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Taxidermie - Splendide cages aux Oiseaux - 14 perroquets et perruches

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Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le 3 juillet 1927 à Champagne-sur-Oise et mort le 9 novembre 2008 à Anglet. 'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique » — ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme9 — se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire10 d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part. En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ». En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable — qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture — comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra11. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »9. « L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle5 ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »9. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992. Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »12. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »12. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer...
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