Bureau rare Louis Majorelle avec incrustations botaniques vers 1900 (signé)

"Bureau Ming" en cuir texturé gaufré en couleur avec 2 tiroirs par Karl Springer, américain des années 1980. L'artisanat et les matériaux sont superbes et c'est un merveilleux exempl...

Bureau en ébène de Macassar poli miroir avec poignées et accents en acier inoxydable fabriqués à la main et plateau en cuir inséré, par Evan Lobel pour Lobel Originals. Il peut être ...

Bureau Art Nouveau signé 'Louis Majorelle' avec les lignes sinueuses et les courbes typiques du style. Quatre tiroirs à façade incurvée conservant leurs poignées d'origine en bronze ...

Très belle table à écrire de dame de style Louis XV en marqueterie de bois satiné et vernis Martin, attribuée à Louis Majorelle (français, 1859-1926). Cette table à écrire ou bureau à un seul tiroir, de style rococo, est surmontée de montures florales en bronze doré finement ciselées. Le plateau en parquet symétrique et le tablier peint à la main d'un motif de bouquet floral reposent sur quatre pieds cabriolets se terminant par des sabots à volutes. Incisé au dos de la monture en bronze doré "LM". Circa : Nancy, 1880-1890. Louis-Jean-Sylvestre Majorelle, généralement connu simplement sous le nom de Louis Majorelle, (26 septembre 1859 - 15 janvier 1926) est un décorateur et créateur de meubles français qui fabriquait ses propres créations, dans la tradition française de l'ébéniste. Il fut l'un des plus grands créateurs de meubles dans le style Art nouveau et, après 1901, il fut officiellement l'un des vice-présidents de l'École de Nancy. Louis Majorelle est l'un de ceux qui ont le plus contribué à la transformation du mobilier. Grâce à la postérité, on reconnaît aujourd'hui un meuble de lui comme on reconnaît un meuble d'André Charles Boulle et de Charles Cressent, les artistes préférés du Prince régent français. Au début du XVIIIe siècle, Cressent remplace la magnificence de l'ébène et de l'écaille associée à l'étain et au cuivre par les harmonies plus douces des bois étrangers. Comme lui, Louis Majorelle a habillé la structure élégante des meubles Art nouveau d'incrustations de bois exotiques. La palette qu'il compose avec des bois de France et d'ailleurs, ressemble à celle d'un peintre. Chêne, noyer, frêne, orme, houx, platane, châtaignier, cerisier, poirier et hêtre fournissent les tons doux et la gamme enveloppante des gris ; ils servent Majorelle dans des compositions calmes et volontairement monochromes. Le bois de rose offre les couleurs et les motifs délicats de la fleur. Le citronnier jaune tendre, l'érable argenté, l'amarante pourpre, chère à Can, le bois de jacaranda, le satin rouge, l'amourette, l'orange clairembourg, l'ébène noire ou verte, le palmier rouge ou noir, etc. constituaient pour lui, parmi les essences étrangères, la houle colorée la plus étendue, où pouvaient s'épanouir ses instincts de peintre. Un bureau a gradin...