Bellec

Marquenterre

1999

La Tour Eiffel derrière les toits de Paris

Photographie tirée de l'ouvrage Habana Song (2019, éditions LOCO), prise lors d'un des nombreux voyages de l'artiste à Cuba. "Cuba n’est pas qu’une île. C’est un symbole politique. C’est aussi une part de notre imaginaire collectif. J’étais allé à Cuba à la fin des années 1990, au moment où les "Balseros" sur leurs radeaux de fortune essayaient d’atteindre Key West, en Floride, juste en face… Vingt ans plus tard, je reviens à La Havane, juste après la mort de Fidel Castro. La ville est en pleine mutation. Je suis hypnotisé par la superbe mélancolie de ce monde figé. Je sens vivre et vibrer un pays unique et cabossé, fier et contestataire, endormi et flamboyant. Les coins de rue photographiés par Walker Evans en 1933 sont toujours là, presque identiques. La puissance de la photographie m’éclabousse dans ce rapport intime à l’histoire, aux lieux et au temps qui passe. Ou qui ne passe pas… " Tiré par l'auteur lui-même par impression jet d'encre Fine art, ce tirage comporte de superbes nuances de noir, dans un ton légèrement chaud, avec un aspect de surface lustré. Tirage seul en format 30x40cm, signé au dos en bas à droite, excellent état. Il peut aussi être récupéré directement à la galerie, à Paris...

Two Sisters (2020) Edition of 10 plus 2 Artist Proofs. Lambda Print on Fuji Cristal Archive Paper (glossy surface) based on a Fuji Instant Film (not mounted). Signed on back with ...

Light Blue Lingerie - however - (Wastelands) - 2003 57x56cm, Edition 4/5, analog C-Print, hand-printed by the artist on Fuji Crystal Archive Paper, based on a Polaroid, Artist inventory Number 1179.04. Signature label and Certificate. Not mounted. For sale is a piece from the Wastelands series. Schneider harnesses the unpredictable chemical mutations of expired Polaroid film, where bursts of color erupt across the surface, destabilizing the photograph's traditional allegiance to reality. These vivid distortions draw her characters into ethereal, trance-like dreamscapes. Like fleeting sequences from a vintage road movie, Schneider’s images shimmer with a transitory quality, dissolving before any definitive conclusions can be drawn. Their ephemeral essence is conveyed through subtle gestures and enigmatic motives. Refusing to yield to the constraints of reality, Schneider’s work keeps alive a delicate interplay of dream, desire, fact, and fiction, blurring the boundaries between them with poetic ambiguity. Stefanie Schneider’s work echoes the heart of American art, channeling the cinematic nostalgia of Ed Ruscha’s roadscapes, the stark sensuality of Georgia O’Keeffe’s deserts, and the haunting solitude of Edward Hopper...