en ventes publiques et il restera jusqu'à sa mort en 1981 l'un des experts les plus renommés de Paris. Notre panneau est présenté dans un riche cadre néo-Louis XIII, typique de la production de la fin du XIXe siècle et de l'encadrement donné aux tableaux des peintres de Barbizon, nom utilisé plus tard pour désigner ce type d'encadrement. Principales références bibliographiques Théodore Rousseau la voix de la forêt - catalogue de l'exposition du Petit Palais, sous la direction de Servane Dargnies - de Vitry - Editions Paris Musées 2024 Exposition : Le Paysage français de Corot à nos jours, Label Charpentier 1942 - numéro 156 (d'après une étiquette au dos)
  • Créateur:
    Théodore Rousseau (1812-1867, Français)
  • Dimensions:
    Hauteur : 32,09 cm (12,63 po)Largeur : 36,53 cm (14,38 po)
  • Support:
  • Mouvement et style:
  • Période:
  • État:
    7 ½" x 9 ½" (19 x 24 cm) - Encadré 12 5/8" x 14 3/8" (32 x 36.5 cm) Signé en bas à gauche "Th Rousseau". L'attribution à Théodore Rousseau a été confirmée par Michel Schulman, expert de l'œuvre de l'artiste.
  • Adresse de la galerie:
    PARIS, FR
  • Numéro de référence:
    1stDibs : LU1568214269382
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La plupart des tableaux qu'il a exposés étaient des vues de Londres, mais il a également réalisé une série de temples égyptiens qu'il a exposés à la Society of Artists en 1768 et à la Royal Academy entre 1769 et 1771 (où il a également exposé une Vue du Grand Canal de Venise en 1771). On pense que James n'a jamais quitté l'Angleterre, de sorte que ces images égyptiennes ont dû être basées sur les croquis d'un voyageur inconnu. Quant à ses vues de Venise, qui constituent la partie la plus recherchée de son œuvre, il s'est surtout inspiré, comme nous le verrons plus en détail, du Prospectus Magni Canalis Venetiarum d'Antonio Visentini, un recueil de gravures d'après les tableaux de Canaletto. 2. Du tableau de Canaletto à la gravure de Visentini En 1727, Canaletto a peint une Vue du Grand Canal vers l'ouest, depuis le palais Vendramin-Calergi à San Geremia (10e tableau de la Gallery). Cette vue a été acquise avec l'ensemble de la collection de Joseph S. par le roi George III en 1762 et fait aujourd'hui partie de la Collection royale. Cette vue fait partie d'un ensemble de douze tableaux commandés à Canaletto par Joseph Smith, un Anglais établi à Venise qui était devenu le marchand de Canaletto. Cet ensemble a probablement été réalisé entre 1722 et 1732 ; deux scènes de fête peintes entre 1733 et 1734 ont été ajoutées à cet ensemble. Ces quatorze scènes ont ensuite été gravées par Antonio Visentini et publiées sous le titre Prospectus Magni Canalis Venetiarum par Canali en 1735. Il faut noter qu'elles ont été gravées à l'envers et que les gravures apparaissent donc dans le même sens que les peintures originales. À droite, Canaletto représente l'imposante façade Renaissance du palais Vendramin-Calergi, commandé en 1481 à Mauro Codussi. Canaletto a ajouté par erreur une balustrade au deuxième étage et a représenté deux fenêtres cintrées de chaque côté de la porte donnant sur le canal - il ne devrait y en avoir qu'une de chaque côté, flanquée d'une fenêtre rectangulaire (Canaletto avait dessiné le palais correctement dans son carnet d'esquisses). Au loin, on aperçoit la tour de San Geremia, correctement proportionnée mais peut-être légèrement décalée sur la droite. Canaletto a représenté trois ouvertures au lieu de deux de chaque côté du clocher. Les fenêtres de l'église adjacente sont également représentées de manière très imprécise. À gauche, dans l'ombre, se trouvent la Ca' Tron et le Palazzo Belloni-Battagia. Au-delà, on aperçoit la façade en briques des greniers du XVe siècle, le Deposito del Megio, puis le Fondaco dei Turchi, construit au XIIIe siècle comme bureau et utilisé comme entrepôt pour les marchands turcs entre 1621 et 1838. Le Deposito est normalement en retrait du Palazzo Belloni-Battagia, car le canal s'incurve vers la gauche à cet endroit. Canaletto a aplani et redressé la rive gauche du canal pour montrer le Deposito et le Fondaco, qui seraient normalement à moitié cachés, et les deux bâtiments ensoleillés à l'arrière, qui ne seraient pas visibles du tout. Nous avons reproduit ci-dessus la gravure de Visentini dans laquelle il a corrigé les inexactitudes introduites par Canaletto, notamment dans la façade du Palais Vendramin-Calergi (dernière photo de la Gallery). 3. L'originalité de la peinture de William James Il est tout à fait possible que William James ait vu le tableau de Canaletto à Londres après son achat par George III, mais il semble certain que sa première source d'inspiration fut la gravure de Visentini. Le traitement de la façade du palais Vendramin-Calergi (à droite du canal) est basé sur la gravure de Visentini, et n'inclut donc pas les changements introduits par Canaletto. La tour de San Geremia est également représentée avec ses deux ouvertures de chaque côté. Si William James reste fidèle à Variously, et donc au modèle original de Canaletto, dans la disposition générale des différents bâtiments, la gamme chromatique nous éloigne du modèle vénitien, vers une explosion de couleurs enchanteresses. Les couleurs rouge orangé des palais (inspirées de celles des façades anglaises) ressortent nettement dans la lumière plus fraîche, évoquant l'atmosphère des rives de la Tamise, que James Banks a également dépeinte à de nombreuses reprises. Cette liberté dans le choix des couleurs confirme l'hypothèse selon laquelle James s'est principalement inspiré de la gravure de Visentini, qu'il a eu la délicate tâche de transcrire en couleurs. Si le cadre architectural est fidèlement reproduit, le tableau est animé par de nombreuses innovations dans le positionnement des personnages et par la circulation des gondoles qui animent le canal. Alors que Canaletto présentait deux grandes tentures rouges de part et d'autre du canal, James, peut-être inspiré par des scènes de fête, introduit de nombreuses tentures colorées...
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