French Abstract Sculptures

A Circular convex mirror in talosel and orange, black and red mirror.

French sculptor, modernist bronze sculpture, solid bronze. From the 1960s/70s. Signed MF and EA for Edition Artiste. In perfect condition. Dimensions: W 9.5 cm x D 4.0 cm x H 16.5 cm.

Abstract Carrara marble sculpture by Willy Anthoons (Belgium 1911 - Paris 1982), France 1951. Beautiful stylized flowing shapes, resulting in a calm and peaceful sculpture. The sculp...

A beautiful sculpture by Elisabeth Joulia. La Borne France 1960s Signed under. Strong presence, nuance of stoneware.

This plaster sculpture depicting a Virgin and Child, from the 1950s hails from a workshop located in the southern region of France. Despite bearing a few minor imperfections, it sta...

Unique large abstract sculpture by Roger Desserprit (1923-1985), France 1969. The sculpture is made out of reinforced solid concrete, the surface is finished in a sand coloured and o...

In the style of Irénée René Rochard; of stylized form displaying great movement, the racing greyhound catapulting forward; resting on a sphere over a square plinth; unsigned.

Heavily Patinated Wrought Iron Tree Sculpture. France, circa 1950.

A 1950s French sculpture constructed with metal and painted a vibrant blue hue. This piece features hollow rectangular blocks at varying heights arranged in artful tiers. It was sour...

Add a touch of vintage French charm to your home décor with this 1950s metal wire decoration on stand. This unique piece features a delicately crafted bust design that exudes eleganc...

ODILE NOLL (1921-2014) Pin tray Circa 1960 Signed "ONoll" Gabonese ebony

François Stahly (1911-2006, Germany/ France) : "Les Trois Bourgeons" Original black patinated bronze sculpture 1939, France Signed : "F.Stahly" Numbered : "1/8", engraved underneat...

T. Mire (XXth c.) : Futuristic architecture Original sculpture made of patinated plaster , wood and black formica base showing a futuristic architecture probably made in the 60's ...

Exceptional metal sculpture by French artist Michel Anasse (1935-2020). Anasse started working on his "Les Bides" (translated: bellies) series in France in 1957 and this is a strikin...

Large French Brutalist sculpture in chamotte clay. Unidentified artist. Very fine vintage condition, please note damage to one end of the sculpture (photos).

abstract organic form, highly decorative object ...

Large 1960's French cubist abstract sculpture with interlocking solid walnut wooden beams. This Mid-Century sculpture can be place on any side and the beams can be slightly adjusted,...

Abstract Relief Assemblage by André Bogaert (1920-1986), Belgium 1965. Bogaert was an abstract expressionist who always put the experiment at first place...

Description: this sculpture was made in the 1950s in France. It consists of a black oak base and an oak ball carved . Very nice work combining organic form and raw material. Conditi...

Small cast bronze abstract statue. It depicts a female cello player sitting on a round stool. It is designed in the style of Yves Lohé. No signature or markings visible. - Abstrac...

Brown Patinated wood modern sculpture Circa 1960.

An abstract sculpture in sandstone in the style of Le Corbusier very nice brown black patina

Set of five Jacques and Dani RUELLAND ceramics, Ceramics in warm tones, of various sizes: (from the smallest to the tallest) Height: 9 cm Diameter: 10 cm ----- Height: 13 cm Diameter...

This sculpture is in wood, in brown color. The shape in at the same time, abstract,and look like a bird. It has been made in France, circa 1960. Ref :Old patina, solid wood.

"Guernica" : Bas-relief sculpture made of reinforced patinated plaster On the back two hooks to hang the sculpture on the wall Dated : 1967, Probably made for the 30th anniversar...

Emile Gilioli (1911 - 1977) ‘‘Astrale’’, 1966 White marble, base in black laquered wood Sculpture : H. 63,5 x 29 x 39 cm / Base : H. 100 x 43 x 42,5 cm At the height of the 20th cen...

Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le 3 juillet 1927 à Champagne-sur-Oise et mort le 9 novembre 2008 à Anglet. 'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique » — ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme9 — se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire10 d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part. En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ». En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable — qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture — comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra11. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »9. « L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle5 ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »9. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992. Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »12. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »12. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer...

Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le 3 juillet 1927 à Champagne-sur-Oise et mort le 9 novembre 2008 à Anglet. 'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique » — ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme9 — se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire10 d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part. En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ». En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable — qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture — comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra11. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »9. « L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle5 ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »9. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992. Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »12. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »12. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer...

Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le 3 juillet 1927 à Champagne-sur-Oise et mort le 9 novembre 2008 à Anglet. 'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique » — ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme9 — se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire10 d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part. En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ». En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable — qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture — comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra11. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »9. « L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle5 ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »9. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992. Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »12. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »12. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer...

1960s French abstract terracotta futuristic sculpture in the form of a cracked circular egg. The sculpture has an unglazed chalky surface which i...

1960s French abstract terracotta space-age futuristic sculpture in the form of a volcanic rock. An unusual volcanic, lunar rock or coral designed...

A large Brutalist forged iron sculpture France, 1960s 82 cm high by 37 cm wide by 31 cm depth

Circa 1960s French abstract terracotta sculpture with alternating glazed and unglazed stripes running around its surface. Inside the crack a large supporting natural terracotta cork...

Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le 3 juillet 1927 à Champagne-sur-Oise et mort le 9 novembre 2008 à Anglet. 'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique » — ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme9 — se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire10 d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part. En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ». En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable — qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture — comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra11. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »9. « L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle5 ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »9. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992. Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »12. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »12. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer...

1960s French abstract terracotta space-age futuristic sculpture in the form of a brain. The sculpture has been sprayed gold for added effect adding drama and interest. It is very he...

Vulcano glass sculpture by Alfredo Barbini, Murano, 1957. Sometimes called Volcano. Signed "A.Barbini" on the base (see photo). Measures: Height 17.13"(43.5 cm), width 11.42" (29cm),...

Anthropomorphic sculpture adorned with a recessed face in milky white glazed red clay, resting on a rectangular base, created by Robert and Jean Cloutier. This model was inspired by...

Nice set of seven decorative polyhedrons. Polished gold bronze, circa 1970, France. Dimensions: from 5 to 12 cm. A very decorative set in good original condition. All purchases are c...

Oversized vintage sculpture made of fine brass after J. Moigniez for Kingston. This sculpture is meticulously decorated with detail giving it a realistic feel. The piece includes two...

Wonderful Baccarat Crystal modernist Asian Elephant sculpture figurine/paperweight. Dates from the 1970's. Signed on the side and bottom. Made in France. In excellent condition for i...

A rare wooden sculptural floor lamp, hand-crafted and signed. Dedicated to the splendors of the sun and shade as is the title "Sol Y Sombra". This French mid-century sculptural flo...

Fantastic exploded clock sculpture in resin. This incredibly rare piece was designed by Pierre Giraudon in France during the 1970s. This item is amazing as it is an exploded clock ...

It was exhibited in the original Miami beach antique show and Palm beach "American International Fine Art Fair (AIFAF)". We have specialized in the sale of Art Deco and Art Nouveau a...

Beautiful sculpture in resin with clock parts inside.

France - circa 1970 Abstract animal bronze sculpture Not signed original perfect condition height 12 cm Large 23 cm depth 18 cm

1928 - 2005 Armand was an artist who used found objects as his medium and encased them in resin form. This rare scale of his work appears to be a token example for an exhibition given out to patrons for a show. I'm sure no two are alike. It's stamped within "Arman Galerie Lawrence 11 Mai 1965 De 5 A 8". Mixed industrial metals encased in resin. Great jewel of an art object for collections of modern art. The size is 1 1/8"h x 1 7/8" x 2"... From the estate of the late Naomi Caryl...

Fabulous pair of Art Deco Sculptures of mottled and speckled marble like glaze on a pair of baskets with fruit. Signed Marcel Guillard, Lye...

Pair of sculptural white plaster foliate lamps, in the manner of Serge Roche, France, circa 1940s. They have been rewired for US usage and are ready to use.

This table lamp, is a sculpture, wood with a shade in Shell. We Have an Old Patina and a Brown Color. This lamp was made in France, circa 1950.

A bold and evocative abstract design decorates this mid century sculptural plate from the Atelier Cerenne founded by Charles Rene Neveux in Vallauris, Fran...

A bold and evocative abstract design decorates this mid century sculptural plate from the Atelier Cerenne founded by Charles Rene Neveux in Vallauris, Fran...

Primitive wood mold with fantastic patina Different shapes available - priced separately but wonderful as a collection France circa 1940s.

Primitive wood mold with fantastic patina Different shapes available - priced separately but wonderful as a collection France, circa 1940s.

Primitive wood mold with fantastic patina Different shapes available - priced separately but wonderful as a collection France circa 1940s.

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Primitive wood mold with fantastic patina Different shapes available - priced separately but wonderful as a collection France circa 1940s.

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This French arresting 2 part brass abstract geometric signed vintage sculpture is from the 60;s and by Chevalier. It is tall at 18.5" H. The connected and welded triangles are placed...